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L’Arabie Saoudite se lance dans l’ordinateur quantique du futur !

Imaginez un monde où les ordinateurs quantiques révolutionnent nos vies, résolvant des problèmes jusque-là insolubles. C’est le pari fou que vient de faire Aramco, géant saoudien de l’énergie, en signant un accord avec Pasqal, pépite française de l’informatique quantique. Une alliance surprenante qui promet de belles avancées !

Aramco mise sur la technologie de pointe de Pasqal

Le leader mondial de l’énergie et de la chimie a jeté son dévolu sur Pasqal et ses processeurs quantiques à atomes neutres. D’ici 2024, Aramco installera une machine de 200 qubits, l’unité de traitement quantique, une première pour une entreprise privée à l’international.

Même si l’ordinateur quantique à grande échelle reste un horizon lointain, les géants de ce monde accélèrent leurs investissements dans ces technologies révolutionnaires. Elles promettent d’exécuter des calculs d’une puissance inouïe, permettant de résoudre des problèmes jusqu’ici hors de portée, tout en réduisant la consommation énergétique.

Pasqal, référence européenne dans le domaine

La jeune pousse française Pasqal, cofondée par le prix Nobel de physique Alain Aspect, s’impose comme une référence en Europe. Récemment, elle a levé 100 millions d’euros, un record sur le Vieux Continent pour une société du quantique.

Nous visons d’être les premiers à utiliser l’informatique quantique dans le secteur de l’énergie.

Ahmad Al-Khowaiter, vice-président Technologie et Innovation d’Aramco

Présente sur toute la chaîne de valeur, de la fabrication de processeurs au développement de logiciels, Pasqal emploie 200 personnes et possède des usines en France et au Canada pour servir le marché nord-américain.

Des avancées prometteuses pour l’avenir

Les annonces de Pasqal se multiplient, démontrant des progrès fulgurants. Avec Thalès, elle a récemment résolu un problème complexe d’optimisation de trajectoires de satellites grâce à son processeur quantique. Une prouesse qui ouvre de nouvelles perspectives !

  • Les ordinateurs quantiques à atomes neutres semblent particulièrement adaptés à cette tâche.
  • Pasqal démontre que sur certains cas d’usage, le quantique commence à faire aussi bien voire mieux que l’informatique classique.

Pour soutenir cette accélération et atteindre son objectif d’un calculateur de 10 000 qubits d’ici 2026, Pasqal est en quête de nouveaux financements. Nul doute que ce partenariat avec Aramco lui donnera un sérieux coup de pouce, tout en positionnant l’entreprise saoudienne à la pointe de l’innovation. Une alliance pleine de promesses pour l’avenir de l’informatique quantique !

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