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Les Défaillances Inquiétantes de Donnarumma Plombent le PSG à Arsenal

La prestation désastreuse de Gianluigi Donnarumma a grandement contribué à la défaite logique du PSG 2-0 sur la pelouse de l'Emirates Stadium face à Arsenal. Le portier italien est pointé du doigt, sa place de titulaire remise en question...

C’est une soirée à oublier pour Gianluigi Donnarumma et le Paris Saint-Germain. Mardi soir, le club de la capitale s’est incliné 2-0 sur la pelouse de l’Emirates Stadium face à un Arsenal déterminé et bien en place. Si la défaite est collective, les regards se tournent inévitablement vers le portier italien, dont les erreurs ont grandement contribué à ce revers.

Donnarumma, le maillon faible

Titulaire dans les buts parisiens, Gianluigi Donnarumma a vécu un véritable cauchemar à Londres. Fautif sur l’ouverture du score de Kai Havertz à la 20e minute, l’international italien a mal apprécié la trajectoire du ballon et mis un temps fou à sortir. Une lecture de jeu défaillante qui a pesé lourd dans la balance.

Et ce n’est pas la seule erreur du gardien de 24 ans. Tout au long de la rencontre, ses faiblesses ont été exploitées par les attaquants londoniens. Des dégagements ratés, des sorties hasardeuses, un manque de communication flagrant avec sa défense… Le bilan est accablant pour l’ancien joueur du Milan AC.

On aurait aimé voir autre chose de la part d’un gardien de ce niveau. Donnarumma nous avait habitués à de bien meilleures prestations.

Christophe Remise, envoyé spécial à Londres

Une place de titulaire remise en question ?

Avec cette prestation plus que décevante, la place de numéro 1 de Gianluigi Donnarumma est forcément remise en question. Même si Keylor Navas n’est plus dans les petits papiers de la direction parisienne, il représente une alternative crédible en cas de nouvelle contre-performance de l’Italien.

Luis Enrique, le nouvel entraîneur du PSG, devra trancher. Mais une chose est sûre, Donnarumma devra rapidement se ressaisir s’il ne veut pas voir sa situation se compliquer. À 24 ans, le natif de Castellammare di Stabia a encore une belle marge de progression. Mais ses erreurs répétées commencent à peser dans la balance.

La jeunesse parisienne inoffensive

Au-delà des difficultés de Donnarumma, c’est l’ensemble de la prestation parisienne qui interroge. Face à une équipe d’Arsenal sûre de ses forces, les coéquipiers de Kylian Mbappé n’ont jamais semblé en mesure de renverser la vapeur. Et les jeunes pousses alignées par Luis Enrique n’ont pas pesé.

Barcola et Doué, titularisés sur les ailes de l’attaque parisienne, sont restés bien trop discrets. Leur inexpérience à ce niveau s’est fait ressentir, tant dans les choix que dans l’impact. Il faudra encore un peu de temps avant de les voir s’exprimer pleinement sur la scène européenne.

C’est un apprentissage pour ces jeunes joueurs. L’écart entre la Ligue 1 et la Ligue des Champions est encore grand. Mais je ne doute pas qu’ils travailleront dur pour franchir ce cap.

Luis Enrique, entraîneur du PSG

Des axes de progression évidents

Cette défaite, aussi logique soit-elle, a le mérite de mettre en lumière les axes de progression du PSG version Luis Enrique. L’impact physique, la qualité dans les duels et la maîtrise collective sont autant de points à travailler dans les semaines à venir.

L’absence d’Ousmane Dembélé, laissé sur le banc pour des raisons disciplinaires, a aussi pesé. Sa créativité et sa percussion auraient pu faire du bien à une attaque parisienne bien trop stéréotypée. Un électron libre qui devrait rapidement retrouver sa place.

Le chemin est encore long pour ce PSG new look. Mais avec du travail et de la rigueur, nul doute que les progrès seront au rendez-vous. La saison ne fait que commencer, et les hommes de Luis Enrique auront à cœur de montrer un tout autre visage lors des prochaines échéances. À commencer par le choc face à la Juventus Turin, prévu dans deux semaines au Parc des Princes. L’occasion de se racheter et de lancer véritablement leur campagne européenne.

L’absence d’Ousmane Dembélé, laissé sur le banc pour des raisons disciplinaires, a aussi pesé. Sa créativité et sa percussion auraient pu faire du bien à une attaque parisienne bien trop stéréotypée. Un électron libre qui devrait rapidement retrouver sa place.

Le chemin est encore long pour ce PSG new look. Mais avec du travail et de la rigueur, nul doute que les progrès seront au rendez-vous. La saison ne fait que commencer, et les hommes de Luis Enrique auront à cœur de montrer un tout autre visage lors des prochaines échéances. À commencer par le choc face à la Juventus Turin, prévu dans deux semaines au Parc des Princes. L’occasion de se racheter et de lancer véritablement leur campagne européenne.

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