Dans un revirement stratégique majeur, le président américain Joe Biden a donné son feu vert à l’Ukraine pour utiliser des missiles de longue portée afin de frapper des cibles en territoire russe. Cette décision, qui intervient dans un contexte de tensions croissantes, marque un tournant décisif dans le conflit qui oppose Kiev à Moscou depuis 2022.
Une Nouvelle Donne Militaire
Selon des sources proches du dossier, l’Ukraine est désormais autorisée à déployer les redoutables missiles ATACMS, d’une portée de 300 km, contre des objectifs stratégiques situés en Russie. Ce changement de posture de Washington fait suite à l’annonce par Moscou de l’envoi de 10 000 soldats nord-coréens en renfort sur le front ukrainien.
Le seul langage que comprend Poutine
– Un responsable américain
Avec cette décision, les États-Unis semblent vouloir adresser un message clair au Kremlin. “À l’entrée en guerre des troupes nord-coréennes et à l’attaque massive de missiles russes, le président Biden a répondu avec un langage que Poutine comprend”, a déclaré un haut responsable sous couvert d’anonymat.
Vers une Escalade Incontrôlable ?
Si certains saluent la fermeté de Washington, d’autres s’inquiètent des risques d’une escalade incontrôlable. Jusqu’à présent, la Maison-Blanche avait résisté aux demandes pressantes de Kiev, craignant qu’une extension du conflit ne déstabilise toute la région.
Moscou a d’ores et déjà fait savoir qu’elle considérerait toute frappe ukrainienne sur son sol comme une “provocation majeure” appelant une réponse “ferme et sans équivoque”. Dans ce contexte, les prochaines semaines s’annoncent décisives pour l’avenir du conflit et la sécurité en Europe.
Quel Impact sur le Terrain ?
Sur le plan militaire, les ATACMS pourraient donner un avantage certain à l’Ukraine, lui permettant de frapper des nœuds logistiques, des bases arrières et des centres de commandement russes jusque-là hors de portée. Selon les analystes, ces missiles haute précision seraient un atout de taille face à la offensive massive que prépare Moscou.
- Portée de 300 km, contre 80 km pour les missiles HIMARS actuellement utilisés par Kiev
- Charge militaire de 500 kg, capable de détruire des bâtiments fortifiés
- Guidage GPS pour des frappes chirurgicales
Reste à savoir si cet apport sera suffisant pour inverser le rapport de force sur le terrain. Avec l’arrivée des troupes nord-coréennes aguerries et les livraisons d’armes iraniennes, Moscou dispose encore de solides réserves pour une guerre d’usure.
Biden Joue Son Va-tout
En autorisant ces frappes, Joe Biden joue un coup risqué à quelques semaines de passer le relais à son successeur Donald Trump, connu pour sa position plus conciliante envers Moscou. Le démocrate, qui n’a plus rien à perdre, semble déterminé à exploiter ses dernières semaines à la Maison-Blanche pour tenter d’influer sur le cours de la guerre.
Biden veut laisser une marque avant son départ, quitte à prendre des risques. C’est un pari audacieux.
– Un expert de la politique américaine
Quelles que soient les motivations profondes de Joe Biden, sa décision marque un tournant dans la politique américaine et plonge l’Ukraine, la Russie et l’Europe dans une nouvelle ère d’incertitude. Les prochaines semaines nous diront si ce choix aura permis de faire pencher la balance en faveur de Kiev ou au contraire précipité la région dans une spirale dangereuse.
Moscou a d’ores et déjà fait savoir qu’elle considérerait toute frappe ukrainienne sur son sol comme une “provocation majeure” appelant une réponse “ferme et sans équivoque”. Dans ce contexte, les prochaines semaines s’annoncent décisives pour l’avenir du conflit et la sécurité en Europe.
Quel Impact sur le Terrain ?
Sur le plan militaire, les ATACMS pourraient donner un avantage certain à l’Ukraine, lui permettant de frapper des nœuds logistiques, des bases arrières et des centres de commandement russes jusque-là hors de portée. Selon les analystes, ces missiles haute précision seraient un atout de taille face à la offensive massive que prépare Moscou.
- Portée de 300 km, contre 80 km pour les missiles HIMARS actuellement utilisés par Kiev
- Charge militaire de 500 kg, capable de détruire des bâtiments fortifiés
- Guidage GPS pour des frappes chirurgicales
Reste à savoir si cet apport sera suffisant pour inverser le rapport de force sur le terrain. Avec l’arrivée des troupes nord-coréennes aguerries et les livraisons d’armes iraniennes, Moscou dispose encore de solides réserves pour une guerre d’usure.
Biden Joue Son Va-tout
En autorisant ces frappes, Joe Biden joue un coup risqué à quelques semaines de passer le relais à son successeur Donald Trump, connu pour sa position plus conciliante envers Moscou. Le démocrate, qui n’a plus rien à perdre, semble déterminé à exploiter ses dernières semaines à la Maison-Blanche pour tenter d’influer sur le cours de la guerre.
Biden veut laisser une marque avant son départ, quitte à prendre des risques. C’est un pari audacieux.
– Un expert de la politique américaine
Quelles que soient les motivations profondes de Joe Biden, sa décision marque un tournant dans la politique américaine et plonge l’Ukraine, la Russie et l’Europe dans une nouvelle ère d’incertitude. Les prochaines semaines nous diront si ce choix aura permis de faire pencher la balance en faveur de Kiev ou au contraire précipité la région dans une spirale dangereuse.