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Les Mortiers d’Artifice : Un Danger Grandissant Dans Nos Villes

Les mortiers d'artifice, destinés aux professionnels, sont de plus en plus détournés à des fins malveillantes. Un phénomène préoccupant qui met en danger les forces de l'ordre et les citoyens. Quelles sont les mesures pour endiguer cette tendance alarmante ? Découvrez l'étendue du problème et les pistes de solution...

Ils illuminent nos fêtes et émerveillent petits et grands. Pourtant, les mortiers d’artifice, détournés de leur usage festif, sont devenus une préoccupation majeure pour les forces de l’ordre et les pouvoirs publics. Face à la recrudescence des incidents impliquant ces engins pyrotechniques, les autorités tentent de réagir. Mais le phénomène, ancré dans certains quartiers, semble difficile à endiguer.

De l’émerveillement à la menace

À l’origine, les mortiers d’artifice sont des outils professionnels servant à propulser des bombes pyrotechniques dans les airs, pour créer de spectaculaires effets visuels lors de feux d’artifice. Mais depuis plusieurs années, ils font l’objet d’un inquiétant détournement d’usage.

Dans les mains de certains individus malveillants, ces tubes deviennent des armes redoutables. Tirés à l’horizontale vers des cibles humaines, les projectiles incandescents peuvent causer de graves blessures, voire pire. Les forces de l’ordre sont particulièrement visées lors d’interventions dans des zones sensibles.

Des engins dangereux et puissants

Malgré leur apparence festive, les mortiers d’artifice utilisés à mauvais escient représentent un réel danger. Propulsées à près de 100 km/h, les bombes pyrotechniques peuvent infliger de sévères brûlures, arracher des doigts ou des mains, entraîner des pertes auditives, et même déclencher des incendies.

Un trafic en plein essor

Malgré ces restrictions, le marché noir des mortiers d’artifice prospère, notamment via internet. Les réseaux sociaux et les sites de vente en ligne facilitent grandement l’approvisionnement illégal. Des stocks conséquents sont régulièrement saisis par les douanes et la police, sans parvenir à tarir le flot.

En seulement trois semaines, nous avons intercepté plus de 50 000 mortiers d’artifice illégaux aux frontières. C’est considérable, mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Une source proche des services douaniers

Une législation renforcée

Face à ce fléau, le législateur a durci le ton ces dernières années. La loi pour la sécurité globale de 2021 a considérablement alourdi les sanctions encourues :

  • Jusqu’à 6 mois de prison et 7500€ d’amende pour acquisition ou utilisation sans habilitation
  • 1 an de prison et 15000€ d’amende si l’infraction est commise en ligne
  • Peines identiques pour les vendeurs ne respectant pas la réglementation

Les municipalités et préfectures peuvent aussi édicter des arrêtés pour encadrer voire interdire l’usage des mortiers, notamment lors d’événements sensibles comme la fête nationale.

Une lutte de longue haleine

Malgré cet arsenal législatif, endiguer le phénomène s’avère compliqué. Le manque de moyens, la facilité d’approvisionnement et l’attractivité pour des publics jeunes rendent la tâche ardue pour les forces de l’ordre.

Au-delà de la répression, c’est tout un travail de prévention et d’éducation qui doit être mené, en particulier auprès des mineurs, pour les sensibiliser aux risques. Car derrière l’excitation d’un tir de mortier se cachent de potentiels drames humains.

Le combat contre le détournement des mortiers d’artifice ne fait que commencer. Il nécessitera la mobilisation de tous – pouvoirs publics, forces de l’ordre, éducateurs, parents – pour que ces engins pyrotechniques retrouvent leur vocation première : l’émerveillement, et non la terreur.

Un trafic en plein essor

Malgré ces restrictions, le marché noir des mortiers d’artifice prospère, notamment via internet. Les réseaux sociaux et les sites de vente en ligne facilitent grandement l’approvisionnement illégal. Des stocks conséquents sont régulièrement saisis par les douanes et la police, sans parvenir à tarir le flot.

En seulement trois semaines, nous avons intercepté plus de 50 000 mortiers d’artifice illégaux aux frontières. C’est considérable, mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Une source proche des services douaniers

Une législation renforcée

Face à ce fléau, le législateur a durci le ton ces dernières années. La loi pour la sécurité globale de 2021 a considérablement alourdi les sanctions encourues :

  • Jusqu’à 6 mois de prison et 7500€ d’amende pour acquisition ou utilisation sans habilitation
  • 1 an de prison et 15000€ d’amende si l’infraction est commise en ligne
  • Peines identiques pour les vendeurs ne respectant pas la réglementation

Les municipalités et préfectures peuvent aussi édicter des arrêtés pour encadrer voire interdire l’usage des mortiers, notamment lors d’événements sensibles comme la fête nationale.

Une lutte de longue haleine

Malgré cet arsenal législatif, endiguer le phénomène s’avère compliqué. Le manque de moyens, la facilité d’approvisionnement et l’attractivité pour des publics jeunes rendent la tâche ardue pour les forces de l’ordre.

