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Les Bourses mondiales attentistes face aux craintes d’un rebond de l’inflation

Les Bourses mondiales retiennent leur souffle avant la publication très attendue des chiffres de l'inflation américaine. Les investisseurs redoutent un regain inflationniste qui pousserait la Fed à durcir sa politique monétaire. Les marchés restent sur leurs gardes, partagés entre l'espoir d'une accalmie des prix et la crainte d'un resserrement brutal qui freinerait la...

En ce début d’année 2025, les marchés financiers mondiaux affichent une prudence de mise face à l’ombre menaçante d’un possible rebond de l’inflation. Alors que les investisseurs scrutent avec une attention toute particulière la publication imminente des chiffres des prix à la consommation aux États-Unis, l’heure est à l’attentisme sur les grandes places boursières internationales.

Wall Street entre espoir et appréhension

Outre-Atlantique, les principaux indices de Wall Street ont connu une séance mitigée mardi, reflétant les sentiments contradictoires qui animent les opérateurs. Si le Dow Jones a réussi à grappiller 0,52%, l’indice technologique Nasdaq a en revanche cédé 0,23%, tandis que le S&P 500 au sens large s’est contenté d’un modeste gain de 0,11%. Comme le souligne Peter Cardillo, de Spartan Capital Securities, « le marché est dans une position d’attente ».

Car au cœur des préoccupations, on retrouve bien sûr le spectre d’une résurgence de l’inflation, qui contraindrait la Réserve fédérale américaine (Fed) à mettre un coup de frein à sa politique d’assouplissement monétaire. Un scénario qui inquiète les investisseurs depuis plusieurs jours déjà.

Un avant-goût avec les prix à la production

Un premier indice est venu mardi avec la publication de l’indice des prix à la production aux États-Unis. Ceux-ci ont progressé de 3,3% sur un an en décembre, légèrement en-deçà des 3,5% anticipés par le consensus des analystes. Sur un mois, la hausse a également été moins prononcée que prévu. Des données plutôt bien accueillies donc, même si les marchés ont fini par retomber dans l’attentisme en fin de séance.

Ces chiffres ne sont pas directement transposables à l’inflation, ce qui explique une réaction relativement timide du marché face à cette surprise positive.

Konstantin Oldenburger, analyste pour CMC Markets

L’Europe entre rouge et vert

En Europe, la tendance a été tout aussi partagée. Paris a fini sur un gain de 0,20%, Francfort de 0,69% et Milan de 0,93%. Londres a fait figure d’exception en reculant de 0,28%, seule grande Bourse européenne à s’afficher dans le rouge.

Un contraste qu’on a retrouvé au niveau sectoriel. L’automobile, particulièrement exposée à la conjoncture, a tiré son épingle du jeu avec de fortes progressions pour les équipementiers français OPMobility (+7,10%), Michelin (+2,72%) et Valeo (+5,47%), ainsi que pour Volkswagen (+1,08% à Francfort) et Volvo (+4,96% à Stockholm).

Les « Trump trades » animés par les droits de douane

Même punition (-6,59%) pour le laboratoire pharmaceutique américain Eli Lilly, principal concurrent du Danois Novo Nordisk sur le prometteur segment des traitements contre l’obésité. Des perspectives 2024 jugées décevantes par le marché malgré une hausse de 32% attendue du chiffre d’affaires.

Les marchés retiennent leur souffle

Mais pour l’heure, c’est bien la publication ce mercredi à 13H30 GMT des très attendus chiffres de l’inflation américaine qui cristallise toute l’attention. Un moment de vérité pour des marchés suspendus aux lèvres des statisticiens, tiraillés entre l’espoir d’un reflux confirmé de la hausse des prix et la crainte d’assister à un retour en force des pressions inflationnistes.

En attendant le verdict, les taux obligataires sont restés quasi stables, à l’image du rendement américain à 10 ans à 4,79% (+0,01 point) et de son équivalent allemand à 2,62%. Sur le marché des changes, le dollar marquait le pas face à l’euro à 1,0308 dollar, tandis que le bitcoin grappillait 2,39% à 96.421 dollars.

Quant au pétrole, il a évolué en ordre dispersé après sa récente progression liée aux sanctions visant la Russie. Le baril de Brent de la mer du Nord a reculé de 1,35% à 79,92 dollars et son homologue américain, le WTI, a abandonné 1,67% à 77,50 dollars. Des replis qui soulignent également la fébrilité ambiante à l’approche de la prise de fonction de Donald Trump, lundi prochain.

Une nervosité palpable donc sur les marchés financiers, qui naviguent à vue en ce début d’année 2025 dans un climat d’incertitudes économiques et politiques. À l’affût du moindre signal, les investisseurs semblent partagés entre la volonté de croire à une normalisation de la situation et la peur d’un retour brutal de l’inflation, synonyme de durcissement monétaire et de ralentissement de la croissance mondiale. Les prochains jours s’annoncent déterminants pour prendre la température d’une conjoncture sous haute surveillance.

