Les négociations pour la prolongation du contrat de Luis de la Fuente, sélectionneur de l’Espagne tout juste sacrée championne d’Europe, s’annoncent plus compliquées que prévu. Au cœur des discussions : le salaire du technicien qui souhaite voir ses émoluments revalorisés de manière conséquente après avoir mené la Roja sur le toit de l’Europe.
Une augmentation qui fait débat
Selon une source proche du dossier, Luis de la Fuente réclamerait un salaire annuel de 3 millions d’euros, soit le montant que percevait son prédécesseur Luis Enrique lorsqu’il était en poste entre 2019 et 2022. Une somme qui représenterait le double de ce que touche actuellement le sélectionneur espagnol.
Du côté de la fédération espagnole (RFEF), on se montre pour l’instant réticent à accéder à une telle demande. Le nouveau président Rafael Louzan, qui a succédé à Pedro Rocha, serait prêt à faire un geste significatif mais pas dans les proportions souhaitées par De la Fuente. La RFEF ne voudrait pas dépasser la barre des 2 millions d’euros annuels.
Le spectre d’un bras de fer
Si les deux parties campent pour l’instant sur leurs positions, un accord reste possible dans les prochaines semaines. Luis de la Fuente peut se prévaloir du soutien indéfectible de ses joueurs et de l’opinion publique depuis le sacre européen de cet été. La fédération espagnole, elle, doit composer avec des finances exsangues après une année 2024 marquée par des résultats sportifs contrastés.
Reste à savoir si le technicien de 62 ans sera prêt à aller au bras de fer pour obtenir gain de cause. Sous contrat jusqu’en 2026, Luis de la Fuente souhaite prolonger son bail jusqu’à la Coupe du monde 2028 aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Mais à quel prix ? L’épilogue de ce dossier brûlant risque de donner le ton pour le début de ce nouveau cycle à la tête de la Roja.
Le spectre d’un bras de fer
Si les deux parties campent pour l’instant sur leurs positions, un accord reste possible dans les prochaines semaines. Luis de la Fuente peut se prévaloir du soutien indéfectible de ses joueurs et de l’opinion publique depuis le sacre européen de cet été. La fédération espagnole, elle, doit composer avec des finances exsangues après une année 2024 marquée par des résultats sportifs contrastés.
Reste à savoir si le technicien de 62 ans sera prêt à aller au bras de fer pour obtenir gain de cause. Sous contrat jusqu’en 2026, Luis de la Fuente souhaite prolonger son bail jusqu’à la Coupe du monde 2028 aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Mais à quel prix ? L’épilogue de ce dossier brûlant risque de donner le ton pour le début de ce nouveau cycle à la tête de la Roja.
Un palmarès en question
Pour justifier sa position, la fédération ferait valoir que Luis Enrique, aujourd’hui sur le banc du Paris Saint-Germain, disposait d’un CV plus étoffé que celui de Luis de la Fuente lorsqu’il avait obtenu un salaire de 3 millions à la tête de la sélection. Ancien sélectionneur des Espoirs espagnols, De la Fuente n’a en effet remporté « que » l’Euro 2024 pour sa première grande compétition à la tête de la Roja.
Rafael Louzan a reçu un mandat clair de la part de la RFEF : négocier l’augmentation de Luis de la Fuente en restant « dans les prix du marché ».
Une source proche des négociations
Le spectre d’un bras de fer
Si les deux parties campent pour l’instant sur leurs positions, un accord reste possible dans les prochaines semaines. Luis de la Fuente peut se prévaloir du soutien indéfectible de ses joueurs et de l’opinion publique depuis le sacre européen de cet été. La fédération espagnole, elle, doit composer avec des finances exsangues après une année 2024 marquée par des résultats sportifs contrastés.
Reste à savoir si le technicien de 62 ans sera prêt à aller au bras de fer pour obtenir gain de cause. Sous contrat jusqu’en 2026, Luis de la Fuente souhaite prolonger son bail jusqu’à la Coupe du monde 2028 aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Mais à quel prix ? L’épilogue de ce dossier brûlant risque de donner le ton pour le début de ce nouveau cycle à la tête de la Roja.
Un palmarès en question
Pour justifier sa position, la fédération ferait valoir que Luis Enrique, aujourd’hui sur le banc du Paris Saint-Germain, disposait d’un CV plus étoffé que celui de Luis de la Fuente lorsqu’il avait obtenu un salaire de 3 millions à la tête de la sélection. Ancien sélectionneur des Espoirs espagnols, De la Fuente n’a en effet remporté « que » l’Euro 2024 pour sa première grande compétition à la tête de la Roja.
Rafael Louzan a reçu un mandat clair de la part de la RFEF : négocier l’augmentation de Luis de la Fuente en restant « dans les prix du marché ».
Une source proche des négociations
Le spectre d’un bras de fer
Si les deux parties campent pour l’instant sur leurs positions, un accord reste possible dans les prochaines semaines. Luis de la Fuente peut se prévaloir du soutien indéfectible de ses joueurs et de l’opinion publique depuis le sacre européen de cet été. La fédération espagnole, elle, doit composer avec des finances exsangues après une année 2024 marquée par des résultats sportifs contrastés.
Reste à savoir si le technicien de 62 ans sera prêt à aller au bras de fer pour obtenir gain de cause. Sous contrat jusqu’en 2026, Luis de la Fuente souhaite prolonger son bail jusqu’à la Coupe du monde 2028 aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Mais à quel prix ? L’épilogue de ce dossier brûlant risque de donner le ton pour le début de ce nouveau cycle à la tête de la Roja.
