Qui l’eût cru ? Après deux matchs à l’Euro 2024, l’équipe de France trône en tête de son groupe avec 4 points… sans avoir inscrit le moindre but ! Un paradoxe qui interpelle sur la capacité des Bleus à se montrer dangereux offensivement dans cette compétition. Si la solidité défensive est au rendez-vous, l’allant offensif semble lui faire défaut. Faut-il pour autant tirer la sonnette d’alarme ?
Une attaque en panne malgré de bons résultats
Les hommes de Didier Deschamps ont réussi un petit exploit en arrachant une victoire face à l’Autriche (1-0) puis un nul contre les Pays-Bas (0-0) sans trouver le chemin des filets. Seul un but contre son camp autrichien leur a permis de débloquer leur compteur. Une situation statistique rarissime à ce niveau qui soulève des interrogations.
Néanmoins, Didier Deschamps et son staff devront procéder à certains ajustements pour permettre aux Bleus de se montrer plus dangereux. Un meilleur équilibre dans l’animation, une prise de risques accrue et une contribution offensive plus variée seront les clés d’une montée en puissance.
Si la qualité des individualités ne fait guère de doute, c’est bien dans une optique collective que l’équipe de France devra progresser offensivement. De quoi aborder la suite de l’Euro avec ambition… mais aussi un brin de réalisme sur le chemin qu’il reste à parcourir d’ici le 14 juillet !
Néanmoins, Didier Deschamps et son staff devront procéder à certains ajustements pour permettre aux Bleus de se montrer plus dangereux. Un meilleur équilibre dans l’animation, une prise de risques accrue et une contribution offensive plus variée seront les clés d’une montée en puissance.
Si la qualité des individualités ne fait guère de doute, c’est bien dans une optique collective que l’équipe de France devra progresser offensivement. De quoi aborder la suite de l’Euro avec ambition… mais aussi un brin de réalisme sur le chemin qu’il reste à parcourir d’ici le 14 juillet !
Malgré ce manque d’efficacité offensive, pas question pour autant de céder à l’alarmisme. L’équipe de France a su faire preuve de solidité et d’abnégation pour arracher des résultats probants. Les automatismes offensifs devraient se mettre en place au fil de la compétition.
Néanmoins, Didier Deschamps et son staff devront procéder à certains ajustements pour permettre aux Bleus de se montrer plus dangereux. Un meilleur équilibre dans l’animation, une prise de risques accrue et une contribution offensive plus variée seront les clés d’une montée en puissance.
Si la qualité des individualités ne fait guère de doute, c’est bien dans une optique collective que l’équipe de France devra progresser offensivement. De quoi aborder la suite de l’Euro avec ambition… mais aussi un brin de réalisme sur le chemin qu’il reste à parcourir d’ici le 14 juillet !
Malgré ce manque d’efficacité offensive, pas question pour autant de céder à l’alarmisme. L’équipe de France a su faire preuve de solidité et d’abnégation pour arracher des résultats probants. Les automatismes offensifs devraient se mettre en place au fil de la compétition.
Néanmoins, Didier Deschamps et son staff devront procéder à certains ajustements pour permettre aux Bleus de se montrer plus dangereux. Un meilleur équilibre dans l’animation, une prise de risques accrue et une contribution offensive plus variée seront les clés d’une montée en puissance.
Si la qualité des individualités ne fait guère de doute, c’est bien dans une optique collective que l’équipe de France devra progresser offensivement. De quoi aborder la suite de l’Euro avec ambition… mais aussi un brin de réalisme sur le chemin qu’il reste à parcourir d’ici le 14 juillet !
Certes, les Tricolores font preuve d’une belle assise défensive comme le souligne Aurélien Tchouaméni, satisfait de compter aucun but encaissé. Mais cette solidité ne doit pas masquer les carences offensives aperçues lors des deux premières sorties.
Une dépendance à Mbappé ?
Pour l’ancien sélectionneur Vahid Halilhodžić, le problème est clair : « L’équipe de France dépend trop d’un seul joueur, Kylian Mbappé. Quand il n’est pas là, les autres ne prennent pas assez leurs responsabilités ». Un constat partagé par le consultant Alain Roche qui pointe du doigt le manque d’initiatives des partenaires de l’attaquant parisien.