La séance a été plus rude pour le britannique JD Sports Fashion, spécialiste des vêtements et accessoires de sport, sanctionné de 6,81% à Londres après avoir revu à la baisse sa prévision de résultat annuel en raison d’un « marché difficile ».

Même punition (-6,59%) pour le laboratoire pharmaceutique américain Eli Lilly, principal concurrent du Danois Novo Nordisk sur le prometteur segment des traitements contre l’obésité. Des perspectives 2024 jugées décevantes par le marché malgré une hausse de 32% attendue du chiffre d’affaires.

Les marchés retiennent leur souffle

Mais pour l’heure, c’est bien la publication ce mercredi à 13H30 GMT des très attendus chiffres de l’inflation américaine qui cristallise toute l’attention. Un moment de vérité pour des marchés suspendus aux lèvres des statisticiens, tiraillés entre l’espoir d’un reflux confirmé de la hausse des prix et la crainte d’assister à un retour en force des pressions inflationnistes.

En attendant le verdict, les taux obligataires sont restés quasi stables, à l’image du rendement américain à 10 ans à 4,79% (+0,01 point) et de son équivalent allemand à 2,62%. Sur le marché des changes, le dollar marquait le pas face à l’euro à 1,0308 dollar, tandis que le bitcoin grappillait 2,39% à 96.421 dollars.

Quant au pétrole, il a évolué en ordre dispersé après sa récente progression liée aux sanctions visant la Russie. Le baril de Brent de la mer du Nord a reculé de 1,35% à 79,92 dollars et son homologue américain, le WTI, a abandonné 1,67% à 77,50 dollars. Des replis qui soulignent également la fébrilité ambiante à l’approche de la prise de fonction de Donald Trump, lundi prochain.

Une nervosité palpable donc sur les marchés financiers, qui naviguent à vue en ce début d’année 2025 dans un climat d’incertitudes économiques et politiques. À l’affût du moindre signal, les investisseurs semblent partagés entre la volonté de croire à une normalisation de la situation et la peur d’un retour brutal de l’inflation, synonyme de durcissement monétaire et de ralentissement de la croissance mondiale. Les prochains jours s’annoncent déterminants pour prendre la température d’une conjoncture sous haute surveillance.

La séance a été plus rude pour le britannique JD Sports Fashion, spécialiste des vêtements et accessoires de sport, sanctionné de 6,81% à Londres après avoir revu à la baisse sa prévision de résultat annuel en raison d’un « marché difficile ».

Même punition (-6,59%) pour le laboratoire pharmaceutique américain Eli Lilly, principal concurrent du Danois Novo Nordisk sur le prometteur segment des traitements contre l’obésité. Des perspectives 2024 jugées décevantes par le marché malgré une hausse de 32% attendue du chiffre d’affaires.

Les marchés retiennent leur souffle

Mais pour l’heure, c’est bien la publication ce mercredi à 13H30 GMT des très attendus chiffres de l’inflation américaine qui cristallise toute l’attention. Un moment de vérité pour des marchés suspendus aux lèvres des statisticiens, tiraillés entre l’espoir d’un reflux confirmé de la hausse des prix et la crainte d’assister à un retour en force des pressions inflationnistes.

En attendant le verdict, les taux obligataires sont restés quasi stables, à l’image du rendement américain à 10 ans à 4,79% (+0,01 point) et de son équivalent allemand à 2,62%. Sur le marché des changes, le dollar marquait le pas face à l’euro à 1,0308 dollar, tandis que le bitcoin grappillait 2,39% à 96.421 dollars.

Quant au pétrole, il a évolué en ordre dispersé après sa récente progression liée aux sanctions visant la Russie. Le baril de Brent de la mer du Nord a reculé de 1,35% à 79,92 dollars et son homologue américain, le WTI, a abandonné 1,67% à 77,50 dollars. Des replis qui soulignent également la fébrilité ambiante à l’approche de la prise de fonction de Donald Trump, lundi prochain.

Une nervosité palpable donc sur les marchés financiers, qui naviguent à vue en ce début d’année 2025 dans un climat d’incertitudes économiques et politiques. À l’affût du moindre signal, les investisseurs semblent partagés entre la volonté de croire à une normalisation de la situation et la peur d’un retour brutal de l’inflation, synonyme de durcissement monétaire et de ralentissement de la croissance mondiale. Les prochains jours s’annoncent déterminants pour prendre la température d’une conjoncture sous haute surveillance.

Autre sujet de préoccupation des investisseurs : la perspective de voir l’administration Trump imposer des droits de douane gradués sur les importations, selon des fuites dans la presse. Une menace brandie pendant la campagne présidentielle, avec des tarifs pouvant grimper jusqu’à 100% visant notamment la Chine.

Des informations qui ont dynamisé certaines valeurs chinoises cotées à Wall Street comme Alibaba (+1,42%) et ses rivaux de l’e-commerce PDD (+2,24%) et JD.com (+4,04%). Les investisseurs spéculant sur un impact limité des taxes si elles sont introduites progressivement.

