Un drame symptomatique des réseaux internationaux du trafic de drogue s’est déroulé en plein jour dans les rues de Grigny en Essonne. Le 6 août dernier, un homme de 36 ans s’est effondré sur un trottoir, victime d’un arrêt cardiorespiratoire. Rien d’inhabituel en apparence, si ce n’est que la victime était un ressortissant brésilien arrivé quelques heures plus tôt de Rio de Janeiro. Et qu’il transportait dans son estomac pas moins de 93 capsules de cocaïne pure, soit plus d’un kilo au total.
Une “mule” victime de son propre chargement
L’homme faisait donc office de ce qu’on appelle une “mule” dans le jargon des narco-trafiquants. Ces personnes sont recrutées pour ingérer des dizaines de capsules contenant quelques grammes de drogue et les transporter ainsi à l’abri des regards, directement dans leur corps. Une méthode risquée pour la santé, comme en témoigne le décès de ce trentenaire brésilien à Grigny.
Car si une seule de ces capsules venait à se rompre pendant le transit stomacal, c’est une dose mortelle de cocaïne qui se diffuserait dans l’organisme. C’est certainement ce qui est arrivé à cet homme, incapable de communiquer avec les secours à son arrivée tant il ne parlait que le portugais. Il a fini par succomber d’un arrêt cardiaque lié à une overdose massive.
Les lignes aériennes d’Amérique du Sud, des routes privilégiées
Comme l’expliquent les autorités, ce mode opératoire est fréquent sur les lignes aériennes en provenance de pays producteurs de cocaïne, notamment d’Amérique du Sud. Selon une source policière :
C’est une pratique courante. On a beaucoup de Guyanais, de Nigériens, de Brésiliens qui sont recrutés pour faire la mule. Ils ingèrent des ogives de quelques grammes entourées de cellophane.
– Un policier spécialisé
Les vols en provenance de Guyane sont particulièrement surveillés car c’est une zone de transit majeure proche des lieux de production. En 2023, ce sont ainsi 143 “mules” transportant de la cocaïne qui ont été interpellées à l’aéroport d’Orly en provenance de Cayenne.
Des risques sanitaires et sécuritaires
Cette tragédie à Grigny illustre l’ampleur et la complexité des réseaux internationaux de narcotrafiquants. Depuis les cartels sud-américains jusqu’aux dealers des cités sensibles, la cocaïne suit un long périple qui mobilise des milliers de petites mains, souvent précaires et prêtes à prendre tous les risques pour quelques billets.
Face à cette criminalité transnationale, les états peinent à apporter une réponse globale et coordonnée. La coopération entre pays producteurs et pays consommateurs reste limitée et se heurte aux intérêts économiques de certains, à la corruption endémique des états faibles et à l’attractivité des profits faramineux du trafic.
Vers une nécessaire intensification de la lutte anti-drogue
Il est urgent de renforcer les dispositifs de contrôle et de répression pour tarir ces routes de la cocaïne à la source. Cela passe par :
- Un soutien accru aux pays producteurs pour les aider à sécuriser les sites de production et combattre les narcotraficants
- Le démantèlement des filières de blanchiment d’argent qui financent ces réseaux criminels
- Des sanctions plus sévères contre les passeurs, dealers et autres maillons de la chaîne
- Des campagnes de prévention auprès des publics vulnérables pour les dissuader de collaborer avec les trafiquants
Seule une action concertée et déterminée permettra de venir à bout de ce fléau. Chaque “mule” qui succombe à une overdose en pleine rue, comme à Grigny, doit nous rappeler l’urgence d’agir. Car derrière ce fait divers sordide, c’est un véritable drame humain et sanitaire qui se joue sous nos yeux, l’air de rien.
Cette tragédie à Grigny illustre l’ampleur et la complexité des réseaux internationaux de narcotrafiquants. Depuis les cartels sud-américains jusqu’aux dealers des cités sensibles, la cocaïne suit un long périple qui mobilise des milliers de petites mains, souvent précaires et prêtes à prendre tous les risques pour quelques billets.
Face à cette criminalité transnationale, les états peinent à apporter une réponse globale et coordonnée. La coopération entre pays producteurs et pays consommateurs reste limitée et se heurte aux intérêts économiques de certains, à la corruption endémique des états faibles et à l’attractivité des profits faramineux du trafic.
