En cette fin octobre, à quelques jours seulement de l’élection présidentielle américaine, les candidats démocrate et républicain ont choisi de faire un détour inhabituel par le Texas. Kamala Harris, 60 ans, actuelle vice-présidente et candidate démocrate, s’y rend pour défendre le droit à l’avortement. Donald Trump, 78 ans, ex-président controversé et candidat républicain, va lui critiquer la gestion de la crise migratoire à la frontière mexicaine. Deux thèmes clivants pour galvaniser leurs électorats respectifs.
Une campagne sous haute tension
Avec seulement 11 jours avant le scrutin du 5 novembre, la bataille électorale fait rage aux États-Unis. Selon les derniers sondages, Kamala Harris et Donald Trump sont au coude-à-coude dans les sept États clés qui décideront de l’issue du vote. Chaque meeting compte pour grappiller de précieuses voix.
Le passage des deux candidats au Texas, État habituellement acquis aux républicains, peut donc surprendre. Mais ce détour stratégique leur permet de marteler leurs thèmes de prédilection, sur des terres a priori favorables.
Kamala Harris mise sur le droit à l’avortement et les stars
De son côté, Donald Trump a prévu un discours musclé sur l’immigration depuis un hangar d’avion à Austin. Il enregistrera aussi un podcast avec l’animateur Joe Rogan, très écouté par l’électorat masculin.
Nous sommes une décharge. Nous sommes comme la poubelle du monde.
Donald Trump au sujet de l’immigration lors d’un meeting en Arizona
Le message est clair : critiquer la gestion jugée laxiste de la frontière sud par l’administration démocrate. Un thème porteur au Texas, directement concerné par les arrivées de migrants. Trump accuse même directement sa rivale : «Une personne responsable d’un tel bain de sang sur notre sol ne peut être autorisée à devenir présidente des États-Unis.»
Le Texas, un État convoité
Si le Texas penche traditionnellement républicain, offrant ses 40 grands électeurs à Donald Trump en 2016 et 2020, les démocrates espèrent y progresser. Le duel pour un siège de sénateur y est aussi très disputé, le démocrate Colin Allred ayant une chance de créer la surprise face au républicain Ted Cruz.
Kamala Harris fait campagne pour être la 47e présidente des États-Unis. Donald Trump fait campagne pour être un tyran américain.
Bruce Springsteen, chanteur, lors d’un meeting de soutien à Kamala Harris
Dans la dernière ligne droite, les candidats ne vont plus se quitter des yeux. Il leur reste 11 jours pour convaincre les électeurs d’États clés comme le Texas, la Géorgie, la Pennsylvanie ou le Michigan. Donald Trump et Kamala Harris s’affrontent dans un duel à distance, à coup de petites phrases et de réunions publiques.
Le 5 novembre, les Américains choisiront donc bien plus qu’un président ou une présidente. C’est un choix de société qui se dessine, entre deux visions radicalement opposées portées par deux personnalités que tout sépare. L’issue s’annonce serrée et pourrait se jouer à une poignée de voix dans quelques États. Comme en 2000 ou en 2016.
Quel que soit le vainqueur, ces élections mettent en lumière les fractures profondes qui divisent les États-Unis. Entre démocrates et républicains, progressistes et conservateurs, citadins et ruraux, riches et pauvres, pro et anti-avortement… Le prochain locataire de la Maison Blanche aura fort à faire pour réconcilier un pays plus polarisé que jamais.
De son côté, Donald Trump a prévu un discours musclé sur l’immigration depuis un hangar d’avion à Austin. Il enregistrera aussi un podcast avec l’animateur Joe Rogan, très écouté par l’électorat masculin.
Nous sommes une décharge. Nous sommes comme la poubelle du monde.
Donald Trump au sujet de l’immigration lors d’un meeting en Arizona
Le message est clair : critiquer la gestion jugée laxiste de la frontière sud par l’administration démocrate. Un thème porteur au Texas, directement concerné par les arrivées de migrants. Trump accuse même directement sa rivale : «Une personne responsable d’un tel bain de sang sur notre sol ne peut être autorisée à devenir présidente des États-Unis.»
