Alors que les Jeux Olympiques de Paris 2024 approchent à grands pas, la France se prépare à relever un défi de taille : se hisser dans le top 5 des nations au classement des médailles. Pour atteindre cet objectif ambitieux fixé par le président Emmanuel Macron, l’Agence nationale du sport (ANS) a décidé de se tourner vers l’international, en recrutant des entraîneurs étrangers de renom.
Un vivier d’expertise mondiale au service des athlètes français
Claude Onesta, manager de la haute performance à l’ANS, l’affirme sans détour : « Si nous constatons un manque d’expertise dans certaines disciplines, alors il nous faut savoir chercher ailleurs ». C’est dans cette optique que le plan Coachs a été lancé début 2022, visant à renforcer l’encadrement des sportifs français en faisant appel à des compétences extérieures.
Ces entraîneurs étrangers, triés sur le volet, apportent ainsi leur savoir-faire et leur expérience du haut niveau international. Leur mission : optimiser la préparation des athlètes et les guider vers l’excellence, afin de décrocher un maximum de médailles lors des épreuves olympiques.
Une collaboration franco-étrangère fructueuse
Loin de se substituer aux entraîneurs français, ces experts internationaux travaillent main dans la main avec eux. Ensemble, ils élaborent des programmes d’entraînement sur-mesure, adaptés aux spécificités de chaque discipline et aux profils des athlètes. Cette complémentarité des compétences et des approches s’avère d’ores et déjà payante, comme en témoignent les progrès réalisés par plusieurs sportifs français depuis l’arrivée de leurs nouveaux coachs.
“La venue de mon entraîneur étranger a été un véritable déclic. Son expertise et sa vision différente m’ont permis de franchir un cap dans ma préparation.”
Témoignage d’un athlète français
Paris 2024, un tremplin pour le sport français
Au-delà des Jeux Olympiques, l’apport de ces entraîneurs étrangers s’inscrit dans une dynamique de long terme. L’objectif est de créer une véritable émulation au sein du sport français, en favorisant les échanges de bonnes pratiques et le transfert de connaissances. À terme, c’est tout l’écosystème sportif tricolore qui pourrait en bénéficier, des clubs amateurs jusqu’à l’élite.
Avec les JO de Paris 2024 en ligne de mire, la France met toutes les chances de son côté en misant sur cette hybridation des talents. Une stratégie audacieuse et novatrice, qui pourrait bien porter ses fruits sur les podiums olympiques et au-delà. Rendez-vous en 2024 pour en mesurer les retombées !