Qui l’eût cru ? Le Stade Brestois, modeste club breton, est en train de réaliser un parcours fantastique en Ligue des Champions. Après 4 journées de la phase de groupes, les hommes d’Eric Roy sont toujours en course pour une qualification en huitièmes de finale. Une première historique pour le club qui est déjà assuré de garnir ses caisses grâce à ses exploits européens.
Le Stade Brestois en route vers la gloire européenne
Actuellement 4e de son groupe de Ligue des Champions, le Stade Brestois a réussi des performances remarquables depuis le début de la compétition. Avec 3 victoires et 1 nul, les Bretons ont pris 10 points sur 12 possibles, un bilan plus qu’honorable pour une équipe novice à ce niveau. Les coéquipiers de Brendan Chardonnet peuvent toujours croire en leurs chances de voir les huitièmes de finale.
Il faut dire que le Stade Brestois a été impressionnant, notamment à domicile où il reste sur deux succès de prestige face à de grandes écuries européennes. Des victoires acquises grâce à la force collective d’un groupe soudé et appliqué, qui arrive à se sublimer dans les grands rendez-vous. Le public du stade Francis-Le Blé n’est pas étranger à ces performances, lui qui pousse comme jamais derrière son équipe.
Les Ty’Zefs déjà assurés de toucher le jackpot
Au-delà de l’aventure sportive, c’est une véritable manne financière qui attend le Stade Brestois grâce à son épopée européenne. Rien que pour sa qualification en phase de groupes, le club a déjà empoché 18,6 millions d’euros. À cela s’ajoutent 7 millions glanés grâce aux résultats (2,1 millions par victoire).
Si l’on y ajoute les primes de classement (8,25 millions pour une 4e place) et les revenus liés aux droits TV, c’est un véritable pactole qui se profile. En cas de qualification en huitièmes de finale, le Stade Brestois pourrait ainsi engranger près de 45 millions d’euros au total sur cette campagne de Ligue des Champions. Soit quasiment l’équivalent de son budget annuel (48 millions).
Un club transformé grâce à l’Europe
Cette manne providentielle va permettre au Stade Brestois de franchir un cap dans son développement. Selon nos informations, la direction prévoit d’injecter une partie des gains dans la rénovation des infrastructures du club, à commencer par le centre d’entraînement. Des investissements sont aussi prévus pour renforcer l’équipe afin d’être plus compétitif en Ligue 1.
L’enveloppe salariale, aujourd’hui l’une des plus faibles de l’élite (environ 700 000 euros mensuels), devrait également être revue à la hausse. De quoi attirer des joueurs confirmés et bâtir un effectif plus dense, capable de jouer sur tous les tableaux. Car les ambitions sont grandes du côté de la Cité du Ponant, qui espère s’installer durablement dans le top 10 national.
Un exploit historique à portée de main
Mais avant de penser à l’avenir, les Brestois veulent aller au bout de leur rêve européen. Pour cela, il leur faudra bien négocier les deux dernières journées de la phase de groupes, avec un déplacement périlleux sur la pelouse d’un grand d’Europe, avant de recevoir un adversaire plus abordable lors de l’ultime levée.
En cas de qualification, ce serait un authentique exploit pour le club breton, qui n’avait encore jamais goûté à la C1 avant cette saison. Cela récompenserait aussi le travail de longue haleine effectué par le staff et les dirigeants ces dernières années. Une juste consécration pour ce club familial aux valeurs fortes.
Quoi qu’il arrive, le Stade Brestois aura marqué cette édition de la Ligue des Champions de son empreinte. Et prouvé qu’avec de la rigueur, de la solidarité et une identité claire, même les « petits » peuvent renverser des montagnes. Une belle leçon de football, et de vie.
Cette manne providentielle va permettre au Stade Brestois de franchir un cap dans son développement. Selon nos informations, la direction prévoit d’injecter une partie des gains dans la rénovation des infrastructures du club, à commencer par le centre d’entraînement. Des investissements sont aussi prévus pour renforcer l’équipe afin d’être plus compétitif en Ligue 1.
L’enveloppe salariale, aujourd’hui l’une des plus faibles de l’élite (environ 700 000 euros mensuels), devrait également être revue à la hausse. De quoi attirer des joueurs confirmés et bâtir un effectif plus dense, capable de jouer sur tous les tableaux. Car les ambitions sont grandes du côté de la Cité du Ponant, qui espère s’installer durablement dans le top 10 national.
Un exploit historique à portée de main
Mais avant de penser à l’avenir, les Brestois veulent aller au bout de leur rêve européen. Pour cela, il leur faudra bien négocier les deux dernières journées de la phase de groupes, avec un déplacement périlleux sur la pelouse d’un grand d’Europe, avant de recevoir un adversaire plus abordable lors de l’ultime levée.
En cas de qualification, ce serait un authentique exploit pour le club breton, qui n’avait encore jamais goûté à la C1 avant cette saison. Cela récompenserait aussi le travail de longue haleine effectué par le staff et les dirigeants ces dernières années. Une juste consécration pour ce club familial aux valeurs fortes.
Quoi qu’il arrive, le Stade Brestois aura marqué cette édition de la Ligue des Champions de son empreinte. Et prouvé qu’avec de la rigueur, de la solidarité et une identité claire, même les « petits » peuvent renverser des montagnes. Une belle leçon de football, et de vie.