Près de trois ans après l’assassinat du professeur Samuel Paty qui avait choqué la France, le procès des adultes impliqués se poursuit à Paris. Lundi, la cour d’assises spéciale a entendu les témoignages marquants de deux ex-collégiens, déjà jugés par un tribunal pour enfants pour leur rôle dans ce drame. Leurs récits mettent en lumière la légèreté avec laquelle ils ont agi, sans mesurer la portée de leurs actes.
Le Mobile Pécuniaire D’Un Ex-Collégien
Karim*, l’ancien élève qui avait désigné Samuel Paty à son meurtrier, l’islamiste Abdoullakh Anzorov, a livré un témoignage poignant à la barre. Mal à l’aise, les cheveux longs et bouclés, habillé d’un sweat à capuche noir, l’adolescent a expliqué avoir agi uniquement par appât du gain. “Moi j’étais juste concentré sur l’argent”, a-t-il déclaré, portant sa “connerie” comme un fardeau impossible à déposer.
Le jeune homme est revenu sur cette journée tragique du 16 octobre 2020, où tout a basculé. A la sortie du collège, Anzorov lui avait proposé de l’argent en échange d’informations pour identifier le professeur. Une somme de 350€ en petites coupures, qui représentait une fortune pour ce collégien issu d’un milieu modeste. Sans réfléchir aux conséquences, il avait accepté le marché.
“On ne pourra jamais faire machine arrière”
Karim, ex-collégien impliqué
Le Mensonge Fatal D’Une Collégienne
Avant de passer à l’acte, Anzorov aurait encore eu des doutes sur les accusations visant Samuel Paty d’avoir montré des caricatures du prophète. Il a demandé à Karim d’appeler une collégienne, N., à l’origine de ces rumeurs mensongères. Au téléphone, celle-ci a confirmé ses allégations infondées au terroriste. Un mensonge fatal qui a scellé le sort du professeur.
Le procès des adultes impliqués dans l’assassinat de Samuel Paty se poursuit jusqu’au 20 décembre. Au fil des audiences, la cour tente de faire la lumière sur les responsabilités de chacun dans ce drame qui a profondément choqué le pays.
*Les prénoms ont été modifiésLe procès des adultes impliqués dans l’assassinat de Samuel Paty se poursuit jusqu’au 20 décembre. Au fil des audiences, la cour tente de faire la lumière sur les responsabilités de chacun dans ce drame qui a profondément choqué le pays.
*Les prénoms ont été modifiésCes témoignages mettent en lumière le rôle tragique joué par ces adolescents, livrés à eux-mêmes face à un fanatique déterminé. Sans en mesurer les conséquences, ils ont désigné un homme à son bourreau, pour quelques billets. Un acte irréparable qu’ils porteront à vie comme un fardeau.
Le procès des adultes impliqués dans l’assassinat de Samuel Paty se poursuit jusqu’au 20 décembre. Au fil des audiences, la cour tente de faire la lumière sur les responsabilités de chacun dans ce drame qui a profondément choqué le pays.
*Les prénoms ont été modifiésCes témoignages mettent en lumière le rôle tragique joué par ces adolescents, livrés à eux-mêmes face à un fanatique déterminé. Sans en mesurer les conséquences, ils ont désigné un homme à son bourreau, pour quelques billets. Un acte irréparable qu’ils porteront à vie comme un fardeau.
Le procès des adultes impliqués dans l’assassinat de Samuel Paty se poursuit jusqu’au 20 décembre. Au fil des audiences, la cour tente de faire la lumière sur les responsabilités de chacun dans ce drame qui a profondément choqué le pays.
*Les prénoms ont été modifiésSami*, un autre ex-collégien condamné pour avoir lui aussi désigné la victime, peine à expliquer son geste inconsidéré devant la cour. “Je ne réalisais pas trop ce que j’étais en train de faire”, a-t-il déclaré laconiquement. Comme Karim, il avait écopé d’une peine de prison avec sursis lors du procès des mineurs.