Des revers pour JD Sports et Eli Lilly

La séance a été plus rude pour le britannique JD Sports Fashion, spécialiste des vêtements et accessoires de sport, sanctionné de 6,81% à Londres après avoir revu à la baisse sa prévision de résultat annuel en raison d’un « marché difficile ».

Même punition (-6,59%) pour le laboratoire pharmaceutique américain Eli Lilly, principal concurrent du Danois Novo Nordisk sur le prometteur segment des traitements contre l’obésité. Des perspectives 2024 jugées décevantes par le marché malgré une hausse de 32% attendue du chiffre d’affaires.

Les marchés retiennent leur souffle

Mais pour l’heure, c’est bien la publication ce mercredi à 13H30 GMT des très attendus chiffres de l’inflation américaine qui cristallise toute l’attention. Un moment de vérité pour des marchés suspendus aux lèvres des statisticiens, tiraillés entre l’espoir d’un reflux confirmé de la hausse des prix et la crainte d’assister à un retour en force des pressions inflationnistes.

En attendant le verdict, les taux obligataires sont restés quasi stables, à l’image du rendement américain à 10 ans à 4,79% (+0,01 point) et de son équivalent allemand à 2,62%. Sur le marché des changes, le dollar marquait le pas face à l’euro à 1,0308 dollar, tandis que le bitcoin grappillait 2,39% à 96.421 dollars.

Quant au pétrole, il a évolué en ordre dispersé après sa récente progression liée aux sanctions visant la Russie. Le baril de Brent de la mer du Nord a reculé de 1,35% à 79,92 dollars et son homologue américain, le WTI, a abandonné 1,67% à 77,50 dollars. Des replis qui soulignent également la fébrilité ambiante à l’approche de la prise de fonction de Donald Trump, lundi prochain.

Une nervosité palpable donc sur les marchés financiers, qui naviguent à vue en ce début d’année 2025 dans un climat d’incertitudes économiques et politiques. À l’affût du moindre signal, les investisseurs semblent partagés entre la volonté de croire à une normalisation de la situation et la peur d’un retour brutal de l’inflation, synonyme de durcissement monétaire et de ralentissement de la croissance mondiale. Les prochains jours s’annoncent déterminants pour prendre la température d’une conjoncture sous haute surveillance.

Autre sujet de préoccupation des investisseurs : la perspective de voir l’administration Trump imposer des droits de douane gradués sur les importations, selon des fuites dans la presse. Une menace brandie pendant la campagne présidentielle, avec des tarifs pouvant grimper jusqu’à 100% visant notamment la Chine.

Des informations qui ont dynamisé certaines valeurs chinoises cotées à Wall Street comme Alibaba (+1,42%) et ses rivaux de l’e-commerce PDD (+2,24%) et JD.com (+4,04%). Les investisseurs spéculant sur un impact limité des taxes si elles sont introduites progressivement.

Des revers pour JD Sports et Eli Lilly

La séance a été plus rude pour le britannique JD Sports Fashion, spécialiste des vêtements et accessoires de sport, sanctionné de 6,81% à Londres après avoir revu à la baisse sa prévision de résultat annuel en raison d’un « marché difficile ».

Même punition (-6,59%) pour le laboratoire pharmaceutique américain Eli Lilly, principal concurrent du Danois Novo Nordisk sur le prometteur segment des traitements contre l’obésité. Des perspectives 2024 jugées décevantes par le marché malgré une hausse de 32% attendue du chiffre d’affaires.

Les marchés retiennent leur souffle

Mais pour l’heure, c’est bien la publication ce mercredi à 13H30 GMT des très attendus chiffres de l’inflation américaine qui cristallise toute l’attention. Un moment de vérité pour des marchés suspendus aux lèvres des statisticiens, tiraillés entre l’espoir d’un reflux confirmé de la hausse des prix et la crainte d’assister à un retour en force des pressions inflationnistes.

En attendant le verdict, les taux obligataires sont restés quasi stables, à l’image du rendement américain à 10 ans à 4,79% (+0,01 point) et de son équivalent allemand à 2,62%. Sur le marché des changes, le dollar marquait le pas face à l’euro à 1,0308 dollar, tandis que le bitcoin grappillait 2,39% à 96.421 dollars.

Quant au pétrole, il a évolué en ordre dispersé après sa récente progression liée aux sanctions visant la Russie. Le baril de Brent de la mer du Nord a reculé de 1,35% à 79,92 dollars et son homologue américain, le WTI, a abandonné 1,67% à 77,50 dollars. Des replis qui soulignent également la fébrilité ambiante à l’approche de la prise de fonction de Donald Trump, lundi prochain.

Une nervosité palpable donc sur les marchés financiers, qui naviguent à vue en ce début d’année 2025 dans un climat d’incertitudes économiques et politiques. À l’affût du moindre signal, les investisseurs semblent partagés entre la volonté de croire à une normalisation de la situation et la peur d’un retour brutal de l’inflation, synonyme de durcissement monétaire et de ralentissement de la croissance mondiale. Les prochains jours s’annoncent déterminants pour prendre la température d’une conjoncture sous haute surveillance.

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