Depuis près d’une semaine, les rues de Tbilissi, la capitale géorgienne, sont le théâtre de manifestations pro-européennes d’une ampleur inédite. Les protestations, déclenchées par la décision du parti au pouvoir de repousser les négociations d’adhésion à l’Union Européenne, ont rapidement pris une tournure violente. Selon les autorités, les affrontements de lundi soir entre manifestants et forces de l’ordre ont fait 26 blessés, dont 23 protestataires.
Un pays tiraillé entre l’Europe et la Russie
Au cœur de ces tensions se trouve la question de l’orientation géopolitique de la Géorgie. Alors que le gouvernement est accusé par l’opposition de vouloir se rapprocher de Moscou, les manifestants scandent leur volonté de rejoindre l’Europe. « On veut la liberté, et on ne veut pas se retrouver en Russie », résume Nika Maghradzé, un jeune manifestant de 21 ans. Un sentiment partagé par son amie Ani, 22 ans : « On veut l’Europe ! ».
Pourtant, le spectre de l’influence russe plane sur le pays. Près de 20% du territoire géorgien est de facto sous contrôle russe depuis l’invasion de 2008. Une situation qui renforce les craintes de voir la Géorgie basculer dans l’orbite du Kremlin.
L’opposition dénonce un « régime fantoche russe »
Face à cette menace, l’opposition accuse ouvertement le gouvernement d’être à la solde de Moscou. « Dans toute la Géorgie, les gens se soulèvent contre le régime fantoche russe », déclare la présidente Salomé Zourabichvili, en rupture totale avec l’exécutif. Très populaire auprès des manifestants, elle apparaît comme leur principal soutien institutionnel, même si ses pouvoirs restent limités.
De son côté, le Premier ministre Irakli Khobadidzé rejette toute négociation avec l’opposition et dénonce une ingérence étrangère dans le financement des manifestations. « Il n’y aura pas de révolution en Géorgie », assène-t-il.
Une répression qui s’intensifie
Selon des sources proches des autorités, plusieurs dizaines de personnes, manifestants comme policiers, ont déjà été blessées lors de ces heurts, sans qu’un bilan précis ne soit établi. Une escalade de la violence qui inquiète, alors qu’aucune issue ne semble se dessiner.
Un mouvement spontané et horizontal
Fait notable, ce mouvement de contestation est largement spontané et décentralisé. Organisées en ligne, les manifestations n’ont pas de leader politique dominant ni de structure hiérarchique claire. Un mode d’action horizontale qui complique la tâche du gouvernement, privé d’interlocuteur identifié.
Cette horizontalité se retrouve dans la diversité des manifestants. Jeunes et moins jeunes, hommes et femmes, Géorgiens de tous horizons se retrouvent chaque soir dans la rue, unis par leur volonté de voir leur pays rejoindre l’Union Européenne et échapper à l’influence russe.
Un avenir incertain
Alors que les manifestations pro-européennes entrent dans leur sixième jour, l’issue de cette crise reste incertaine. Le gouvernement semble déterminé à tenir sa ligne dure, repoussant les appels au dialogue de l’opposition. De leur côté, les protestataires ne montrent aucun signe de découragement, bien décidés à faire entendre leur voix.
Au-delà des tensions actuelles, c’est l’avenir géopolitique de la Géorgie qui se joue. Tiraillé entre ses aspirations européennes et la menace russe, le pays se trouve à un tournant de son histoire. Les prochains jours seront décisifs pour déterminer quelle direction il prendra.
En attendant, les rues de Tbilissi continuent de résonner des slogans pro-européens et des chants patriotiques, tandis que les affrontements nocturnes rythment la vie de la capitale. Une situation explosive qui maintient le pays en haleine, suspendu au dénouement de cette crise sans précédent.
Selon des sources proches des autorités, plusieurs dizaines de personnes, manifestants comme policiers, ont déjà été blessées lors de ces heurts, sans qu’un bilan précis ne soit établi. Une escalade de la violence qui inquiète, alors qu’aucune issue ne semble se dessiner.
Un mouvement spontané et horizontal
Fait notable, ce mouvement de contestation est largement spontané et décentralisé. Organisées en ligne, les manifestations n’ont pas de leader politique dominant ni de structure hiérarchique claire. Un mode d’action horizontale qui complique la tâche du gouvernement, privé d’interlocuteur identifié.
Cette horizontalité se retrouve dans la diversité des manifestants. Jeunes et moins jeunes, hommes et femmes, Géorgiens de tous horizons se retrouvent chaque soir dans la rue, unis par leur volonté de voir leur pays rejoindre l’Union Européenne et échapper à l’influence russe.
Un avenir incertain
Alors que les manifestations pro-européennes entrent dans leur sixième jour, l’issue de cette crise reste incertaine. Le gouvernement semble déterminé à tenir sa ligne dure, repoussant les appels au dialogue de l’opposition. De leur côté, les protestataires ne montrent aucun signe de découragement, bien décidés à faire entendre leur voix.