Le Texas, un État convoité
Si le Texas penche traditionnellement républicain, offrant ses 40 grands électeurs à Donald Trump en 2016 et 2020, les démocrates espèrent y progresser. Le duel pour un siège de sénateur y est aussi très disputé, le démocrate Colin Allred ayant une chance de créer la surprise face au républicain Ted Cruz.
Kamala Harris fait campagne pour être la 47e présidente des États-Unis. Donald Trump fait campagne pour être un tyran américain.
Bruce Springsteen, chanteur, lors d’un meeting de soutien à Kamala Harris
Dans la dernière ligne droite, les candidats ne vont plus se quitter des yeux. Il leur reste 11 jours pour convaincre les électeurs d’États clés comme le Texas, la Géorgie, la Pennsylvanie ou le Michigan. Donald Trump et Kamala Harris s’affrontent dans un duel à distance, à coup de petites phrases et de réunions publiques.
Le 5 novembre, les Américains choisiront donc bien plus qu’un président ou une présidente. C’est un choix de société qui se dessine, entre deux visions radicalement opposées portées par deux personnalités que tout sépare. L’issue s’annonce serrée et pourrait se jouer à une poignée de voix dans quelques États. Comme en 2000 ou en 2016.
Quel que soit le vainqueur, ces élections mettent en lumière les fractures profondes qui divisent les États-Unis. Entre démocrates et républicains, progressistes et conservateurs, citadins et ruraux, riches et pauvres, pro et anti-avortement… Le prochain locataire de la Maison Blanche aura fort à faire pour réconcilier un pays plus polarisé que jamais.
En meeting à Houston ce vendredi, Kamala Harris devrait être rejointe sur scène par la superstar Beyoncé, originaire de la ville. Un soutien de poids pour la candidate, au lendemain d’un rassemblement à Atlanta avec une autre icône, Bruce Springsteen. Le célèbre rockeur a joué ses plus grands tubes et appelé à voter démocrate.
Yes We Can
Barack Obama, ancien président lors d’un meeting commun avec Kamala Harris à Atlanta
La candidate n’hésite pas à utiliser la star power pour mobiliser. Mais elle compte surtout parler du droit à l’avortement, très menacé au Texas depuis une loi adoptée en 2021 interdisant quasiment toute IVG. Un sujet crucial pour son électorat.
Donald Trump joue la carte de l’immigration
De son côté, Donald Trump a prévu un discours musclé sur l’immigration depuis un hangar d’avion à Austin. Il enregistrera aussi un podcast avec l’animateur Joe Rogan, très écouté par l’électorat masculin.
Nous sommes une décharge. Nous sommes comme la poubelle du monde.
Donald Trump au sujet de l’immigration lors d’un meeting en Arizona
Le message est clair : critiquer la gestion jugée laxiste de la frontière sud par l’administration démocrate. Un thème porteur au Texas, directement concerné par les arrivées de migrants. Trump accuse même directement sa rivale : «Une personne responsable d’un tel bain de sang sur notre sol ne peut être autorisée à devenir présidente des États-Unis.»
Le Texas, un État convoité
Si le Texas penche traditionnellement républicain, offrant ses 40 grands électeurs à Donald Trump en 2016 et 2020, les démocrates espèrent y progresser. Le duel pour un siège de sénateur y est aussi très disputé, le démocrate Colin Allred ayant une chance de créer la surprise face au républicain Ted Cruz.
Kamala Harris fait campagne pour être la 47e présidente des États-Unis. Donald Trump fait campagne pour être un tyran américain.
Bruce Springsteen, chanteur, lors d’un meeting de soutien à Kamala Harris
Dans la dernière ligne droite, les candidats ne vont plus se quitter des yeux. Il leur reste 11 jours pour convaincre les électeurs d’États clés comme le Texas, la Géorgie, la Pennsylvanie ou le Michigan. Donald Trump et Kamala Harris s’affrontent dans un duel à distance, à coup de petites phrases et de réunions publiques.
