Alors que la contestation monte du côté des syndicats, la réforme de l’assurance chômage voulue par le gouvernement pourrait finalement s’avérer payante pour les finances publiques. C’est en tout cas ce que laisse entendre une récente étude de l’Unédic qui chiffre les économies potentielles à plusieurs milliards d’euros par an. Des prévisions qui dépassent largement les attentes initiales de l’exécutif.
Des économies supérieures aux prévisions
Selon les calculs de l’Unédic, les nouvelles règles de l’assurance chômage présentées il y a quelques semaines pourraient permettre d’économiser entre 4 et 5,4 milliards d’euros par an d’ici quatre à cinq ans. Un montant bien supérieur à l’objectif de 3,6 milliards d’économies annuelles affiché par le gouvernement en mai dernier lors de l’annonce de la réforme.
L’organisme paritaire, qui gère le régime d’assurance chômage, estime que les économies atteindraient plus précisément entre 3,2 et 4,4 milliards d’euros dès 2027. Des chiffres qui donnent un peu d’air aux finances publiques, alors que la dette de l’Unédic avoisine actuellement les 60 milliards d’euros.
Un durcissement des règles d’indemnisation
Malgré ces prévisions encourageantes pour le budget de l’État, les syndicats ne décolèrent pas et continuent de dénoncer une réforme injuste et brutale. Ils préparent la riposte avec de nouvelles journées de mobilisation dans les semaines à venir.
Cette réforme est guidée par une logique purement comptable, au détriment des droits des chômeurs. C’est inacceptable !
– Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT
La bataille s’annonce donc rude entre le gouvernement et les partenaires sociaux sur ce dossier explosif de l’assurance chômage. Si les économies se confirment, l’exécutif pourra se targuer d’avoir réussi son pari budgétaire. Mais il devra composer avec une opposition syndicale vent debout, bien décidée à ne rien lâcher.
En conclusion
La réforme de l’assurance chômage est un sujet brûlant qui cristallise les tensions entre le gouvernement et les syndicats. Si les prévisions de l’Unédic se confirment, elle pourrait effectivement permettre de substantielles économies pour les finances publiques. Mais à quel prix social ? C’est toute la question qui agite actuellement le débat public et promet encore de vifs affrontements dans les semaines et mois à venir.
Malgré ces prévisions encourageantes pour le budget de l’État, les syndicats ne décolèrent pas et continuent de dénoncer une réforme injuste et brutale. Ils préparent la riposte avec de nouvelles journées de mobilisation dans les semaines à venir.
Cette réforme est guidée par une logique purement comptable, au détriment des droits des chômeurs. C’est inacceptable !
– Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT
La bataille s’annonce donc rude entre le gouvernement et les partenaires sociaux sur ce dossier explosif de l’assurance chômage. Si les économies se confirment, l’exécutif pourra se targuer d’avoir réussi son pari budgétaire. Mais il devra composer avec une opposition syndicale vent debout, bien décidée à ne rien lâcher.
En conclusion
La réforme de l’assurance chômage est un sujet brûlant qui cristallise les tensions entre le gouvernement et les syndicats. Si les prévisions de l’Unédic se confirment, elle pourrait effectivement permettre de substantielles économies pour les finances publiques. Mais à quel prix social ? C’est toute la question qui agite actuellement le débat public et promet encore de vifs affrontements dans les semaines et mois à venir.
La dégressivité des allocations pour les plus hauts revenus (salaire mensuel supérieur à 4500 euros brut) sera aussi accélérée. Après six mois d’indemnisation, leur allocation baissera de 30% avec un plancher fixé à 2261 euros net.
La colère des syndicats ne faiblit pas
Malgré ces prévisions encourageantes pour le budget de l’État, les syndicats ne décolèrent pas et continuent de dénoncer une réforme injuste et brutale. Ils préparent la riposte avec de nouvelles journées de mobilisation dans les semaines à venir.
Cette réforme est guidée par une logique purement comptable, au détriment des droits des chômeurs. C’est inacceptable !
– Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT
La bataille s’annonce donc rude entre le gouvernement et les partenaires sociaux sur ce dossier explosif de l’assurance chômage. Si les économies se confirment, l’exécutif pourra se targuer d’avoir réussi son pari budgétaire. Mais il devra composer avec une opposition syndicale vent debout, bien décidée à ne rien lâcher.
En conclusion
La réforme de l’assurance chômage est un sujet brûlant qui cristallise les tensions entre le gouvernement et les syndicats. Si les prévisions de l’Unédic se confirment, elle pourrait effectivement permettre de substantielles économies pour les finances publiques. Mais à quel prix social ? C’est toute la question qui agite actuellement le débat public et promet encore de vifs affrontements dans les semaines et mois à venir.