Au-delà des tensions actuelles, c’est l’avenir géopolitique de la Géorgie qui se joue. Tiraillé entre ses aspirations européennes et la menace russe, le pays se trouve à un tournant de son histoire. Les prochains jours seront décisifs pour déterminer quelle direction il prendra.
En attendant, les rues de Tbilissi continuent de résonner des slogans pro-européens et des chants patriotiques, tandis que les affrontements nocturnes rythment la vie de la capitale. Une situation explosive qui maintient le pays en haleine, suspendu au dénouement de cette crise sans précédent.
Chaque soir, les affrontements se répètent sur la place du Parlement, épicentre de la contestation. Les forces anti-émeutes déploient des canons à eau et des gaz lacrymogènes pour disperser la foule, qui riposte avec des feux d’artifice. Certains manifestants bravent volontairement les jets d’eau, dansant face aux policiers. D’autres entonnent l’hymne national, immobiles face aux boucliers.
Selon des sources proches des autorités, plusieurs dizaines de personnes, manifestants comme policiers, ont déjà été blessées lors de ces heurts, sans qu’un bilan précis ne soit établi. Une escalade de la violence qui inquiète, alors qu’aucune issue ne semble se dessiner.
Un mouvement spontané et horizontal
Fait notable, ce mouvement de contestation est largement spontané et décentralisé. Organisées en ligne, les manifestations n’ont pas de leader politique dominant ni de structure hiérarchique claire. Un mode d’action horizontale qui complique la tâche du gouvernement, privé d’interlocuteur identifié.
Cette horizontalité se retrouve dans la diversité des manifestants. Jeunes et moins jeunes, hommes et femmes, Géorgiens de tous horizons se retrouvent chaque soir dans la rue, unis par leur volonté de voir leur pays rejoindre l’Union Européenne et échapper à l’influence russe.
Un avenir incertain
Alors que les manifestations pro-européennes entrent dans leur sixième jour, l’issue de cette crise reste incertaine. Le gouvernement semble déterminé à tenir sa ligne dure, repoussant les appels au dialogue de l’opposition. De leur côté, les protestataires ne montrent aucun signe de découragement, bien décidés à faire entendre leur voix.
Au-delà des tensions actuelles, c’est l’avenir géopolitique de la Géorgie qui se joue. Tiraillé entre ses aspirations européennes et la menace russe, le pays se trouve à un tournant de son histoire. Les prochains jours seront décisifs pour déterminer quelle direction il prendra.
En attendant, les rues de Tbilissi continuent de résonner des slogans pro-européens et des chants patriotiques, tandis que les affrontements nocturnes rythment la vie de la capitale. Une situation explosive qui maintient le pays en haleine, suspendu au dénouement de cette crise sans précédent.
Chaque soir, les affrontements se répètent sur la place du Parlement, épicentre de la contestation. Les forces anti-émeutes déploient des canons à eau et des gaz lacrymogènes pour disperser la foule, qui riposte avec des feux d’artifice. Certains manifestants bravent volontairement les jets d’eau, dansant face aux policiers. D’autres entonnent l’hymne national, immobiles face aux boucliers.
Selon des sources proches des autorités, plusieurs dizaines de personnes, manifestants comme policiers, ont déjà été blessées lors de ces heurts, sans qu’un bilan précis ne soit établi. Une escalade de la violence qui inquiète, alors qu’aucune issue ne semble se dessiner.
Un mouvement spontané et horizontal
Fait notable, ce mouvement de contestation est largement spontané et décentralisé. Organisées en ligne, les manifestations n’ont pas de leader politique dominant ni de structure hiérarchique claire. Un mode d’action horizontale qui complique la tâche du gouvernement, privé d’interlocuteur identifié.
Cette horizontalité se retrouve dans la diversité des manifestants. Jeunes et moins jeunes, hommes et femmes, Géorgiens de tous horizons se retrouvent chaque soir dans la rue, unis par leur volonté de voir leur pays rejoindre l’Union Européenne et échapper à l’influence russe.
Un avenir incertain
Alors que les manifestations pro-européennes entrent dans leur sixième jour, l’issue de cette crise reste incertaine. Le gouvernement semble déterminé à tenir sa ligne dure, repoussant les appels au dialogue de l’opposition. De leur côté, les protestataires ne montrent aucun signe de découragement, bien décidés à faire entendre leur voix.
Au-delà des tensions actuelles, c’est l’avenir géopolitique de la Géorgie qui se joue. Tiraillé entre ses aspirations européennes et la menace russe, le pays se trouve à un tournant de son histoire. Les prochains jours seront décisifs pour déterminer quelle direction il prendra.
En attendant, les rues de Tbilissi continuent de résonner des slogans pro-européens et des chants patriotiques, tandis que les affrontements nocturnes rythment la vie de la capitale. Une situation explosive qui maintient le pays en haleine, suspendu au dénouement de cette crise sans précédent.