Des échanges spectaculaires, des champions attachants, des salles pleines à craquer… Le tennis de table a indéniablement conquis le cœur des Français lors des derniers Jeux olympiques de Paris. Cette discipline, souvent méconnue du grand public, a révélé toute sa dimension sportive et son intensité loin des parties disputées en famille ou entre amis. Un engouement dont les clubs, à l’image de l’AS Pontoise-Cergy, comptent bien profiter pour développer la pratique et faire rayonner ce sport.
Les JO, déclencheur d’un tsunami ping-pongiste
Les Jeux olympiques ont clairement servi de détonateur à la passion hexagonale pour la petite balle blanche. Grâce aux belles performances des pongistes français et à une exposition médiatique inédite, le tennis de table est soudainement devenu à la mode. Un phénomène qui n’a pas échappé aux clubs comme l’AS Pontoise-Cergy, dont les rangs se sont considérablement étoffés.
Ça faisait longtemps qu’on voulait dépasser le cap des 300 adhérents. Encore actuellement, nous avons tous les jours des gens qui s’inscrivent ou demandent des renseignements. Pour nous, c’est un gros boom.
– Christian Adam, vice-président de l’AS Pontoise-Cergy
Le club val-d’oisien, qui fêtera son centenaire en 2027, a vu ses effectifs passer de 280 à 330 licenciés en quelques semaines. Une augmentation spectaculaire qui s’explique par l’aura nouvelle de ce sport longtemps resté confidentiel. Les gens ont découvert une discipline intense, spectaculaire, avec des échanges acrobatiques à couper le souffle. Loin de l’image un peu vieillotte du ping-pong.
Un championnat de France relevé
Cet afflux de nouveaux pratiquants est une aubaine pour la discipline et les clubs. Mais il promet aussi un championnat national des plus relevés. L’AS Pontoise-Cergy, champion de France en titre par équipes, en est bien consciente. Après avoir raflé les trois derniers titres de Pro A, le plus haut niveau français, le club francilien s’attend à une concurrence féroce.
Car les autres ténors de la discipline comme Roanne, Angers ou Hennebont ont également profité de la dynamique post-olympique pour muscler leurs rangs. De jeunes talents ont émergé et sont bien décidés à en découdre. La saison qui démarre s’annonce d’ores et déjà passionnante avec son lot de surprises et de matchs au sommet.
De nouvelles ambitions pour le tennis de table français
Car l’AS Pontoise-Cergy ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Portée par l’élan des Jeux, ses jeunes champions et ses showing center les nouveaux pratiquants, le club val-d’oisien rêve déjà d’écrire les plus belles pages de son histoire. En espérant y ajouter quelques lignes dorées…
Car l’AS Pontoise-Cergy ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Portée par l’élan des Jeux, ses jeunes champions et ses showing center les nouveaux pratiquants, le club val-d’oisien rêve déjà d’écrire les plus belles pages de son histoire. En espérant y ajouter quelques lignes dorées…
Au-delà des clubs, c’est l’ensemble de la Fédération française de tennis de table (FFTT) qui compte surfer sur cette vague. Avec environ 200 000 licenciés avant les JO, la FFTT espère bien atteindre les 300 000 dans les prochaines années et hisser la France dans le top 5 mondial. Un objectif ambitieux mais à la hauteur des récents succès.
Car le tennis de table hexagonal n’a pas fini de nous surprendre. Les jeunes pousses tricolores, à l’image d’Alexis Lebrun ou Prithika Pavade, incarnent déjà le renouveau de la discipline. Médaillés à plusieurs reprises sur la scène européenne et mondiale en juniors, ils s’annoncent comme les futures stars des Jeux de Los Angeles en 2028.
Un sport en pleine mutation
Mais la FFTT veut aller plus loin et changer durablement l’image du tennis de table. Exit les salles exiguës et l’ambiance potache, place aux grandes enceintes et aux shows à l’américaine. Le ping entend bien devenir un sport spectacle, capable de remplir des Zénith ou des arénas.
