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Le Dessinateur Bastien Vivès Tacle ses Détracteurs dans une BD Satirique

Le dessinateur Bastien Vivès crée la polémique avec sa nouvelle BD satirique "La Vérité sur l'affaire Vivès" où il tacle ses détracteurs suite aux accusations de...

Le dessinateur Bastien Vivès fait à nouveau parler de lui avec la sortie ce 16 octobre de sa nouvelle bande dessinée au titre évocateur : “La Vérité sur l’affaire Vivès”. Dans cet album publié aux éditions Charlotte, l’auteur revient sur la polémique qui a éclaté fin 2022 autour de certaines de ses œuvres, accusées par des associations de protection de l’enfance de faire l’apologie de la pédocriminalité. Un ton satirique et grinçant, pour un ouvrage qui ne manquera pas de faire réagir.

Retour sur une polémique qui a secoué le monde de la BD

Tout a commencé en décembre dernier, lorsque le festival international de la bande dessinée d’Angoulême a annulé une exposition consacrée à Bastien Vivès, suite à ce que les organisateurs ont qualifié de “menaces physiques” envers le dessinateur. En cause : trois de ses œuvres, “Petit Paul” (2018), “Les Melons de la colère” (2011) et “La Décharge mentale” (2018), qui mettent en scène des personnages mineurs dans des situations pornographiques.

Face au tollé, le parquet de Nanterre a ouvert une enquête préliminaire en janvier pour “diffusion d’images pédopornographiques”, confiée à la Brigade de protection des mineurs. Une procédure toujours en cours à ce jour, sans qu’aucune poursuite n’ait été engagée contre l’auteur pour l’instant.

La liberté de création artistique en question

Pour sa défense, Bastien Vivès a toujours plaidé la liberté d’expression et de création. Selon lui, il s’agit de fictions et de représentations dessinées, qui ne sauraient être assimilées à des infractions pénales :

“Je me retrouve dans un truc qui me paraît très kafkaïen. On parle de représentations, de dessins, de personnages fictifs. Ou alors les règles du jeu ont complètement changé, et je ne m’en suis pas rendu compte”

a-t-il déclaré à l’AFP.

Mais pour les associations comme Face à l’inceste, le code pénal est clair : il y a bien “représentation d’un mineur” qui “présente un caractère pornographique”, que ce soit par le dessin ou l’écrit. La fiction ne serait donc pas un refuge permettant de tout dire et tout montrer.

“La Vérité sur l’affaire Vivès” : un album satirique qui va faire grincer des dents

On y voit un Bastien Vivès contraint de suivre des “stages de déconstruction” de la BD, enfermé dans une cellule sordide, harcelé par des éditeurs peu scrupuleux… Une vision caricaturale, volontiers provocatrice, qui risque de ne pas plaire à tout le monde, à commencer par ses principaux détracteurs.

“Je ne cherche à convaincre personne. Je propose d’en rire. Il y aura ceux que ça fait rire, et ceux que ça ne fait pas rire”

assume le dessinateur.

Un retour en fanfare qui divise

En attendant, Bastien Vivès fait son grand retour médiatique avec cet album choc et sa participation au nouveau mensuel de BD Charlotte, dont le 1er numéro a été publié fin septembre. Mais il reconnaît que l’affaire a laissé des traces, notamment auprès de certains de ses pairs :

“Les gens, aujourd’hui, avant d’entrer dans quoi que ce soit, regardent qui il y a d’autre pour ne pas être associé à telle ou telle personne”

déplore-t-il.

Reste à voir comment sera accueillie cette nouvelle livraison au vitriol, entre ceux qui y verront un nécessaire coup de gueule pour la liberté d’expression, et ceux qui crieront à la provocation de mauvais goût. Une chose est sûre : Bastien Vivès n’a pas fini de faire parler de lui, en bien ou en mal.

On y voit un Bastien Vivès contraint de suivre des “stages de déconstruction” de la BD, enfermé dans une cellule sordide, harcelé par des éditeurs peu scrupuleux… Une vision caricaturale, volontiers provocatrice, qui risque de ne pas plaire à tout le monde, à commencer par ses principaux détracteurs.