Vers une nécessaire intensification de la lutte anti-drogue
Il est urgent de renforcer les dispositifs de contrôle et de répression pour tarir ces routes de la cocaïne à la source. Cela passe par :
- Un soutien accru aux pays producteurs pour les aider à sécuriser les sites de production et combattre les narcotraficants
- Le démantèlement des filières de blanchiment d’argent qui financent ces réseaux criminels
- Des sanctions plus sévères contre les passeurs, dealers et autres maillons de la chaîne
- Des campagnes de prévention auprès des publics vulnérables pour les dissuader de collaborer avec les trafiquants
Seule une action concertée et déterminée permettra de venir à bout de ce fléau. Chaque “mule” qui succombe à une overdose en pleine rue, comme à Grigny, doit nous rappeler l’urgence d’agir. Car derrière ce fait divers sordide, c’est un véritable drame humain et sanitaire qui se joue sous nos yeux, l’air de rien.
Les autorités tentent de renforcer les contrôles en amont, notamment dans les aéroports des départements d’outre-mer comme la Guyane. Des unités cynotechniques détectent les porteurs de drogue et les douanes effectuent des contrôles approfondis des passagers à risque. Mais force est de constater que de nombreuses “mules” parviennent encore à passer entre les mailles du filet.
Un trafic tentaculaire difficile à endiguer
Cette tragédie à Grigny illustre l’ampleur et la complexité des réseaux internationaux de narcotrafiquants. Depuis les cartels sud-américains jusqu’aux dealers des cités sensibles, la cocaïne suit un long périple qui mobilise des milliers de petites mains, souvent précaires et prêtes à prendre tous les risques pour quelques billets.
Face à cette criminalité transnationale, les états peinent à apporter une réponse globale et coordonnée. La coopération entre pays producteurs et pays consommateurs reste limitée et se heurte aux intérêts économiques de certains, à la corruption endémique des états faibles et à l’attractivité des profits faramineux du trafic.
Vers une nécessaire intensification de la lutte anti-drogue
Il est urgent de renforcer les dispositifs de contrôle et de répression pour tarir ces routes de la cocaïne à la source. Cela passe par :
- Un soutien accru aux pays producteurs pour les aider à sécuriser les sites de production et combattre les narcotraficants
- Le démantèlement des filières de blanchiment d’argent qui financent ces réseaux criminels
- Des sanctions plus sévères contre les passeurs, dealers et autres maillons de la chaîne
- Des campagnes de prévention auprès des publics vulnérables pour les dissuader de collaborer avec les trafiquants
Seule une action concertée et déterminée permettra de venir à bout de ce fléau. Chaque “mule” qui succombe à une overdose en pleine rue, comme à Grigny, doit nous rappeler l’urgence d’agir. Car derrière ce fait divers sordide, c’est un véritable drame humain et sanitaire qui se joue sous nos yeux, l’air de rien.
Les autorités tentent de renforcer les contrôles en amont, notamment dans les aéroports des départements d’outre-mer comme la Guyane. Des unités cynotechniques détectent les porteurs de drogue et les douanes effectuent des contrôles approfondis des passagers à risque. Mais force est de constater que de nombreuses “mules” parviennent encore à passer entre les mailles du filet.
Un trafic tentaculaire difficile à endiguer
Cette tragédie à Grigny illustre l’ampleur et la complexité des réseaux internationaux de narcotrafiquants. Depuis les cartels sud-américains jusqu’aux dealers des cités sensibles, la cocaïne suit un long périple qui mobilise des milliers de petites mains, souvent précaires et prêtes à prendre tous les risques pour quelques billets.
Face à cette criminalité transnationale, les états peinent à apporter une réponse globale et coordonnée. La coopération entre pays producteurs et pays consommateurs reste limitée et se heurte aux intérêts économiques de certains, à la corruption endémique des états faibles et à l’attractivité des profits faramineux du trafic.
Vers une nécessaire intensification de la lutte anti-drogue
Il est urgent de renforcer les dispositifs de contrôle et de répression pour tarir ces routes de la cocaïne à la source. Cela passe par :
- Un soutien accru aux pays producteurs pour les aider à sécuriser les sites de production et combattre les narcotraficants
- Le démantèlement des filières de blanchiment d’argent qui financent ces réseaux criminels
- Des sanctions plus sévères contre les passeurs, dealers et autres maillons de la chaîne
- Des campagnes de prévention auprès des publics vulnérables pour les dissuader de collaborer avec les trafiquants
Seule une action concertée et déterminée permettra de venir à bout de ce fléau. Chaque “mule” qui succombe à une overdose en pleine rue, comme à Grigny, doit nous rappeler l’urgence d’agir. Car derrière ce fait divers sordide, c’est un véritable drame humain et sanitaire qui se joue sous nos yeux, l’air de rien.
