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L’avenir trumpiste : un retour à l’ère reaganienne ?

Quel cap pour la diplomatie US en cas de retour de Trump à la Maison Blanche ? Ses proches esquissent les contours d'une politique étrangère plus proche de Reagan que de l'isolationnisme. Décryptage des enjeux géopolitiques d'une possible présidence Trump bis.

Alors que la campagne présidentielle américaine de 2024 s’intensifie, les orientations diplomatiques d’une éventuelle nouvelle administration Trump suscitent de nombreuses interrogations. Faut-il s’attendre à un virage isolationniste ou au contraire à un interventionnisme décomplexé ? Des échanges avec plusieurs stratèges et conseillers républicains proches de l’ancien président permettent d’esquisser les contours d’une doctrine Trump bis qui pourrait surprendre.

L’ombre de Ronald Reagan

Loin des caricatures sur un repli américain, les proches de Donald Trump envisagent une politique étrangère active, dans la lignée de celle menée par Ronald Reagan dans les années 1980. Dick Morris, conseiller de longue date de l’ex-président, confie ainsi :

Trump s’inspire beaucoup de Reagan. Il veut projeter la puissance américaine, faire preuve de fermeté face aux adversaires tout en privilégiant la négociation.

Dick Morris, conseiller de Donald Trump

Une approche qui trancherait avec celle, jugée trop conciliante, de l’administration Biden. Les trumpistes veulent restaurer le leadership américain en s’appuyant sur le hard power.

Muscler la dissuasion face à la Russie et la Chine

Cela passerait notamment par un renforcement des capacités militaires pour contrer les ambitions de Moscou et Pékin. Plusieurs conseillers évoquent la nécessité d’accroître les dépenses de défense et de moderniser l’arsenal nucléaire.

Objectif : dissuader toute velléité agressive de Vladimir Poutine ou Xi Jinping et les contraindre à négocier en position de faiblesse. Une stratégie de la corde raide qui n’est pas sans risque mais que les trumpistes jugent payante sur le long terme.

Jouer des alliances et du multilatéralisme

Autre axe mis en avant : la consolidation des alliances, en particulier avec les partenaires européens et asiatiques. Il s’agirait de renforcer l’OTAN et de tisser de nouveaux partenariats dans l’Indo-Pacifique pour endiguer l’expansionnisme chinois.

Pragmatiques, les stratèges trumpistes ne récusent pas le multilatéralisme. Mais ils veulent l’utiliser au service des intérêts américains, en jouant un rôle moteur au sein des organisations internationales.

Le pari de la négociation en force

In fine, l’objectif est de négocier en position de force avec les grands rivaux, suivant l’adage reaganien « La paix par la force ». Un pari audacieux alors que les tensions n’ont jamais été aussi vives, de l’Ukraine à Taïwan.

Surtout, rien ne garantit que la méthode Reagan soit adaptée au monde d’aujourd’hui. La Chine est un adversaire autrement plus coriace que ne l’était l’URSS et Poutine semble peu enclin au compromis.

Autant de défis qu’une éventuelle administration Trump devra relever pour imprimer sa marque. Avec le risque d’une confrontation accrue si la main tendue se heurte à un mur. Les prochains mois nous diront si les trumpistes peuvent réussir leur pari d’une diplomatie de combat. Une orientation lourde d’implications pour l’avenir du monde.

Surtout, rien ne garantit que la méthode Reagan soit adaptée au monde d’aujourd’hui. La Chine est un adversaire autrement plus coriace que ne l’était l’URSS et Poutine semble peu enclin au compromis.

Autant de défis qu’une éventuelle administration Trump devra relever pour imprimer sa marque. Avec le risque d’une confrontation accrue si la main tendue se heurte à un mur. Les prochains mois nous diront si les trumpistes peuvent réussir leur pari d’une diplomatie de combat. Une orientation lourde d’implications pour l’avenir du monde.

Cette doctrine, pour cohérente qu’elle paraisse, devra cependant surmonter de nombreux obstacles. À commencer par les réticences des alliés échaudés par le premier mandat trumpiste. Il faudra aussi composer avec un Congrès possiblement divisé.

Surtout, rien ne garantit que la méthode Reagan soit adaptée au monde d’aujourd’hui. La Chine est un adversaire autrement plus coriace que ne l’était l’URSS et Poutine semble peu enclin au compromis.

Autant de défis qu’une éventuelle administration Trump devra relever pour imprimer sa marque. Avec le risque d’une confrontation accrue si la main tendue se heurte à un mur. Les prochains mois nous diront si les trumpistes peuvent réussir leur pari d’une diplomatie de combat. Une orientation lourde d’implications pour l’avenir du monde.

Cette doctrine, pour cohérente qu’elle paraisse, devra cependant surmonter de nombreux obstacles. À commencer par les réticences des alliés échaudés par le premier mandat trumpiste. Il faudra aussi composer avec un Congrès possiblement divisé.

Surtout, rien ne garantit que la méthode Reagan soit adaptée au monde d’aujourd’hui. La Chine est un adversaire autrement plus coriace que ne l’était l’URSS et Poutine semble peu enclin au compromis.

Autant de défis qu’une éventuelle administration Trump devra relever pour imprimer sa marque. Avec le risque d’une confrontation accrue si la main tendue se heurte à un mur. Les prochains mois nous diront si les trumpistes peuvent réussir leur pari d’une diplomatie de combat. Une orientation lourde d’implications pour l’avenir du monde.

Mais Trump et son entourage semblent convaincus que seul un rapport de force est à même de débloquer les conflits. Avec à la clé, espèrent-ils, des avancées spectaculaires comme celles obtenues par Reagan face à l’URSS.

Un cap clair mais semé d’embûches

Cette doctrine, pour cohérente qu’elle paraisse, devra cependant surmonter de nombreux obstacles. À commencer par les réticences des alliés échaudés par le premier mandat trumpiste. Il faudra aussi composer avec un Congrès possiblement divisé.

Surtout, rien ne garantit que la méthode Reagan soit adaptée au monde d’aujourd’hui. La Chine est un adversaire autrement plus coriace que ne l’était l’URSS et Poutine semble peu enclin au compromis.

Autant de défis qu’une éventuelle administration Trump devra relever pour imprimer sa marque. Avec le risque d’une confrontation accrue si la main tendue se heurte à un mur. Les prochains mois nous diront si les trumpistes peuvent réussir leur pari d’une diplomatie de combat. Une orientation lourde d’implications pour l’avenir du monde.

Mais Trump et son entourage semblent convaincus que seul un rapport de force est à même de débloquer les conflits. Avec à la clé, espèrent-ils, des avancées spectaculaires comme celles obtenues par Reagan face à l’URSS.

Un cap clair mais semé d’embûches

Cette doctrine, pour cohérente qu’elle paraisse, devra cependant surmonter de nombreux obstacles. À commencer par les réticences des alliés échaudés par le premier mandat trumpiste. Il faudra aussi composer avec un Congrès possiblement divisé.

Surtout, rien ne garantit que la méthode Reagan soit adaptée au monde d’aujourd’hui. La Chine est un adversaire autrement plus coriace que ne l’était l’URSS et Poutine semble peu enclin au compromis.

Autant de défis qu’une éventuelle administration Trump devra relever pour imprimer sa marque. Avec le risque d’une confrontation accrue si la main tendue se heurte à un mur. Les prochains mois nous diront si les trumpistes peuvent réussir leur pari d’une diplomatie de combat. Une orientation lourde d’implications pour l’avenir du monde.

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