“Je ne cherche à convaincre personne. Je propose d’en rire. Il y aura ceux que ça fait rire, et ceux que ça ne fait pas rire”

assume le dessinateur.

Un retour en fanfare qui divise

En attendant, Bastien Vivès fait son grand retour médiatique avec cet album choc et sa participation au nouveau mensuel de BD Charlotte, dont le 1er numéro a été publié fin septembre. Mais il reconnaît que l’affaire a laissé des traces, notamment auprès de certains de ses pairs :

“Les gens, aujourd’hui, avant d’entrer dans quoi que ce soit, regardent qui il y a d’autre pour ne pas être associé à telle ou telle personne”

déplore-t-il.

Reste à voir comment sera accueillie cette nouvelle livraison au vitriol, entre ceux qui y verront un nécessaire coup de gueule pour la liberté d’expression, et ceux qui crieront à la provocation de mauvais goût. Une chose est sûre : Bastien Vivès n’a pas fini de faire parler de lui, en bien ou en mal.

C’est dans ce contexte tendu que sort “La Vérité sur l’affaire Vivès”, un album où l’auteur raconte sa version “satirique et outrancière” des événements.

On y voit un Bastien Vivès contraint de suivre des “stages de déconstruction” de la BD, enfermé dans une cellule sordide, harcelé par des éditeurs peu scrupuleux… Une vision caricaturale, volontiers provocatrice, qui risque de ne pas plaire à tout le monde, à commencer par ses principaux détracteurs.

“Je ne cherche à convaincre personne. Je propose d’en rire. Il y aura ceux que ça fait rire, et ceux que ça ne fait pas rire”

assume le dessinateur.

Un retour en fanfare qui divise

En attendant, Bastien Vivès fait son grand retour médiatique avec cet album choc et sa participation au nouveau mensuel de BD Charlotte, dont le 1er numéro a été publié fin septembre. Mais il reconnaît que l’affaire a laissé des traces, notamment auprès de certains de ses pairs :

“Les gens, aujourd’hui, avant d’entrer dans quoi que ce soit, regardent qui il y a d’autre pour ne pas être associé à telle ou telle personne”

déplore-t-il.

Reste à voir comment sera accueillie cette nouvelle livraison au vitriol, entre ceux qui y verront un nécessaire coup de gueule pour la liberté d’expression, et ceux qui crieront à la provocation de mauvais goût. Une chose est sûre : Bastien Vivès n’a pas fini de faire parler de lui, en bien ou en mal.

C’est dans ce contexte tendu que sort “La Vérité sur l’affaire Vivès”, un album où l’auteur raconte sa version “satirique et outrancière” des événements.

On y voit un Bastien Vivès contraint de suivre des “stages de déconstruction” de la BD, enfermé dans une cellule sordide, harcelé par des éditeurs peu scrupuleux… Une vision caricaturale, volontiers provocatrice, qui risque de ne pas plaire à tout le monde, à commencer par ses principaux détracteurs.

“Je ne cherche à convaincre personne. Je propose d’en rire. Il y aura ceux que ça fait rire, et ceux que ça ne fait pas rire”

assume le dessinateur.

Un retour en fanfare qui divise

En attendant, Bastien Vivès fait son grand retour médiatique avec cet album choc et sa participation au nouveau mensuel de BD Charlotte, dont le 1er numéro a été publié fin septembre. Mais il reconnaît que l’affaire a laissé des traces, notamment auprès de certains de ses pairs :

“Les gens, aujourd’hui, avant d’entrer dans quoi que ce soit, regardent qui il y a d’autre pour ne pas être associé à telle ou telle personne”

déplore-t-il.

Reste à voir comment sera accueillie cette nouvelle livraison au vitriol, entre ceux qui y verront un nécessaire coup de gueule pour la liberté d’expression, et ceux qui crieront à la provocation de mauvais goût. Une chose est sûre : Bastien Vivès n’a pas fini de faire parler de lui, en bien ou en mal.

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