Qui ne se souvient pas des larmes toulousaines sur la pelouse de l’Aviva Stadium ? Ce samedi, le Stade Toulousain retrouve son bourreau irlandais, le Leinster, en finale de Champions Cup. L’occasion de revenir sur trois défaites cuisantes qui ont forgé cette rivalité épique.
2019 : L’impuissance Rouge et Noire
Le 21 avril 2019, Toulouse se présente à Dublin avec l’espoir d’enfin vaincre le Leinster. Las, la marche est trop haute. Malgré une entame courageuse, les hommes d’Ugo Mola subissent la loi irlandaise (30-12). Une statistique résume l’impuissance toulousaine : pour la première fois en 42 matches, les Rouge et Noir n’inscrivent aucun essai.
On a l’impression que le Leinster nous a attrapés au col d’entrée et qu’il a ensuite joué avec nous, à sa main.
– Ugo Mola après la rencontre
2022 : La démonstration irlandaise
Rebelote le 14 mai 2022. Malgré l’ouverture du score par Antoine Dupont, Toulouse explose en vol (40-17). Les Leinstermen déroulent leur jeu “codifié mais d’une efficacité rare” dixit Mola. L’essai de l’ex-toulousain Tolofua n’y change rien, le Stade est K.-O. debout.
2023 : Jamais deux sans trois
Alors, la malédiction irlandaise sera-t-elle enfin conjurée ce samedi à Dublin ? Réponse dans quelques jours. Une chose est sûre : au vu de l’histoire récente, un sacré défi attend les Toulousains dans leur quête d’un 6e titre continental. Mais après tout, c’est dans l’adversité qu’on reconnaît les plus grands…
Et que dire du 29 avril dernier ? Plombé par les cartons jaunes de Ramos et Neti, Toulouse encaisse 28 points durant leurs absences. Malgré un départ canon, les Rouge et Noir s’inclinent lourdement (41-22). “La marche était encore un peu haute”, résume l’ailier Matthis Lebel.
Alors, la malédiction irlandaise sera-t-elle enfin conjurée ce samedi à Dublin ? Réponse dans quelques jours. Une chose est sûre : au vu de l’histoire récente, un sacré défi attend les Toulousains dans leur quête d’un 6e titre continental. Mais après tout, c’est dans l’adversité qu’on reconnaît les plus grands…
Et que dire du 29 avril dernier ? Plombé par les cartons jaunes de Ramos et Neti, Toulouse encaisse 28 points durant leurs absences. Malgré un départ canon, les Rouge et Noir s’inclinent lourdement (41-22). “La marche était encore un peu haute”, résume l’ailier Matthis Lebel.
Alors, la malédiction irlandaise sera-t-elle enfin conjurée ce samedi à Dublin ? Réponse dans quelques jours. Une chose est sûre : au vu de l’histoire récente, un sacré défi attend les Toulousains dans leur quête d’un 6e titre continental. Mais après tout, c’est dans l’adversité qu’on reconnaît les plus grands…