2024 restera une année noire pour le sport mondial. De nombreuses légendes nous ont quittés, laissant les fans orphelins mais aussi riches de merveilleux souvenirs. Retour sur ces destins hors du commun qui ont marqué à jamais leurs disciplines.
Le football perd ses légendes Beckenbauer et Zagallo
Le football a été particulièrement endeuillé cette année avec les décès du « Kaiser » Franz Beckenbauer et du Brésilien Mario Zagallo. Beckenbauer, vainqueur de la Coupe du monde comme joueur en 1974 puis comme entraîneur en 1990, était une icône en Allemagne et bien au-delà pour son élégance et son charisme. Zagallo de son côté, décédé à 92 ans, était le dernier survivant de l’épopée auriverde aux Mondiaux 1958 et 1962, avant de soulever le trophée comme coach en 1970. Deux immenses techniciens se sont également éteints en 2024, le Français Jean Petit et l’Espagnol Luis Aragonés.
Le rugby orphelin d’André Boniface
L’emblématique centre international français des années 50 et 60 André Boniface s’en est allé à l’âge de 90 ans. Avec son compère Roger Martine, il forma une paire légendaire au Stade montois et en équipe de France, étant l’un des principaux artisans des épopées du XV de France de l’époque. Son jeu flamboyant et son fighting spirit incarnaient le « french flair ». Le rugby a aussi perdu deux autres monuments avec le demi de mêlée du grand Pays de Galles des seventies JPR Williams et le deuxième ligne du XV de France champion 1958 Lucien Mias.
Les adieux à Michel Jazy et Raphaël Géminiani
L’athlétisme français est en deuil après la disparition à 87 ans de Michel Jazy, immense champion des années 60. Détenteur du record du monde du mile et double médaillé olympique, il régna sur le demi-fond mondial avec un style et une foulée d’une grâce infinie. Le cyclisme a lui dit adieu au « grand Gem », surnom de Raphaël Géminiani. Ce rouleur puissant, éternel rival de Louison Bobet, remporta notamment le Tour d’Espagne 1955. Mais le natif de Clermont-Ferrand était surtout une figure truculente du peloton, réputé pour son franc-parler.
Neale Fraser et Dikembe Mutombo, d’autres légendes disparues
Ils ont aussi tiré leur révérence en 2024 : l’Australien Neale Fraser, l’un des plus grands joueurs de tennis des années 50-60 avec ses 11 titres du Grand Chelem, et le géant congolais Dikembe Mutombo qui révolutionna l’art du contre en NBA lors de ses 18 saisons sur les parquets américains. Des sportifs plus jeunes ont également tragiquement perdu la vie comme la jeune prodige de l’athlétisme ougandaise Rebecca Cheptegei, victime d’un féminicide, ou le marathonien kényan Kelvin Kiptum, tué dans un accident. Une pensée aussi pour l’ex-international marocain de football Abdelaziz Barrada, parti à seulement 35 ans.
Les légendes ne meurent jamais. Elles continuent de vivre dans le cœur et la mémoire des fans.
S’ils ne sont plus là physiquement, tous ces champions d’exception restent éternels par l’empreinte unique qu’ils ont laissée. Par leurs exploits sportifs, leur engagement et leur personnalité attachante, ils ont contribué à écrire la grande histoire du sport. Aujourd’hui disparus, ils continueront longtemps d’inspirer les générations futures d’athlètes et de passionnés. Car comme le veut l’adage, les vrais héros ne meurent jamais. Leur héritage est immortel.
L’athlétisme français est en deuil après la disparition à 87 ans de Michel Jazy, immense champion des années 60. Détenteur du record du monde du mile et double médaillé olympique, il régna sur le demi-fond mondial avec un style et une foulée d’une grâce infinie. Le cyclisme a lui dit adieu au « grand Gem », surnom de Raphaël Géminiani. Ce rouleur puissant, éternel rival de Louison Bobet, remporta notamment le Tour d’Espagne 1955. Mais le natif de Clermont-Ferrand était surtout une figure truculente du peloton, réputé pour son franc-parler.
Neale Fraser et Dikembe Mutombo, d’autres légendes disparues
Ils ont aussi tiré leur révérence en 2024 : l’Australien Neale Fraser, l’un des plus grands joueurs de tennis des années 50-60 avec ses 11 titres du Grand Chelem, et le géant congolais Dikembe Mutombo qui révolutionna l’art du contre en NBA lors de ses 18 saisons sur les parquets américains. Des sportifs plus jeunes ont également tragiquement perdu la vie comme la jeune prodige de l’athlétisme ougandaise Rebecca Cheptegei, victime d’un féminicide, ou le marathonien kényan Kelvin Kiptum, tué dans un accident. Une pensée aussi pour l’ex-international marocain de football Abdelaziz Barrada, parti à seulement 35 ans.
Les légendes ne meurent jamais. Elles continuent de vivre dans le cœur et la mémoire des fans.
S’ils ne sont plus là physiquement, tous ces champions d’exception restent éternels par l’empreinte unique qu’ils ont laissée. Par leurs exploits sportifs, leur engagement et leur personnalité attachante, ils ont contribué à écrire la grande histoire du sport. Aujourd’hui disparus, ils continueront longtemps d’inspirer les générations futures d’athlètes et de passionnés. Car comme le veut l’adage, les vrais héros ne meurent jamais. Leur héritage est immortel.