Ces témoignages mettent en lumière le rôle tragique joué par ces adolescents, livrés à eux-mêmes face à un fanatique déterminé. Sans en mesurer les conséquences, ils ont désigné un homme à son bourreau, pour quelques billets. Un acte irréparable qu’ils porteront à vie comme un fardeau.
Le procès des adultes impliqués dans l’assassinat de Samuel Paty se poursuit jusqu’au 20 décembre. Au fil des audiences, la cour tente de faire la lumière sur les responsabilités de chacun dans ce drame qui a profondément choqué le pays.
*Les prénoms ont été modifiésSami*, un autre ex-collégien condamné pour avoir lui aussi désigné la victime, peine à expliquer son geste inconsidéré devant la cour. “Je ne réalisais pas trop ce que j’étais en train de faire”, a-t-il déclaré laconiquement. Comme Karim, il avait écopé d’une peine de prison avec sursis lors du procès des mineurs.
Ces témoignages mettent en lumière le rôle tragique joué par ces adolescents, livrés à eux-mêmes face à un fanatique déterminé. Sans en mesurer les conséquences, ils ont désigné un homme à son bourreau, pour quelques billets. Un acte irréparable qu’ils porteront à vie comme un fardeau.
Le procès des adultes impliqués dans l’assassinat de Samuel Paty se poursuit jusqu’au 20 décembre. Au fil des audiences, la cour tente de faire la lumière sur les responsabilités de chacun dans ce drame qui a profondément choqué le pays.
*Les prénoms ont été modifiésC’est l’arrivée de la police sur les lieux du crime qui a fait prendre conscience à Karim de l’ampleur du drame. “C’est à ce moment-là qu’on a ouvert les yeux. On s’est dit : on est morts. On a fait une connerie”, a-t-il raconté, effondré, les larmes aux yeux. Jamais il n’aurait imaginé une telle issue, ayant agi aveuglé par l’appât du gain.
Sami*, un autre ex-collégien condamné pour avoir lui aussi désigné la victime, peine à expliquer son geste inconsidéré devant la cour. “Je ne réalisais pas trop ce que j’étais en train de faire”, a-t-il déclaré laconiquement. Comme Karim, il avait écopé d’une peine de prison avec sursis lors du procès des mineurs.
Ces témoignages mettent en lumière le rôle tragique joué par ces adolescents, livrés à eux-mêmes face à un fanatique déterminé. Sans en mesurer les conséquences, ils ont désigné un homme à son bourreau, pour quelques billets. Un acte irréparable qu’ils porteront à vie comme un fardeau.
Le procès des adultes impliqués dans l’assassinat de Samuel Paty se poursuit jusqu’au 20 décembre. Au fil des audiences, la cour tente de faire la lumière sur les responsabilités de chacun dans ce drame qui a profondément choqué le pays.
*Les prénoms ont été modifiésC’est l’arrivée de la police sur les lieux du crime qui a fait prendre conscience à Karim de l’ampleur du drame. “C’est à ce moment-là qu’on a ouvert les yeux. On s’est dit : on est morts. On a fait une connerie”, a-t-il raconté, effondré, les larmes aux yeux. Jamais il n’aurait imaginé une telle issue, ayant agi aveuglé par l’appât du gain.
Sami*, un autre ex-collégien condamné pour avoir lui aussi désigné la victime, peine à expliquer son geste inconsidéré devant la cour. “Je ne réalisais pas trop ce que j’étais en train de faire”, a-t-il déclaré laconiquement. Comme Karim, il avait écopé d’une peine de prison avec sursis lors du procès des mineurs.
Ces témoignages mettent en lumière le rôle tragique joué par ces adolescents, livrés à eux-mêmes face à un fanatique déterminé. Sans en mesurer les conséquences, ils ont désigné un homme à son bourreau, pour quelques billets. Un acte irréparable qu’ils porteront à vie comme un fardeau.
