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La justice suisse clôt l’affaire Rybolovlev-Bouvier

Coup de théâtre dans l'affaire opposant le milliardaire russe Rybolovlev au marchand d'art suisse Bouvier. La justice fédérale suisse a finalement classé la procédure, faute de preuves exploitables suite à un arrêt de la CEDH...

Un rebondissement inattendu vient de se produire dans le litige artistique opposant depuis plusieurs années le milliardaire russe Dimitri Rybolovlev au célèbre marchand d’art genevois Yves Bouvier. D’après une source proche du dossier, le ministère public de la Confédération suisse (MPC) a décidé de classer sans suite la procédure ouverte contre l’homme d’affaires et son avocate Tetiana Bersheda.

Cette décision fait suite à un arrêt rendu en juin dernier par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH). Les magistrats européens ont en effet estimé que les éléments de preuve récupérés dans le téléphone portable de Me Bersheda ne pouvaient être exploités, privant ainsi la plainte déposée par M. Bouvier en 2017 de tout fondement.

Un conflit autour d’une vente de tableaux

Pour rappel, cette affaire complexe trouve son origine dans l’acquisition par Dimitri Rybolovlev, propriétaire depuis 2011 du club de football de l’AS Monaco, d’une importante collection de toiles de maîtres par l’intermédiaire d’Yves Bouvier. Parmi ces œuvres figurait notamment le fameux “Salvator Mundi” attribué à Léonard de Vinci.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

Si cette décision met un terme à l’un des multiples volets de ce conflit hors norme entre un richissime collectionneur et un marchand d’art réputé, elle ne clôt pas pour autant définitivement ce dossier tentaculaire. Rybolovlev et Bouvier s’affrontent en effet toujours devant la justice monégasque sur d’autres griefs.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

Si cette décision met un terme à l’un des multiples volets de ce conflit hors norme entre un richissime collectionneur et un marchand d’art réputé, elle ne clôt pas pour autant définitivement ce dossier tentaculaire. Rybolovlev et Bouvier s’affrontent en effet toujours devant la justice monégasque sur d’autres griefs.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

Épilogue d’un feuilleton judiciaire

Si cette décision met un terme à l’un des multiples volets de ce conflit hors norme entre un richissime collectionneur et un marchand d’art réputé, elle ne clôt pas pour autant définitivement ce dossier tentaculaire. Rybolovlev et Bouvier s’affrontent en effet toujours devant la justice monégasque sur d’autres griefs.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

Épilogue d’un feuilleton judiciaire

Si cette décision met un terme à l’un des multiples volets de ce conflit hors norme entre un richissime collectionneur et un marchand d’art réputé, elle ne clôt pas pour autant définitivement ce dossier tentaculaire. Rybolovlev et Bouvier s’affrontent en effet toujours devant la justice monégasque sur d’autres griefs.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

C’est sur ce point que la CEDH lui a donné raison, assimilant cette récupération de données à une perquisition abusive au regard des règles protégeant le secret des communications entre avocats et clients. Un avis que le MPC suisse a donc décidé de suivre en prononçant un non-lieu.

Épilogue d’un feuilleton judiciaire

Si cette décision met un terme à l’un des multiples volets de ce conflit hors norme entre un richissime collectionneur et un marchand d’art réputé, elle ne clôt pas pour autant définitivement ce dossier tentaculaire. Rybolovlev et Bouvier s’affrontent en effet toujours devant la justice monégasque sur d’autres griefs.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

C’est sur ce point que la CEDH lui a donné raison, assimilant cette récupération de données à une perquisition abusive au regard des règles protégeant le secret des communications entre avocats et clients. Un avis que le MPC suisse a donc décidé de suivre en prononçant un non-lieu.

Épilogue d’un feuilleton judiciaire

Si cette décision met un terme à l’un des multiples volets de ce conflit hors norme entre un richissime collectionneur et un marchand d’art réputé, elle ne clôt pas pour autant définitivement ce dossier tentaculaire. Rybolovlev et Bouvier s’affrontent en effet toujours devant la justice monégasque sur d’autres griefs.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

Mais un autre pan de l’affaire avait resurgi lorsqu’une proche d’Yves Bouvier avait accusé l’avocate de Rybolovlev, Tetiana Bersheda, d’avoir transmis illégalement aux enquêteurs une conversation enregistrée à son insu. Bien qu’ayant accepté de remettre son téléphone pour prouver sa bonne foi, Mme Bersheda a toujours contesté que le contenu des messages récupérés étaye une quelconque tentative de piège envers le marchand d’art.

C’est sur ce point que la CEDH lui a donné raison, assimilant cette récupération de données à une perquisition abusive au regard des règles protégeant le secret des communications entre avocats et clients. Un avis que le MPC suisse a donc décidé de suivre en prononçant un non-lieu.