- Éclairages façon NBA
- Musique et animations pendant les matchs
- Écrans géants et ralentis
- Joueurs interviewés à chaud
Autant d’ingrédients que la FFTT compte distiller pour moderniser la pratique et attirer un nouveau public, notamment chez les jeunes et les familles. Avec en point d’orgue le projet d’un grand évènement annuel, sorte de “Coupe Davis” du ping, où s’affronteraient les meilleures nations mondiales dans une ambiance survoltée.
Des clubs en première ligne
Pour ce faire, la FFTT mise avant tout sur ses clubs. Véritables chevilles ouvrières du développement, ces derniers sont incités à diversifier leurs activités pour répondre à tous les publics : loisir, santé, scolaire, entreprise… L’idée est de sortir du cadre compétitif classique pour toucher le plus grand nombre.
À Pontoise-Cergy, on a bien compris le message. En plus des entraînements et des compétitions, le club propose des créneaux découverte, mini-ping pour les 4-7 ans, ping santé pour les seniors, interventions dans les écoles… Tout est bon pour faire connaître et apprécier la discipline. Avec en toile de fond, l’espoir que certains mordus rejoignent les rangs de l’élite.
Car l’AS Pontoise-Cergy ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Portée par l’élan des Jeux, ses jeunes champions et ses showing center les nouveaux pratiquants, le club val-d’oisien rêve déjà d’écrire les plus belles pages de son histoire. En espérant y ajouter quelques lignes dorées…
Au-delà des clubs, c’est l’ensemble de la Fédération française de tennis de table (FFTT) qui compte surfer sur cette vague. Avec environ 200 000 licenciés avant les JO, la FFTT espère bien atteindre les 300 000 dans les prochaines années et hisser la France dans le top 5 mondial. Un objectif ambitieux mais à la hauteur des récents succès.
Car le tennis de table hexagonal n’a pas fini de nous surprendre. Les jeunes pousses tricolores, à l’image d’Alexis Lebrun ou Prithika Pavade, incarnent déjà le renouveau de la discipline. Médaillés à plusieurs reprises sur la scène européenne et mondiale en juniors, ils s’annoncent comme les futures stars des Jeux de Los Angeles en 2028.
Un sport en pleine mutation
Mais la FFTT veut aller plus loin et changer durablement l’image du tennis de table. Exit les salles exiguës et l’ambiance potache, place aux grandes enceintes et aux shows à l’américaine. Le ping entend bien devenir un sport spectacle, capable de remplir des Zénith ou des arénas.
- Éclairages façon NBA
- Musique et animations pendant les matchs
- Écrans géants et ralentis
- Joueurs interviewés à chaud
Autant d’ingrédients que la FFTT compte distiller pour moderniser la pratique et attirer un nouveau public, notamment chez les jeunes et les familles. Avec en point d’orgue le projet d’un grand évènement annuel, sorte de “Coupe Davis” du ping, où s’affronteraient les meilleures nations mondiales dans une ambiance survoltée.
Des clubs en première ligne
Pour ce faire, la FFTT mise avant tout sur ses clubs. Véritables chevilles ouvrières du développement, ces derniers sont incités à diversifier leurs activités pour répondre à tous les publics : loisir, santé, scolaire, entreprise… L’idée est de sortir du cadre compétitif classique pour toucher le plus grand nombre.
À Pontoise-Cergy, on a bien compris le message. En plus des entraînements et des compétitions, le club propose des créneaux découverte, mini-ping pour les 4-7 ans, ping santé pour les seniors, interventions dans les écoles… Tout est bon pour faire connaître et apprécier la discipline. Avec en toile de fond, l’espoir que certains mordus rejoignent les rangs de l’élite.
Car l’AS Pontoise-Cergy ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Portée par l’élan des Jeux, ses jeunes champions et ses showing center les nouveaux pratiquants, le club val-d’oisien rêve déjà d’écrire les plus belles pages de son histoire. En espérant y ajouter quelques lignes dorées…