Le procès des adultes impliqués dans l’assassinat de Samuel Paty se poursuit jusqu’au 20 décembre. Au fil des audiences, la cour tente de faire la lumière sur les responsabilités de chacun dans ce drame qui a profondément choqué le pays.
*Les prénoms ont été modifiésN. sera entendue comme témoin le 26 novembre. Lors du procès des mineurs, elle avait écopé de 18 mois de prison avec sursis pour dénonciation calomnieuse. Karim, lui, avait été condamné à deux ans de prison dont six mois ferme. Des peines légères au regard de l’horreur de l’acte commis, mais qui reflètent leur jeune âge et leur inconscience.
Le Choc Et Les Remords Des Adolescents
C’est l’arrivée de la police sur les lieux du crime qui a fait prendre conscience à Karim de l’ampleur du drame. “C’est à ce moment-là qu’on a ouvert les yeux. On s’est dit : on est morts. On a fait une connerie”, a-t-il raconté, effondré, les larmes aux yeux. Jamais il n’aurait imaginé une telle issue, ayant agi aveuglé par l’appât du gain.
Sami*, un autre ex-collégien condamné pour avoir lui aussi désigné la victime, peine à expliquer son geste inconsidéré devant la cour. “Je ne réalisais pas trop ce que j’étais en train de faire”, a-t-il déclaré laconiquement. Comme Karim, il avait écopé d’une peine de prison avec sursis lors du procès des mineurs.
Ces témoignages mettent en lumière le rôle tragique joué par ces adolescents, livrés à eux-mêmes face à un fanatique déterminé. Sans en mesurer les conséquences, ils ont désigné un homme à son bourreau, pour quelques billets. Un acte irréparable qu’ils porteront à vie comme un fardeau.
Le procès des adultes impliqués dans l’assassinat de Samuel Paty se poursuit jusqu’au 20 décembre. Au fil des audiences, la cour tente de faire la lumière sur les responsabilités de chacun dans ce drame qui a profondément choqué le pays.
*Les prénoms ont été modifiésN. sera entendue comme témoin le 26 novembre. Lors du procès des mineurs, elle avait écopé de 18 mois de prison avec sursis pour dénonciation calomnieuse. Karim, lui, avait été condamné à deux ans de prison dont six mois ferme. Des peines légères au regard de l’horreur de l’acte commis, mais qui reflètent leur jeune âge et leur inconscience.
Le Choc Et Les Remords Des Adolescents
C’est l’arrivée de la police sur les lieux du crime qui a fait prendre conscience à Karim de l’ampleur du drame. “C’est à ce moment-là qu’on a ouvert les yeux. On s’est dit : on est morts. On a fait une connerie”, a-t-il raconté, effondré, les larmes aux yeux. Jamais il n’aurait imaginé une telle issue, ayant agi aveuglé par l’appât du gain.
Sami*, un autre ex-collégien condamné pour avoir lui aussi désigné la victime, peine à expliquer son geste inconsidéré devant la cour. “Je ne réalisais pas trop ce que j’étais en train de faire”, a-t-il déclaré laconiquement. Comme Karim, il avait écopé d’une peine de prison avec sursis lors du procès des mineurs.
Ces témoignages mettent en lumière le rôle tragique joué par ces adolescents, livrés à eux-mêmes face à un fanatique déterminé. Sans en mesurer les conséquences, ils ont désigné un homme à son bourreau, pour quelques billets. Un acte irréparable qu’ils porteront à vie comme un fardeau.
Le procès des adultes impliqués dans l’assassinat de Samuel Paty se poursuit jusqu’au 20 décembre. Au fil des audiences, la cour tente de faire la lumière sur les responsabilités de chacun dans ce drame qui a profondément choqué le pays.
*Les prénoms ont été modifiés