En annonçant ce mardi sa candidature aux élections législatives anticipées dans la 1ère circonscription de Haute-Loire, Laurent Wauquiez, président des Républicains, semble vouloir accélérer son calendrier politique. Déjà pressenti comme potentiel candidat à la présidentielle de 2027, cette décision marque-t-elle les prémices d’une ambition élyséenne assumée ?
Un timing hautement symbolique
Le choix de se lancer dès maintenant n’est pas anodin. Avec la dissolution de l’Assemblée nationale actée par Emmanuel Macron suite au revers de la majorité aux Européennes, Laurent Wauquiez flaire l’opportunité de marquer des points. Selon ses dires, cet évènement politique symbolise “l’accélération de la fin du macronisme”.
J’en ai marre des contorsions idéologiques pour plaire à quelques-uns. Il faut mettre un terme au pouvoir macroniste. C’est le temps de la clarification.
– Laurent Wauquiez, lors d’une réunion du groupe LR à l’Assemblée
Une candidature au parfum de présidentielle
Initialement, le patron des Républicains comptait se déclarer après les Jeux Olympiques, voire en septembre ou octobre. Mais le calendrier politique chamboulé a visiblement changé la donne. En officialisant sa candidature sur ses terres, à Yssingeaux, Laurent Wauquiez envoie un message fort :
- Il entend bien mener la bataille des législatives en première ligne
- Il s’impose comme un leader naturel à droite face à son rival Éric Ciotti
- Il pose un premier jalon vers une candidature à la présidentielle
La décision de Laurent Wauquiez intervient alors qu’Éric Ciotti, le président du parti, envisageait d’annoncer une stratégie d’alliance avec le Rassemblement national pour les législatives. Une ligne qui tranche avec celle de son homologue régional, plus modéré. Cette candidature va-t-elle pousser LR à revoir sa stratégie ? Affaire à suivre…
Une chose est sûre : en se lançant dans la bataille des législatives aussi tôt, Laurent Wauquiez cherche à prendre de vitesse ses concurrents. Il pose ainsi les bases d’une présidentielle qui s’annonce déjà très disputée, avec des candidats déclarés ou putatifs comme Xavier Bertrand ou Valérie Pécresse. Objectif assumé : incarner l’avenir de la droite et s’installer dans le paysage pour 2027.
Le pari risqué d’une dissolution
En déclenchant des législatives anticipées, Emmanuel Macron prend un risque politique majeur. L’enjeu pour la macronie sera de conserver une majorité à l’Assemblée, dans un contexte de forte poussée du Rassemblement national. Un pari d’autant plus risqué que la popularité du président est au plus bas.
Dans ce contexte, les ambitions de Laurent Wauquiez pourraient trouver un écho favorable. Lui qui a toujours cultivé une image de franc-tireur, en dehors des appareils parisiens, pourrait surfer sur l’aspiration des Français à un renouvellement de la vie politique. Reste à savoir si son positionnement et son projet convaincront au-delà de son fief.
En route vers 2027
Quoi qu’il en soit, cette candidature marque à coup sûr le retour en force de Laurent Wauquiez dans le jeu politique national. Après son échec de 2017 et son retrait, le patron de la région Auvergne-Rhône-Alpes semble décidé à se relancer, avec un œil rivé sur 2027.
Les législatives feront donc office de première étape pour mesurer ses forces et affûter son projet. Un test grandeur nature avant le grand saut présidentiel ? Les prochains mois nous le diront. Mais une chose est sûre : le retour de Laurent Wauquiez rebat les cartes à droite et pourrait redistribuer les rôles d’ici la prochaine échéance élyséenne. Affaire à suivre, donc…
Quelle stratégie pour Les Républicains ?
