Vous pensiez avoir tout vu en vingt saisons de téléréalité amoureuse à la campagne ? Détrompez-vous. Cette année, une agricultrice a réussi l’impossible : mettre mal à l’aise Karine Le Marchand elle-même, pourtant rompue à toutes les excentricités des cœurs à prendre. Et le pire ? Elle l’a fait avec une innocence désarmante.
Quand la réalité de la ferme dépasse la fiction
Dans la saison 20 de L’amour est dans le pré, diffusée sur M6, les téléspectateurs ont assisté à un moment qui restera gravé dans les annales du programme. Une séquence si inattendue, si brute, si… animale, qu’elle a laissé tout le monde bouche bée : animateur, prétendants, équipe technique et des millions de personnes devant leur écran.
L’héroïne de cette histoire ? Géraldine, éleveuse d’alpagas, déterminée à montrer la réalité de son quotidien sans filtre. Et quand on élève des animaux, la reproduction fait partie du métier. Sauf que Géraldine a poussé le réalisme très loin. Très, très loin.
Une idée qui partait d’un bon sentiment
Recevoir deux prétendants à la ferme, c’est déjà une aventure. Mais Géraldine a voulu leur faire vivre son univers à 100 %. Alors quand l’occasion s’est présentée – ou plutôt, quand elle l’a programmée –, elle n’a pas hésité. Elle a tout simplement organisé le séjour de manière à ce que l’accouplement de ses alpagas ait lieu… pile au moment où ses invités étaient là.
Et pas n’importe quel accouplement : en direct, sous les yeux ébahis des deux hommes, de Karine Le Marchand et des caméras. Une scène digne d’un documentaire animalier, mais dans un contexte de speed-dating rural. Le résultat ? Un silence gêné, suivi d’un fou rire général… ou d’un malaise profond, selon les sensibilités.
« Elle a même retardé les accouplements pour qu’ils aient lieu pendant le séjour à la ferme »
Karine Le Marchand, encore sous le choc
Karine Le Marchand : « Je n’ai pas compris pourquoi elle avait fait ça »
L’animatrice emblématique, qui en a vu défiler des profils atypiques en vingt ans, avoue avoir été totalement prise au dépourvu. Dans une interview accordée après le tournage, elle confie avec son franc-parler habituel que cette séquence l’a marquée plus que toutes les autres.
Elle insiste pourtant sur la sincérité de Géraldine : l’agricultrice ne cherchait ni à choquer ni à faire le buzz. Elle voulait simplement partager son quotidien, sans imaginer une seule seconde l’impact que cela aurait à l’écran. Une forme de naïveté touchante qui rend la scène encore plus savoureuse.
Et Karine Le Marchand de conclure, mi-amusée mi-perplexe : c’était à la fois très drôle… et totalement inattendu.
Les réseaux sociaux en feu dès la diffusion
À peine l’épisode diffusé, Twitter (devenu X) et les autres plateformes ont pris feu. Les réactions ont fusé dans tous les sens, entre éclats de rire incontrôlables et cris d’effroi. Cette séquence est instantanément devenue virale.
Parmi les commentaires les plus marquants :
- « Une position du lamasutra en direct, merci Géraldine »
- « Ça te dérange si je te caresse la nuque pendant qu’on regarde forniquer les alpagas ? »
- « Les cameramen qui se demandent si le salaire vaut vraiment ce qu’ils sont en train de filmer »
- « Même mon chien a détourné le regard »
- « Si vous pensez avoir vécu des dates pourries… il y a pire »
Certains y ont vu une preuve supplémentaire que la campagne, c’est authentique. D’autres ont rangé ce moment dans la catégorie « séquences les plus gênantes de l’histoire de la télévision française ».
Une saison 20 placée sous le signe de l’authenticité
Malgré ce moment d’anthologie, Karine Le Marchand n’hésite pas à qualifier cette saison comme l’une des plus belles de l’histoire du programme. Huit couples se sont formés à l’issue du bilan, un record qui fait la fierté de l’animatrice.
Elle souligne surtout la magie de ces rencontres improbables : des personnes qui, sans l’émission, ne se seraient jamais croisées. Et pourtant, une fois ensemble, tout semble évident. Comme si le destin avait simplement eu besoin d’un petit coup de pouce télévisuel.
Entre rebondissements, déclarations enflammées et séquences complètement dingues comme celle des alpagas, cette saison 20 a tenu toutes ses promesses : émotions brutes, rires, larmes et beaucoup, beaucoup d’humanité.
Pourquoi cette séquence nous marque autant
Au-delà du comique de situation, cette scène dit beaucoup sur ce qui fait le sel de L’amour est dans le pré. Ici, pas de filtres, pas de mise en scène artificielle. Juste la vie, avec ses imprévus, ses odeurs, ses bruits… et parfois ses accouplements d’alpagas en prime.
Géraldine incarne parfaitement cette authenticité qui plaît tant aux téléspectateurs. Elle ne joue pas un rôle. Elle est simplement elle-même, avec ses animaux, son travail, sa passion. Et si cela dérange certains, tant pis. C’est aussi ça, la vraie vie à la campagne.
Et finalement, n’est-ce pas exactement ce que l’on recherche dans cette émission ? Des gens vrais, dans des situations vraies, même quand ça devient… un peu trop vrai ?
Les autres moments forts de la saison
Mais la séquence des alpagas n’est pas le seul temps fort de cette année. Entre déclarations d’amour sous la pluie, disputes mémorables, et révélations surprenantes lors du bilan, la saison 20 a été riche en émotions.
On se souvient notamment des doutes de certains prétendants, des larmes de joie lors des choix définitifs, et de ces instants où l’on sent que quelque chose de grand est en train de se passer. Des moments où la télévision devient presque secondaire face à la beauté humaine.
Huit couples à l’arrivée, c’est du jamais-vu. Un score qui prouve, s’il en était besoin, que l’amour peut naître n’importe où… même entre deux accouplements d’alpagas.
L’amour est dans le pré, plus qu’une émission
Vingt ans après ses débuts, le programme continue de surprendre, d’émouvoir et de faire parler. Il est devenu un véritable phénomène de société, une parenthèse d’authenticité dans un monde souvent trop lisse.
Et si certains critiquent parfois son côté voyeuriste, force est de constater que les agriculteurs et agricultrices qui participent le font avec une sincérité désarmante. Ils ouvrent leur porte, leur cœur, leur ferme. Avec tout ce que cela comporte. Même les moments les plus… naturels.
Alors oui, on a ri. Oui, on a été gênés. Oui, on a détourné les yeux par moments. Mais au final, on en redemande. Parce que c’est ça, L’amour est dans le pré : une émission qui ne triche pas. Qui montre la vie telle qu’elle est. Avec ses joies, ses peines, et parfois… ses alpagas en pleine action.
Et quelque part, on adore ça.
Rendez-vous l’année prochaine pour une saison 21 qui devra faire fort pour égaler celle-ci. Mais connaissant Karine Le Marchand et les agriculteurs, ils relèveront le défi. Avec ou sans alpagas.