Au-delà de la répression, c’est tout un travail de prévention et d’éducation qui doit être mené, en particulier auprès des mineurs, pour les sensibiliser aux risques. Car derrière l’excitation d’un tir de mortier se cachent de potentiels drames humains.

Le combat contre le détournement des mortiers d’artifice ne fait que commencer. Il nécessitera la mobilisation de tous – pouvoirs publics, forces de l’ordre, éducateurs, parents – pour que ces engins pyrotechniques retrouvent leur vocation première : l’émerveillement, et non la terreur.

La puissance de ces engins est telle qu’ils sont classés en catégorie F4, réservée aux artificiers professionnels. Leur vente aux particuliers est strictement réglementée. Seules les personnes majeures ayant suivi une formation spécifique et détenant un certificat peuvent en acquérir légalement.

Un trafic en plein essor

Malgré ces restrictions, le marché noir des mortiers d’artifice prospère, notamment via internet. Les réseaux sociaux et les sites de vente en ligne facilitent grandement l’approvisionnement illégal. Des stocks conséquents sont régulièrement saisis par les douanes et la police, sans parvenir à tarir le flot.

En seulement trois semaines, nous avons intercepté plus de 50 000 mortiers d’artifice illégaux aux frontières. C’est considérable, mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Une source proche des services douaniers

Une législation renforcée

Face à ce fléau, le législateur a durci le ton ces dernières années. La loi pour la sécurité globale de 2021 a considérablement alourdi les sanctions encourues :

  • Jusqu’à 6 mois de prison et 7500€ d’amende pour acquisition ou utilisation sans habilitation
  • 1 an de prison et 15000€ d’amende si l’infraction est commise en ligne
  • Peines identiques pour les vendeurs ne respectant pas la réglementation

Les municipalités et préfectures peuvent aussi édicter des arrêtés pour encadrer voire interdire l’usage des mortiers, notamment lors d’événements sensibles comme la fête nationale.

Une lutte de longue haleine

Malgré cet arsenal législatif, endiguer le phénomène s’avère compliqué. Le manque de moyens, la facilité d’approvisionnement et l’attractivité pour des publics jeunes rendent la tâche ardue pour les forces de l’ordre.

Au-delà de la répression, c’est tout un travail de prévention et d’éducation qui doit être mené, en particulier auprès des mineurs, pour les sensibiliser aux risques. Car derrière l’excitation d’un tir de mortier se cachent de potentiels drames humains.

Le combat contre le détournement des mortiers d’artifice ne fait que commencer. Il nécessitera la mobilisation de tous – pouvoirs publics, forces de l’ordre, éducateurs, parents – pour que ces engins pyrotechniques retrouvent leur vocation première : l’émerveillement, et non la terreur.

La puissance de ces engins est telle qu’ils sont classés en catégorie F4, réservée aux artificiers professionnels. Leur vente aux particuliers est strictement réglementée. Seules les personnes majeures ayant suivi une formation spécifique et détenant un certificat peuvent en acquérir légalement.

Un trafic en plein essor

Malgré ces restrictions, le marché noir des mortiers d’artifice prospère, notamment via internet. Les réseaux sociaux et les sites de vente en ligne facilitent grandement l’approvisionnement illégal. Des stocks conséquents sont régulièrement saisis par les douanes et la police, sans parvenir à tarir le flot.

En seulement trois semaines, nous avons intercepté plus de 50 000 mortiers d’artifice illégaux aux frontières. C’est considérable, mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.

Une source proche des services douaniers

Une législation renforcée

Face à ce fléau, le législateur a durci le ton ces dernières années. La loi pour la sécurité globale de 2021 a considérablement alourdi les sanctions encourues :

  • Jusqu’à 6 mois de prison et 7500€ d’amende pour acquisition ou utilisation sans habilitation
  • 1 an de prison et 15000€ d’amende si l’infraction est commise en ligne
  • Peines identiques pour les vendeurs ne respectant pas la réglementation

Les municipalités et préfectures peuvent aussi édicter des arrêtés pour encadrer voire interdire l’usage des mortiers, notamment lors d’événements sensibles comme la fête nationale.

Une lutte de longue haleine

Malgré cet arsenal législatif, endiguer le phénomène s’avère compliqué. Le manque de moyens, la facilité d’approvisionnement et l’attractivité pour des publics jeunes rendent la tâche ardue pour les forces de l’ordre.

Au-delà de la répression, c’est tout un travail de prévention et d’éducation qui doit être mené, en particulier auprès des mineurs, pour les sensibiliser aux risques. Car derrière l’excitation d’un tir de mortier se cachent de potentiels drames humains.

Le combat contre le détournement des mortiers d’artifice ne fait que commencer. Il nécessitera la mobilisation de tous – pouvoirs publics, forces de l’ordre, éducateurs, parents – pour que ces engins pyrotechniques retrouvent leur vocation première : l’émerveillement, et non la terreur.

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