Au-delà du drame humain, ce phénomène représente de vrais dangers pour la santé publique et la sécurité. Chaque année, plusieurs “mules” meurent des suites d’une overdose liée à la rupture d’un ovule dans leur estomac. Sans compter les risques de violences et règlements de compte entre trafiquants sur notre territoire.
Les autorités tentent de renforcer les contrôles en amont, notamment dans les aéroports des départements d’outre-mer comme la Guyane. Des unités cynotechniques détectent les porteurs de drogue et les douanes effectuent des contrôles approfondis des passagers à risque. Mais force est de constater que de nombreuses “mules” parviennent encore à passer entre les mailles du filet.
Un trafic tentaculaire difficile à endiguer
Cette tragédie à Grigny illustre l’ampleur et la complexité des réseaux internationaux de narcotrafiquants. Depuis les cartels sud-américains jusqu’aux dealers des cités sensibles, la cocaïne suit un long périple qui mobilise des milliers de petites mains, souvent précaires et prêtes à prendre tous les risques pour quelques billets.
Face à cette criminalité transnationale, les états peinent à apporter une réponse globale et coordonnée. La coopération entre pays producteurs et pays consommateurs reste limitée et se heurte aux intérêts économiques de certains, à la corruption endémique des états faibles et à l’attractivité des profits faramineux du trafic.
Vers une nécessaire intensification de la lutte anti-drogue
Il est urgent de renforcer les dispositifs de contrôle et de répression pour tarir ces routes de la cocaïne à la source. Cela passe par :
- Un soutien accru aux pays producteurs pour les aider à sécuriser les sites de production et combattre les narcotraficants
- Le démantèlement des filières de blanchiment d’argent qui financent ces réseaux criminels
- Des sanctions plus sévères contre les passeurs, dealers et autres maillons de la chaîne
- Des campagnes de prévention auprès des publics vulnérables pour les dissuader de collaborer avec les trafiquants
Seule une action concertée et déterminée permettra de venir à bout de ce fléau. Chaque “mule” qui succombe à une overdose en pleine rue, comme à Grigny, doit nous rappeler l’urgence d’agir. Car derrière ce fait divers sordide, c’est un véritable drame humain et sanitaire qui se joue sous nos yeux, l’air de rien.
Au-delà du drame humain, ce phénomène représente de vrais dangers pour la santé publique et la sécurité. Chaque année, plusieurs “mules” meurent des suites d’une overdose liée à la rupture d’un ovule dans leur estomac. Sans compter les risques de violences et règlements de compte entre trafiquants sur notre territoire.
Les autorités tentent de renforcer les contrôles en amont, notamment dans les aéroports des départements d’outre-mer comme la Guyane. Des unités cynotechniques détectent les porteurs de drogue et les douanes effectuent des contrôles approfondis des passagers à risque. Mais force est de constater que de nombreuses “mules” parviennent encore à passer entre les mailles du filet.
Un trafic tentaculaire difficile à endiguer
Cette tragédie à Grigny illustre l’ampleur et la complexité des réseaux internationaux de narcotrafiquants. Depuis les cartels sud-américains jusqu’aux dealers des cités sensibles, la cocaïne suit un long périple qui mobilise des milliers de petites mains, souvent précaires et prêtes à prendre tous les risques pour quelques billets.
Face à cette criminalité transnationale, les états peinent à apporter une réponse globale et coordonnée. La coopération entre pays producteurs et pays consommateurs reste limitée et se heurte aux intérêts économiques de certains, à la corruption endémique des états faibles et à l’attractivité des profits faramineux du trafic.
Vers une nécessaire intensification de la lutte anti-drogue
Il est urgent de renforcer les dispositifs de contrôle et de répression pour tarir ces routes de la cocaïne à la source. Cela passe par :
- Un soutien accru aux pays producteurs pour les aider à sécuriser les sites de production et combattre les narcotraficants
- Le démantèlement des filières de blanchiment d’argent qui financent ces réseaux criminels
- Des sanctions plus sévères contre les passeurs, dealers et autres maillons de la chaîne
- Des campagnes de prévention auprès des publics vulnérables pour les dissuader de collaborer avec les trafiquants
Seule une action concertée et déterminée permettra de venir à bout de ce fléau. Chaque “mule” qui succombe à une overdose en pleine rue, comme à Grigny, doit nous rappeler l’urgence d’agir. Car derrière ce fait divers sordide, c’est un véritable drame humain et sanitaire qui se joue sous nos yeux, l’air de rien.