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Joe Biden Vante une Amérique Plus Forte Grâce à Son Mandat

Les États-Unis ressortent renforcés du mandat de Biden sur la scène internationale. Malgré les défis, l'Amérique reste devant la Chine. Le soutien à l'Ukraine ne faiblit pas face à Poutine. Biden dresse un bilan positif mais...

Alors que son mandat touche à sa fin, le président américain Joe Biden a dressé lundi un bilan positif de sa politique étrangère. Selon lui, sous sa houlette, les États-Unis ont renforcé leur leadership mondial et sont mieux armés face aux défis posés par la Chine et la Russie. Un optimisme en partie contrebalancé par l’arrivée au pouvoir de son rival républicain Donald Trump.

L’Amérique en pole position malgré la menace chinoise

Dans son discours, Joe Biden s’est montré confiant quant à la place des États-Unis dans la compétition internationale. Malgré la puissance économique grandissante de la Chine, le dirigeant démocrate de 82 ans a assuré que son rival asiatique « ne dépassera jamais » l’Amérique selon les projections actuelles.

Une posture volontariste qui tranche avec celle de son prédécesseur, le républicain Donald Trump, connu pour avoir ébranlé les alliances traditionnelles de Washington durant son mandat. Au contraire, Biden a vanté la force renouvelée des partenariats noués par les États-Unis sous sa présidence.

Soutien indéfectible à l’Ukraine face à Poutine

Sur le dossier brûlant de la guerre en Ukraine, le président sortant a une nouvelle fois réaffirmé l’engagement total de Washington aux côtés de Kiev. Pilier du soutien occidental face à Moscou, les États-Unis « ne peuvent pas abandonner » l’Ukraine, a-t-il martelé.

Un an après le début de l’invasion russe, Biden a souligné les échecs de Vladimir Poutine, loin de ses objectifs initiaux d’une guerre éclair. « La réalité, c’est que depuis le début du conflit, le seul qui soit allé à Kiev, c’est moi, pas lui », a-t-il lancé en référence à sa visite dans la capitale ukrainienne en 2023.

Vers un cessez-le-feu à Gaza

Autre dossier sensible : le conflit israélo-palestinien qui a connu une nouvelle escalade durant le mandat de Biden. Le dirigeant démocrate s’est toutefois voulu rassurant, affirmant qu’un accord de cessez-le-feu était « sur le point » d’être conclu dans la bande de Gaza, accompagné d’une libération de prisonniers.

Critique des climato-sceptiques

Sans nommer Trump, chantre des climato-sceptiques, Biden a vivement critiqué ceux « qui ne croient même pas en la réalité du changement climatique ». Une « erreur totale » pour le président sortant qui juge la crise environnementale comme « la plus grande menace pour l’humanité ».

Promotion de la démocratie et des droits humains

Revenant sur son bilan, Biden a conclu en soulignant que sous sa présidence, les États-Unis avaient mis leur « puissance » au service du rassemblement des nations pour « accroître la sécurité et la prospérité partagées ». Mais aussi pour « tenir tête à l’agression, résoudre pacifiquement les conflits et défendre sans relâche la démocratie et les droits humains ».

Un credo diplomatique opposé à celui de « l’Amérique d’abord » prôné par Trump, qui sera de retour à la Maison Blanche dans quelques jours. Reste à voir si le bilan dressé par Biden résistera à l’épreuve du temps.

Un an après le début de l’invasion russe, Biden a souligné les échecs de Vladimir Poutine, loin de ses objectifs initiaux d’une guerre éclair. « La réalité, c’est que depuis le début du conflit, le seul qui soit allé à Kiev, c’est moi, pas lui », a-t-il lancé en référence à sa visite dans la capitale ukrainienne en 2023.

Vers un cessez-le-feu à Gaza

Autre dossier sensible : le conflit israélo-palestinien qui a connu une nouvelle escalade durant le mandat de Biden. Le dirigeant démocrate s’est toutefois voulu rassurant, affirmant qu’un accord de cessez-le-feu était « sur le point » d’être conclu dans la bande de Gaza, accompagné d’une libération de prisonniers.

Critique des climato-sceptiques

Sans nommer Trump, chantre des climato-sceptiques, Biden a vivement critiqué ceux « qui ne croient même pas en la réalité du changement climatique ». Une « erreur totale » pour le président sortant qui juge la crise environnementale comme « la plus grande menace pour l’humanité ».

Promotion de la démocratie et des droits humains

Revenant sur son bilan, Biden a conclu en soulignant que sous sa présidence, les États-Unis avaient mis leur « puissance » au service du rassemblement des nations pour « accroître la sécurité et la prospérité partagées ». Mais aussi pour « tenir tête à l’agression, résoudre pacifiquement les conflits et défendre sans relâche la démocratie et les droits humains ».

Un credo diplomatique opposé à celui de « l’Amérique d’abord » prôné par Trump, qui sera de retour à la Maison Blanche dans quelques jours. Reste à voir si le bilan dressé par Biden résistera à l’épreuve du temps.

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