La cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 n’a pas fait l’unanimité. Parmi les voix critiques, celle de l’académicien Alain Finkielkraut résonne avec force. Interviewé par Le Figaro, le philosophe n’a pas mâché ses mots pour exprimer sa déception face à ce qu’il considère comme un “spectacle grotesque” et “conformiste”.
Un spectacle “obscène” selon Finkielkraut
Pour Alain Finkielkraut, cette cérémonie d’ouverture a atteint des sommets dans le mauvais goût. “Je suis très impressionné par la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques. Il ne me paraissait pas possible, en effet, de faire pire, c’est-à-dire, à la fois, plus obscène et plus conformiste, que l’Eurovision”, a-t-il déclaré sans détour.
C’était un spectacle grotesque, qui, des drag queens à Imagine et de la célébration de la sororité à la décapitation de Marie-Antoinette (l’une des plus glorieuses pages de notre histoire…) déroulait pieusement tous les stéréotypes de l’époque.
Alain Finkielkraut
Le génie français aux abonnés absents
Au-delà de l’esthétique de la cérémonie, c’est surtout l’absence de l’esprit français qui chagrine le philosophe. Selon lui, cette soirée inaugurale n’a pas su mettre en avant ce qui fait la grandeur et la singularité de la France.
“Dans cette cérémonie, le génie français brillait par son absence“, regrette Alain Finkielkraut. Une critique acerbe qui fait écho aux propos de Patrick Boucheron, architecte de la cérémonie, qui affirmait sur France Inter avoir voulu restaurer “une fierté pour ce pays, pas pour son identité, mais pour son projet politique”.
Une cérémonie idéologiquement orientée ?
Ce jugement sévère d’Alain Finkielkraut ne manquera pas de faire réagir, alors que les avis divergent sur la réussite de cette soirée d’ouverture. Entre ceux qui ont salué un spectacle grandiose et novateur, et ceux qui y ont vu une accumulation de stéréotypes, le débat promet d’être animé.
Une chose est sûre : la critique d’Alain Finkielkraut, par son ton virulent et son autorité intellectuelle, ne laissera personne indifférent. Elle invite à s’interroger sur le sens et les valeurs que la France a voulu projeter à travers cette cérémonie, et sur sa capacité à assumer fièrement son identité dans un tel contexte.
Pour l’académicien, l’orientation idéologique de la cérémonie ne fait aucun doute. Loin de célébrer les valeurs universelles du sport et de l’olympisme, le spectacle aurait selon lui versé dans un conformisme “post-français”, enchaînant les clichés à la mode.
Ce jugement sévère d’Alain Finkielkraut ne manquera pas de faire réagir, alors que les avis divergent sur la réussite de cette soirée d’ouverture. Entre ceux qui ont salué un spectacle grandiose et novateur, et ceux qui y ont vu une accumulation de stéréotypes, le débat promet d’être animé.
Une chose est sûre : la critique d’Alain Finkielkraut, par son ton virulent et son autorité intellectuelle, ne laissera personne indifférent. Elle invite à s’interroger sur le sens et les valeurs que la France a voulu projeter à travers cette cérémonie, et sur sa capacité à assumer fièrement son identité dans un tel contexte.
Pour l’académicien, l’orientation idéologique de la cérémonie ne fait aucun doute. Loin de célébrer les valeurs universelles du sport et de l’olympisme, le spectacle aurait selon lui versé dans un conformisme “post-français”, enchaînant les clichés à la mode.
Ce jugement sévère d’Alain Finkielkraut ne manquera pas de faire réagir, alors que les avis divergent sur la réussite de cette soirée d’ouverture. Entre ceux qui ont salué un spectacle grandiose et novateur, et ceux qui y ont vu une accumulation de stéréotypes, le débat promet d’être animé.
Une chose est sûre : la critique d’Alain Finkielkraut, par son ton virulent et son autorité intellectuelle, ne laissera personne indifférent. Elle invite à s’interroger sur le sens et les valeurs que la France a voulu projeter à travers cette cérémonie, et sur sa capacité à assumer fièrement son identité dans un tel contexte.