Épilogue d’un feuilleton judiciaire

Si cette décision met un terme à l’un des multiples volets de ce conflit hors norme entre un richissime collectionneur et un marchand d’art réputé, elle ne clôt pas pour autant définitivement ce dossier tentaculaire. Rybolovlev et Bouvier s’affrontent en effet toujours devant la justice monégasque sur d’autres griefs.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

Mais un autre pan de l’affaire avait resurgi lorsqu’une proche d’Yves Bouvier avait accusé l’avocate de Rybolovlev, Tetiana Bersheda, d’avoir transmis illégalement aux enquêteurs une conversation enregistrée à son insu. Bien qu’ayant accepté de remettre son téléphone pour prouver sa bonne foi, Mme Bersheda a toujours contesté que le contenu des messages récupérés étaye une quelconque tentative de piège envers le marchand d’art.

C’est sur ce point que la CEDH lui a donné raison, assimilant cette récupération de données à une perquisition abusive au regard des règles protégeant le secret des communications entre avocats et clients. Un avis que le MPC suisse a donc décidé de suivre en prononçant un non-lieu.

Épilogue d’un feuilleton judiciaire

Si cette décision met un terme à l’un des multiples volets de ce conflit hors norme entre un richissime collectionneur et un marchand d’art réputé, elle ne clôt pas pour autant définitivement ce dossier tentaculaire. Rybolovlev et Bouvier s’affrontent en effet toujours devant la justice monégasque sur d’autres griefs.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

En 2015, le milliardaire avait porté plainte pour escroquerie, reprochant au marchand d’avoir appliqué des marges excessives lors de ces transactions. S’en était suivie une bataille judiciaire à travers l’Europe, ponctuée de multiples rebondissements. Les deux protagonistes avaient fini par trouver un accord à l’amiable fin 2023 sur le volet principal du dossier.

Une mise en cause contestée

Mais un autre pan de l’affaire avait resurgi lorsqu’une proche d’Yves Bouvier avait accusé l’avocate de Rybolovlev, Tetiana Bersheda, d’avoir transmis illégalement aux enquêteurs une conversation enregistrée à son insu. Bien qu’ayant accepté de remettre son téléphone pour prouver sa bonne foi, Mme Bersheda a toujours contesté que le contenu des messages récupérés étaye une quelconque tentative de piège envers le marchand d’art.

C’est sur ce point que la CEDH lui a donné raison, assimilant cette récupération de données à une perquisition abusive au regard des règles protégeant le secret des communications entre avocats et clients. Un avis que le MPC suisse a donc décidé de suivre en prononçant un non-lieu.

Épilogue d’un feuilleton judiciaire

Si cette décision met un terme à l’un des multiples volets de ce conflit hors norme entre un richissime collectionneur et un marchand d’art réputé, elle ne clôt pas pour autant définitivement ce dossier tentaculaire. Rybolovlev et Bouvier s’affrontent en effet toujours devant la justice monégasque sur d’autres griefs.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

En 2015, le milliardaire avait porté plainte pour escroquerie, reprochant au marchand d’avoir appliqué des marges excessives lors de ces transactions. S’en était suivie une bataille judiciaire à travers l’Europe, ponctuée de multiples rebondissements. Les deux protagonistes avaient fini par trouver un accord à l’amiable fin 2023 sur le volet principal du dossier.

Une mise en cause contestée

Mais un autre pan de l’affaire avait resurgi lorsqu’une proche d’Yves Bouvier avait accusé l’avocate de Rybolovlev, Tetiana Bersheda, d’avoir transmis illégalement aux enquêteurs une conversation enregistrée à son insu. Bien qu’ayant accepté de remettre son téléphone pour prouver sa bonne foi, Mme Bersheda a toujours contesté que le contenu des messages récupérés étaye une quelconque tentative de piège envers le marchand d’art.

C’est sur ce point que la CEDH lui a donné raison, assimilant cette récupération de données à une perquisition abusive au regard des règles protégeant le secret des communications entre avocats et clients. Un avis que le MPC suisse a donc décidé de suivre en prononçant un non-lieu.

Épilogue d’un feuilleton judiciaire

Si cette décision met un terme à l’un des multiples volets de ce conflit hors norme entre un richissime collectionneur et un marchand d’art réputé, elle ne clôt pas pour autant définitivement ce dossier tentaculaire. Rybolovlev et Bouvier s’affrontent en effet toujours devant la justice monégasque sur d’autres griefs.

Mais ce nouvel épisode illustre une fois de plus la complexité du marché de l’art, où s’entrecroisent d’immenses enjeux financiers, des ego surdimensionnés et des zones de friction juridiques encore mal balisées. Dans cet univers opaque et ultra-concurrentiel, les limites entre le licite et l’illicite semblent parfois ténues.

Il faudra sans doute encore de longues procédures avant que toute la lumière ne soit faite sur les dessous de ces transactions litigieuses portant sur certains des tableaux les plus chers du monde. Avec en filigrane une interrogation : quel est le « juste prix » d’une œuvre d’art ? Une question qui, au-delà de l’affaire Rybolovlev-Bouvier, reste plus que jamais sujette à controverse dans un secteur où la spéculation bat son plein.

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