Le monde de la course automobile est en ébullition suite à l’annonce surprise du transfert de Kevin Magnussen. Le pilote danois, âgé de 32 ans, quitte la Formule 1 après une décennie de bons et loyaux services pour se lancer dans un tout nouveau défi : l’endurance avec BMW Motorsport. Une reconversion inattendue qui suscite de nombreuses interrogations.
10 années en F1, une page se tourne
Présent en Formule 1 depuis 2014, Kevin Magnussen a connu des hauts et des bas au cours de sa carrière dans la catégorie reine. Passé par McLaren, Renault puis Haas ces dernières années, le Danois a souvent brillé par sa combativité, décrochant même une pole position mémorable au Brésil en 2022. Mais les résultats n’ont pas toujours été au rendez-vous, poussant Haas à se séparer de lui fin 2024.
Cette décision n’a pas été une surprise pour Magnussen, comme il l’a confié à des proches :
Je savais que mon avenir allait s’écrire ailleurs qu’en F1. Je regrettais de ne jouer que les utilités ces dernières saisons, sans espoir de jouer les premiers rôles.
Un constat lucide qui l’a poussé à envisager d’autres horizons pour relancer sa carrière.
L’endurance, un terrain connu
Si ce transfert chez BMW peut paraître surprenant, Kevin Magnussen n’est pas un novice en endurance. En 2021, il avait déjà effectué un passage remarqué dans le championnat IMSA avec Chip Ganassi Racing. Au volant d’une Cadillac, il avait décroché une victoire et 5 podiums en 10 courses. Une expérience positive qui lui donne des repères pour aborder cette nouvelle étape chez BMW.
Le programme BMW encore flou
BMW n’a pas encore révélé tous les détails de son programme en endurance. Le constructeur allemand engagera une Hypercar hybride dans le WEC (Championnat du Monde d’Endurance) dès 2025, avec également une possible participation au championnat IMSA en Amérique du Nord. Le rôle exacte de Kevin Magnussen reste à définir.
Plusieurs options sont sur la table selon une source interne à BMW :
- Pilote titulaire dans l’une des deux catégories (WEC ou IMSA)
- Pilote réserve et de développement
- Participation aux épreuves phares comme les 24H du Mans
Le tableau définitif des équipages BMW sera annoncé ultérieurement. Une chose est sûre, le défi s’annonce relevé et excitant pour le Danois dans ce nouveau chapitre de sa carrière.
Un retour gagnant au Mans ?
Kevin Magnussen pourrait bien faire son grand retour aux 24H du Mans, une course qu’il a découvert en 2021 sur une modeste Oreca en LMP2 (17ème au classement général). Avec un proto BMW d’usine dans la catégorie reine, ses ambitions seront tout autre. Pourquoi ne pas viser un succès de prestige sur le circuit de la Sarthe pour définitivement tourner la page de ses désillusions en Formule 1 ?
Son expérience, sa vitesse et son sens inné de la course plaident en sa faveur pour s’imposer comme un pilier du programme BMW, voire un futur vainqueur au Mans. Les prochains mois nous diront si ce pari audacieux était le bon pour relancer la carrière du talentueux Danois, loin des paddocks de la F1 mais avec des ambitions intactes en endurance.
Si ce transfert chez BMW peut paraître surprenant, Kevin Magnussen n’est pas un novice en endurance. En 2021, il avait déjà effectué un passage remarqué dans le championnat IMSA avec Chip Ganassi Racing. Au volant d’une Cadillac, il avait décroché une victoire et 5 podiums en 10 courses. Une expérience positive qui lui donne des repères pour aborder cette nouvelle étape chez BMW.
Le programme BMW encore flou
BMW n’a pas encore révélé tous les détails de son programme en endurance. Le constructeur allemand engagera une Hypercar hybride dans le WEC (Championnat du Monde d’Endurance) dès 2025, avec également une possible participation au championnat IMSA en Amérique du Nord. Le rôle exacte de Kevin Magnussen reste à définir.
Plusieurs options sont sur la table selon une source interne à BMW :
- Pilote titulaire dans l’une des deux catégories (WEC ou IMSA)
- Pilote réserve et de développement
- Participation aux épreuves phares comme les 24H du Mans
Le tableau définitif des équipages BMW sera annoncé ultérieurement. Une chose est sûre, le défi s’annonce relevé et excitant pour le Danois dans ce nouveau chapitre de sa carrière.
Un retour gagnant au Mans ?
Kevin Magnussen pourrait bien faire son grand retour aux 24H du Mans, une course qu’il a découvert en 2021 sur une modeste Oreca en LMP2 (17ème au classement général). Avec un proto BMW d’usine dans la catégorie reine, ses ambitions seront tout autre. Pourquoi ne pas viser un succès de prestige sur le circuit de la Sarthe pour définitivement tourner la page de ses désillusions en Formule 1 ?
Son expérience, sa vitesse et son sens inné de la course plaident en sa faveur pour s’imposer comme un pilier du programme BMW, voire un futur vainqueur au Mans. Les prochains mois nous diront si ce pari audacieux était le bon pour relancer la carrière du talentueux Danois, loin des paddocks de la F1 mais avec des ambitions intactes en endurance.