Sans Mbappé, c’est beaucoup plus compliqué. On a besoin d’autres joueurs qui prennent le leadership offensif.
Alain Roche
Un manque de créativité offensive ?
Emmanuel Petit, champion du monde 98, s’interroge lui sur l’animation offensive des Bleus : « On manque de mouvement, de prises de risque. Il faut davantage de percussions, de dribbles, de frappes ». Un constat que partage l’ancien lyonnais Sidney Govou qui espère voir l’équipe de France « hisser son niveau de jeu vers l’avant ».
Face à la Pologne déjà éliminée, les Tricolores ont l’occasion de lancer enfin leur Euro offensivement. Didier Deschamps et son staff auront à cœur de trouver les clés pour débloquer une attaque jusqu’ici grippée. L’entrée en lice probable de Mbappé devrait apporter un supplément de peps bien nécessaire.
Pas d’affolement mais des ajustements nécessaires
Malgré ce manque d’efficacité offensive, pas question pour autant de céder à l’alarmisme. L’équipe de France a su faire preuve de solidité et d’abnégation pour arracher des résultats probants. Les automatismes offensifs devraient se mettre en place au fil de la compétition.
Néanmoins, Didier Deschamps et son staff devront procéder à certains ajustements pour permettre aux Bleus de se montrer plus dangereux. Un meilleur équilibre dans l’animation, une prise de risques accrue et une contribution offensive plus variée seront les clés d’une montée en puissance.
Si la qualité des individualités ne fait guère de doute, c’est bien dans une optique collective que l’équipe de France devra progresser offensivement. De quoi aborder la suite de l’Euro avec ambition… mais aussi un brin de réalisme sur le chemin qu’il reste à parcourir d’ici le 14 juillet !
Certes, les Tricolores font preuve d’une belle assise défensive comme le souligne Aurélien Tchouaméni, satisfait de compter aucun but encaissé. Mais cette solidité ne doit pas masquer les carences offensives aperçues lors des deux premières sorties.
Une dépendance à Mbappé ?
Pour l’ancien sélectionneur Vahid Halilhodžić, le problème est clair : « L’équipe de France dépend trop d’un seul joueur, Kylian Mbappé. Quand il n’est pas là, les autres ne prennent pas assez leurs responsabilités ». Un constat partagé par le consultant Alain Roche qui pointe du doigt le manque d’initiatives des partenaires de l’attaquant parisien.
Sans Mbappé, c’est beaucoup plus compliqué. On a besoin d’autres joueurs qui prennent le leadership offensif.
Alain Roche
Un manque de créativité offensive ?
Emmanuel Petit, champion du monde 98, s’interroge lui sur l’animation offensive des Bleus : « On manque de mouvement, de prises de risque. Il faut davantage de percussions, de dribbles, de frappes ». Un constat que partage l’ancien lyonnais Sidney Govou qui espère voir l’équipe de France « hisser son niveau de jeu vers l’avant ».
Face à la Pologne déjà éliminée, les Tricolores ont l’occasion de lancer enfin leur Euro offensivement. Didier Deschamps et son staff auront à cœur de trouver les clés pour débloquer une attaque jusqu’ici grippée. L’entrée en lice probable de Mbappé devrait apporter un supplément de peps bien nécessaire.
Pas d’affolement mais des ajustements nécessaires
Malgré ce manque d’efficacité offensive, pas question pour autant de céder à l’alarmisme. L’équipe de France a su faire preuve de solidité et d’abnégation pour arracher des résultats probants. Les automatismes offensifs devraient se mettre en place au fil de la compétition.
Néanmoins, Didier Deschamps et son staff devront procéder à certains ajustements pour permettre aux Bleus de se montrer plus dangereux. Un meilleur équilibre dans l’animation, une prise de risques accrue et une contribution offensive plus variée seront les clés d’une montée en puissance.
Si la qualité des individualités ne fait guère de doute, c’est bien dans une optique collective que l’équipe de France devra progresser offensivement. De quoi aborder la suite de l’Euro avec ambition… mais aussi un brin de réalisme sur le chemin qu’il reste à parcourir d’ici le 14 juillet !