La dégressivité des allocations pour les plus hauts revenus (salaire mensuel supérieur à 4500 euros brut) sera aussi accélérée. Après six mois d’indemnisation, leur allocation baissera de 30% avec un plancher fixé à 2261 euros net.
La colère des syndicats ne faiblit pas
Malgré ces prévisions encourageantes pour le budget de l’État, les syndicats ne décolèrent pas et continuent de dénoncer une réforme injuste et brutale. Ils préparent la riposte avec de nouvelles journées de mobilisation dans les semaines à venir.
Cette réforme est guidée par une logique purement comptable, au détriment des droits des chômeurs. C’est inacceptable !
– Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT
La bataille s’annonce donc rude entre le gouvernement et les partenaires sociaux sur ce dossier explosif de l’assurance chômage. Si les économies se confirment, l’exécutif pourra se targuer d’avoir réussi son pari budgétaire. Mais il devra composer avec une opposition syndicale vent debout, bien décidée à ne rien lâcher.
En conclusion
La réforme de l’assurance chômage est un sujet brûlant qui cristallise les tensions entre le gouvernement et les syndicats. Si les prévisions de l’Unédic se confirment, elle pourrait effectivement permettre de substantielles économies pour les finances publiques. Mais à quel prix social ? C’est toute la question qui agite actuellement le débat public et promet encore de vifs affrontements dans les semaines et mois à venir.
Pour rappel, la réforme prévoit notamment de faire évoluer les conditions d’accès à l’indemnisation en fonction de la situation du marché de l’emploi. Lorsque le chômage sera inférieur à 6% depuis trois trimestres, il faudra avoir travaillé six mois minimum sur une période de référence de 24 mois pour être indemnisé, contre quatre mois actuellement.
La dégressivité des allocations pour les plus hauts revenus (salaire mensuel supérieur à 4500 euros brut) sera aussi accélérée. Après six mois d’indemnisation, leur allocation baissera de 30% avec un plancher fixé à 2261 euros net.
La colère des syndicats ne faiblit pas
Malgré ces prévisions encourageantes pour le budget de l’État, les syndicats ne décolèrent pas et continuent de dénoncer une réforme injuste et brutale. Ils préparent la riposte avec de nouvelles journées de mobilisation dans les semaines à venir.
Cette réforme est guidée par une logique purement comptable, au détriment des droits des chômeurs. C’est inacceptable !
– Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT
La bataille s’annonce donc rude entre le gouvernement et les partenaires sociaux sur ce dossier explosif de l’assurance chômage. Si les économies se confirment, l’exécutif pourra se targuer d’avoir réussi son pari budgétaire. Mais il devra composer avec une opposition syndicale vent debout, bien décidée à ne rien lâcher.
En conclusion
La réforme de l’assurance chômage est un sujet brûlant qui cristallise les tensions entre le gouvernement et les syndicats. Si les prévisions de l’Unédic se confirment, elle pourrait effectivement permettre de substantielles économies pour les finances publiques. Mais à quel prix social ? C’est toute la question qui agite actuellement le débat public et promet encore de vifs affrontements dans les semaines et mois à venir.
Pour rappel, la réforme prévoit notamment de faire évoluer les conditions d’accès à l’indemnisation en fonction de la situation du marché de l’emploi. Lorsque le chômage sera inférieur à 6% depuis trois trimestres, il faudra avoir travaillé six mois minimum sur une période de référence de 24 mois pour être indemnisé, contre quatre mois actuellement.
La dégressivité des allocations pour les plus hauts revenus (salaire mensuel supérieur à 4500 euros brut) sera aussi accélérée. Après six mois d’indemnisation, leur allocation baissera de 30% avec un plancher fixé à 2261 euros net.
La colère des syndicats ne faiblit pas
Malgré ces prévisions encourageantes pour le budget de l’État, les syndicats ne décolèrent pas et continuent de dénoncer une réforme injuste et brutale. Ils préparent la riposte avec de nouvelles journées de mobilisation dans les semaines à venir.
Cette réforme est guidée par une logique purement comptable, au détriment des droits des chômeurs. C’est inacceptable !
– Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT
La bataille s’annonce donc rude entre le gouvernement et les partenaires sociaux sur ce dossier explosif de l’assurance chômage. Si les économies se confirment, l’exécutif pourra se targuer d’avoir réussi son pari budgétaire. Mais il devra composer avec une opposition syndicale vent debout, bien décidée à ne rien lâcher.
En conclusion
La réforme de l’assurance chômage est un sujet brûlant qui cristallise les tensions entre le gouvernement et les syndicats. Si les prévisions de l’Unédic se confirment, elle pourrait effectivement permettre de substantielles économies pour les finances publiques. Mais à quel prix social ? C’est toute la question qui agite actuellement le débat public et promet encore de vifs affrontements dans les semaines et mois à venir.