La décision de Laurent Wauquiez intervient alors qu’Éric Ciotti, le président du parti, envisageait d’annoncer une stratégie d’alliance avec le Rassemblement national pour les législatives. Une ligne qui tranche avec celle de son homologue régional, plus modéré. Cette candidature va-t-elle pousser LR à revoir sa stratégie ? Affaire à suivre…
Une chose est sûre : en se lançant dans la bataille des législatives aussi tôt, Laurent Wauquiez cherche à prendre de vitesse ses concurrents. Il pose ainsi les bases d’une présidentielle qui s’annonce déjà très disputée, avec des candidats déclarés ou putatifs comme Xavier Bertrand ou Valérie Pécresse. Objectif assumé : incarner l’avenir de la droite et s’installer dans le paysage pour 2027.
Le pari risqué d’une dissolution
En déclenchant des législatives anticipées, Emmanuel Macron prend un risque politique majeur. L’enjeu pour la macronie sera de conserver une majorité à l’Assemblée, dans un contexte de forte poussée du Rassemblement national. Un pari d’autant plus risqué que la popularité du président est au plus bas.
Dans ce contexte, les ambitions de Laurent Wauquiez pourraient trouver un écho favorable. Lui qui a toujours cultivé une image de franc-tireur, en dehors des appareils parisiens, pourrait surfer sur l’aspiration des Français à un renouvellement de la vie politique. Reste à savoir si son positionnement et son projet convaincront au-delà de son fief.
En route vers 2027
Quoi qu’il en soit, cette candidature marque à coup sûr le retour en force de Laurent Wauquiez dans le jeu politique national. Après son échec de 2017 et son retrait, le patron de la région Auvergne-Rhône-Alpes semble décidé à se relancer, avec un œil rivé sur 2027.
Les législatives feront donc office de première étape pour mesurer ses forces et affûter son projet. Un test grandeur nature avant le grand saut présidentiel ? Les prochains mois nous le diront. Mais une chose est sûre : le retour de Laurent Wauquiez rebat les cartes à droite et pourrait redistribuer les rôles d’ici la prochaine échéance élyséenne. Affaire à suivre, donc…
Quelle stratégie pour Les Républicains ?
La décision de Laurent Wauquiez intervient alors qu’Éric Ciotti, le président du parti, envisageait d’annoncer une stratégie d’alliance avec le Rassemblement national pour les législatives. Une ligne qui tranche avec celle de son homologue régional, plus modéré. Cette candidature va-t-elle pousser LR à revoir sa stratégie ? Affaire à suivre…
Une chose est sûre : en se lançant dans la bataille des législatives aussi tôt, Laurent Wauquiez cherche à prendre de vitesse ses concurrents. Il pose ainsi les bases d’une présidentielle qui s’annonce déjà très disputée, avec des candidats déclarés ou putatifs comme Xavier Bertrand ou Valérie Pécresse. Objectif assumé : incarner l’avenir de la droite et s’installer dans le paysage pour 2027.
Le pari risqué d’une dissolution
En déclenchant des législatives anticipées, Emmanuel Macron prend un risque politique majeur. L’enjeu pour la macronie sera de conserver une majorité à l’Assemblée, dans un contexte de forte poussée du Rassemblement national. Un pari d’autant plus risqué que la popularité du président est au plus bas.
Dans ce contexte, les ambitions de Laurent Wauquiez pourraient trouver un écho favorable. Lui qui a toujours cultivé une image de franc-tireur, en dehors des appareils parisiens, pourrait surfer sur l’aspiration des Français à un renouvellement de la vie politique. Reste à savoir si son positionnement et son projet convaincront au-delà de son fief.
En route vers 2027
Quoi qu’il en soit, cette candidature marque à coup sûr le retour en force de Laurent Wauquiez dans le jeu politique national. Après son échec de 2017 et son retrait, le patron de la région Auvergne-Rhône-Alpes semble décidé à se relancer, avec un œil rivé sur 2027.
Les législatives feront donc office de première étape pour mesurer ses forces et affûter son projet. Un test grandeur nature avant le grand saut présidentiel ? Les prochains mois nous le diront. Mais une chose est sûre : le retour de Laurent Wauquiez rebat les cartes à droite et pourrait redistribuer les rôles d’ici la prochaine échéance élyséenne. Affaire à suivre, donc…
