Près de deux décennies après sa disparition, Leni Riefenstahl ne cesse de susciter fascination et polémique. Réalisatrice de génie ayant révolutionné le 7e art ou opportuniste ayant mis son talent au service du régime nazi ? Le documentaire « Leni Riefenstahl, la lumière et les ombres », sorti récemment au cinéma, jette un regard sans concession sur ce personnage complexe et son héritage contrasté.
Une pionnière aux prouesses techniques indéniables
Impossible de nier l’empreinte durable laissée par Leni Riefenstahl sur le cinéma. Son film « Les Dieux du stade », réalisé à l’occasion des Jeux Olympiques de Berlin en 1936, a posé les bases du documentaire sportif moderne :
- Moyens colossaux déployés avec une équipe de 300 personnes
- Innovations techniques comme les travellings ou les gros plans
- Images puissantes restées dans les mémoires près d’un siècle plus tard
Au final, « Leni Riefenstahl, la lumière et les ombres » a le mérite de ne pas tomber dans la caricature ou le jugement à l’emporte-pièce. En dressant le portrait nuancé d’une personnalité complex dont le talent n’avait d’égal que l’ambiguïté morale, il nous invite à réfléchir sur le pouvoir de l’image et la responsabilité de ceux qui la façonnent.
On ne peut dissocier l’œuvre de Riefenstahl du contexte dans lequel elle a été produite. C’est ce qui la rend à la fois passionnante et dérangeante
résume un critique
Un documentaire essentiel donc, pour ne jamais oublier qu’aucun talent, aussi grand soit-il, ne saurait servir d’excuse à la compromission avec l’innommable. Le génie et l’infamie font décidément bon ménage quand l’époque s’y prête. Et Leni Riefenstahl en restera à jamais la troublante incarnation.
Au final, « Leni Riefenstahl, la lumière et les ombres » a le mérite de ne pas tomber dans la caricature ou le jugement à l’emporte-pièce. En dressant le portrait nuancé d’une personnalité complex dont le talent n’avait d’égal que l’ambiguïté morale, il nous invite à réfléchir sur le pouvoir de l’image et la responsabilité de ceux qui la façonnent.
On ne peut dissocier l’œuvre de Riefenstahl du contexte dans lequel elle a été produite. C’est ce qui la rend à la fois passionnante et dérangeante
résume un critique
Un documentaire essentiel donc, pour ne jamais oublier qu’aucun talent, aussi grand soit-il, ne saurait servir d’excuse à la compromission avec l’innommable. Le génie et l’infamie font décidément bon ménage quand l’époque s’y prête. Et Leni Riefenstahl en restera à jamais la troublante incarnation.
Une part d’ombre jamais totalement éclaircie
Malgré un travail d’enquête fouillé, le documentaire peine à lever le voile sur les zones les plus troubles du parcours de la réalisatrice :
- A-t-elle assisté à un massacre de juifs polonais en 1939 ?
- Les figurants tziganes de son film Tiefland ont-ils été envoyés dans des camps après le tournage ?
Autant de questions qui resteront sans réponse définitive, entretenant le mystère et la controverse autour de celle qui n’aura eu de cesse de se dédouaner de toute responsabilité dans les atrocités du nazisme.
Un portrait juste d’une artiste et d’une époque
Au final, « Leni Riefenstahl, la lumière et les ombres » a le mérite de ne pas tomber dans la caricature ou le jugement à l’emporte-pièce. En dressant le portrait nuancé d’une personnalité complex dont le talent n’avait d’égal que l’ambiguïté morale, il nous invite à réfléchir sur le pouvoir de l’image et la responsabilité de ceux qui la façonnent.
On ne peut dissocier l’œuvre de Riefenstahl du contexte dans lequel elle a été produite. C’est ce qui la rend à la fois passionnante et dérangeante
résume un critique
Un documentaire essentiel donc, pour ne jamais oublier qu’aucun talent, aussi grand soit-il, ne saurait servir d’excuse à la compromission avec l’innommable. Le génie et l’infamie font décidément bon ménage quand l’époque s’y prête. Et Leni Riefenstahl en restera à jamais la troublante incarnation.
Une part d’ombre jamais totalement éclaircie
Malgré un travail d’enquête fouillé, le documentaire peine à lever le voile sur les zones les plus troubles du parcours de la réalisatrice :
- A-t-elle assisté à un massacre de juifs polonais en 1939 ?
- Les figurants tziganes de son film Tiefland ont-ils été envoyés dans des camps après le tournage ?
Autant de questions qui resteront sans réponse définitive, entretenant le mystère et la controverse autour de celle qui n’aura eu de cesse de se dédouaner de toute responsabilité dans les atrocités du nazisme.
Un portrait juste d’une artiste et d’une époque
Au final, « Leni Riefenstahl, la lumière et les ombres » a le mérite de ne pas tomber dans la caricature ou le jugement à l’emporte-pièce. En dressant le portrait nuancé d’une personnalité complex dont le talent n’avait d’égal que l’ambiguïté morale, il nous invite à réfléchir sur le pouvoir de l’image et la responsabilité de ceux qui la façonnent.