Le 5 novembre, les Américains choisiront donc bien plus qu’un président ou une présidente. C’est un choix de société qui se dessine, entre deux visions radicalement opposées portées par deux personnalités que tout sépare. L’issue s’annonce serrée et pourrait se jouer à une poignée de voix dans quelques États. Comme en 2000 ou en 2016.
Quel que soit le vainqueur, ces élections mettent en lumière les fractures profondes qui divisent les États-Unis. Entre démocrates et républicains, progressistes et conservateurs, citadins et ruraux, riches et pauvres, pro et anti-avortement… Le prochain locataire de la Maison Blanche aura fort à faire pour réconcilier un pays plus polarisé que jamais.
En meeting à Houston ce vendredi, Kamala Harris devrait être rejointe sur scène par la superstar Beyoncé, originaire de la ville. Un soutien de poids pour la candidate, au lendemain d’un rassemblement à Atlanta avec une autre icône, Bruce Springsteen. Le célèbre rockeur a joué ses plus grands tubes et appelé à voter démocrate.
Yes We Can
Barack Obama, ancien président lors d’un meeting commun avec Kamala Harris à Atlanta
La candidate n’hésite pas à utiliser la star power pour mobiliser. Mais elle compte surtout parler du droit à l’avortement, très menacé au Texas depuis une loi adoptée en 2021 interdisant quasiment toute IVG. Un sujet crucial pour son électorat.
Donald Trump joue la carte de l’immigration
De son côté, Donald Trump a prévu un discours musclé sur l’immigration depuis un hangar d’avion à Austin. Il enregistrera aussi un podcast avec l’animateur Joe Rogan, très écouté par l’électorat masculin.
Nous sommes une décharge. Nous sommes comme la poubelle du monde.
Donald Trump au sujet de l’immigration lors d’un meeting en Arizona
Le message est clair : critiquer la gestion jugée laxiste de la frontière sud par l’administration démocrate. Un thème porteur au Texas, directement concerné par les arrivées de migrants. Trump accuse même directement sa rivale : «Une personne responsable d’un tel bain de sang sur notre sol ne peut être autorisée à devenir présidente des États-Unis.»
Le Texas, un État convoité
Si le Texas penche traditionnellement républicain, offrant ses 40 grands électeurs à Donald Trump en 2016 et 2020, les démocrates espèrent y progresser. Le duel pour un siège de sénateur y est aussi très disputé, le démocrate Colin Allred ayant une chance de créer la surprise face au républicain Ted Cruz.
Kamala Harris fait campagne pour être la 47e présidente des États-Unis. Donald Trump fait campagne pour être un tyran américain.
Bruce Springsteen, chanteur, lors d’un meeting de soutien à Kamala Harris
Dans la dernière ligne droite, les candidats ne vont plus se quitter des yeux. Il leur reste 11 jours pour convaincre les électeurs d’États clés comme le Texas, la Géorgie, la Pennsylvanie ou le Michigan. Donald Trump et Kamala Harris s’affrontent dans un duel à distance, à coup de petites phrases et de réunions publiques.
Le 5 novembre, les Américains choisiront donc bien plus qu’un président ou une présidente. C’est un choix de société qui se dessine, entre deux visions radicalement opposées portées par deux personnalités que tout sépare. L’issue s’annonce serrée et pourrait se jouer à une poignée de voix dans quelques États. Comme en 2000 ou en 2016.
Quel que soit le vainqueur, ces élections mettent en lumière les fractures profondes qui divisent les États-Unis. Entre démocrates et républicains, progressistes et conservateurs, citadins et ruraux, riches et pauvres, pro et anti-avortement… Le prochain locataire de la Maison Blanche aura fort à faire pour réconcilier un pays plus polarisé que jamais.