On ne peut dissocier l’œuvre de Riefenstahl du contexte dans lequel elle a été produite. C’est ce qui la rend à la fois passionnante et dérangeante
résume un critique
Un documentaire essentiel donc, pour ne jamais oublier qu’aucun talent, aussi grand soit-il, ne saurait servir d’excuse à la compromission avec l’innommable. Le génie et l’infamie font décidément bon ménage quand l’époque s’y prête. Et Leni Riefenstahl en restera à jamais la troublante incarnation.
Le génie créatif de Riefenstahl ne fait aucun doute. Elle a su capter et magnifier les corps des athlètes comme personne avant elle
souligne un historien du cinéma
Mais ce talent n’occulte pas une proximité troublante avec les dignitaires nazis
Car Leni Riefenstahl, c’est aussi l’auteure du sulfureux « Triomphe de la Volonté », véritable ode à la gloire d’Adolf Hitler et de son parti. Un engagement qui lui vaudra d’être qualifiée de « cinéaste officielle du IIIe Reich ».
Des archives publiées dans le documentaire attestent de la relation privilégiée, voire intime, qu’elle entretenait avec les plus hauts dirigeants nazis. Une proximité qu’elle s’évertuera toujours à minimiser par la suite, se disant apolitique et au service de son art uniquement.
Une part d’ombre jamais totalement éclaircie
Malgré un travail d’enquête fouillé, le documentaire peine à lever le voile sur les zones les plus troubles du parcours de la réalisatrice :
- A-t-elle assisté à un massacre de juifs polonais en 1939 ?
- Les figurants tziganes de son film Tiefland ont-ils été envoyés dans des camps après le tournage ?
Autant de questions qui resteront sans réponse définitive, entretenant le mystère et la controverse autour de celle qui n’aura eu de cesse de se dédouaner de toute responsabilité dans les atrocités du nazisme.
Un portrait juste d’une artiste et d’une époque
Au final, « Leni Riefenstahl, la lumière et les ombres » a le mérite de ne pas tomber dans la caricature ou le jugement à l’emporte-pièce. En dressant le portrait nuancé d’une personnalité complex dont le talent n’avait d’égal que l’ambiguïté morale, il nous invite à réfléchir sur le pouvoir de l’image et la responsabilité de ceux qui la façonnent.
On ne peut dissocier l’œuvre de Riefenstahl du contexte dans lequel elle a été produite. C’est ce qui la rend à la fois passionnante et dérangeante
résume un critique
Un documentaire essentiel donc, pour ne jamais oublier qu’aucun talent, aussi grand soit-il, ne saurait servir d’excuse à la compromission avec l’innommable. Le génie et l’infamie font décidément bon ménage quand l’époque s’y prête. Et Leni Riefenstahl en restera à jamais la troublante incarnation.
Le génie créatif de Riefenstahl ne fait aucun doute. Elle a su capter et magnifier les corps des athlètes comme personne avant elle
souligne un historien du cinéma
Mais ce talent n’occulte pas une proximité troublante avec les dignitaires nazis
Car Leni Riefenstahl, c’est aussi l’auteure du sulfureux « Triomphe de la Volonté », véritable ode à la gloire d’Adolf Hitler et de son parti. Un engagement qui lui vaudra d’être qualifiée de « cinéaste officielle du IIIe Reich ».
Des archives publiées dans le documentaire attestent de la relation privilégiée, voire intime, qu’elle entretenait avec les plus hauts dirigeants nazis. Une proximité qu’elle s’évertuera toujours à minimiser par la suite, se disant apolitique et au service de son art uniquement.
Une part d’ombre jamais totalement éclaircie
Malgré un travail d’enquête fouillé, le documentaire peine à lever le voile sur les zones les plus troubles du parcours de la réalisatrice :
- A-t-elle assisté à un massacre de juifs polonais en 1939 ?
- Les figurants tziganes de son film Tiefland ont-ils été envoyés dans des camps après le tournage ?
Autant de questions qui resteront sans réponse définitive, entretenant le mystère et la controverse autour de celle qui n’aura eu de cesse de se dédouaner de toute responsabilité dans les atrocités du nazisme.
Un portrait juste d’une artiste et d’une époque
Au final, « Leni Riefenstahl, la lumière et les ombres » a le mérite de ne pas tomber dans la caricature ou le jugement à l’emporte-pièce. En dressant le portrait nuancé d’une personnalité complex dont le talent n’avait d’égal que l’ambiguïté morale, il nous invite à réfléchir sur le pouvoir de l’image et la responsabilité de ceux qui la façonnent.
On ne peut dissocier l’œuvre de Riefenstahl du contexte dans lequel elle a été produite. C’est ce qui la rend à la fois passionnante et dérangeante
résume un critique
Un documentaire essentiel donc, pour ne jamais oublier qu’aucun talent, aussi grand soit-il, ne saurait servir d’excuse à la compromission avec l’innommable. Le génie et l’infamie font décidément bon ménage quand l’époque s’y prête. Et Leni Riefenstahl en restera à jamais la troublante incarnation.