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Israël-Palestine : Macron Sème la Discorde avec des Propos Controversés

Tollé général après les propos chocs d'Emmanuel Macron remettant en cause la légitimité d'Israël. Le président français au cœur d'une tempête diplomatique sans précédent qui ébranle les relations avec l'État hébreu. Décryptage d'une polémique aux répercussions internationales...

Une simple phrase prononcée par Emmanuel Macron a suffi à déclencher un séisme diplomatique entre la France et Israël. Lors d’un récent Conseil des ministres, le président français aurait en effet déclaré que l’État hébreu a été “créé par une décision de l’ONU”, enjoignant à son homologue israélien Benyamin Netanyahou de ne pas l’oublier. Des propos qui ont immédiatement suscité l’indignation, tant en Israël qu’en France.

La légitimité d’Israël remise en cause ?

Pour de nombreux observateurs, les déclarations d’Emmanuel Macron sonnent comme une remise en cause pure et simple de la légitimité de l’État d’Israël. En affirmant que celui-ci doit son existence à “une décision de l’ONU”, le chef de l’État français semble en effet nier le droit historique et ancestral du peuple juif à disposer d’une terre qui est la sienne depuis des millénaires. Une vision réductrice qui fait l’impasse sur les racines profondes de la nation israélienne, bien antérieures à la résolution 181 de l’Assemblée générale des Nations unies de 1947.

Un manque de connaissance historique

Pour Gérard Larcher, le président du Sénat, les propos d’Emmanuel Macron traduisent avant tout “une méconnaissance de l’Histoire”. “C’est d’abord une méconnaissance de l’histoire de la naissance de l’État d’Israël”, a-t-il fustigé, s’interrogeant : “Est-ce qu’il s’est souvenu de la déclaration Balfour ? Est-ce qu’il a conscience de ce qu’il s’est passé pendant la Shoah ?” Des questionnements qui mettent en lumière les zones d’ombre du raisonnement présidentiel.

Je ne le soupçonne de rien, je dis que le droit à l’existence d’Israël n’est pas discutable ni négociable.

Gérard Larcher, président du Sénat

L’indignation des soutiens d’Israël

Sans surprise, les déclarations présidentielles ont provoqué un tollé chez les soutiens de l’État hébreu. L’ancien Premier ministre Manuel Valls a ainsi estimé qu’Emmanuel Macron “ne comprend rien à ce que sont Israël” et “la sensibilité du monde juif”. Une incompréhension partagée par de nombreux responsables politiques, de droite comme de gauche, pour qui les propos du chef de l’État constituent une faute diplomatique majeure.

Des excuses à venir ?

Face à la polémique grandissante, l’Élysée tentera-t-il d’éteindre l’incendie en présentant des excuses à Israël ? Rien n’est moins sûr, tant Emmanuel Macron semble camper sur ses positions. D’après une source proche du dossier, le président français maintiendrait ses déclarations et ne compterait pas revenir dessus, au risque de tendre davantage encore les relations avec l’État hébreu. Une intransigeance qui pourrait coûter cher à la France sur la scène internationale.

Un coup dur pour la diplomatie française

Quelles que soient les intentions réelles d’Emmanuel Macron, une chose est sûre : ses propos sur Israël constituent un coup dur pour la diplomatie française. En remettant en cause, même involontairement, la légitimité d’un État ami et allié, le président prend le risque de brouiller durablement les relations entre Paris et Tel-Aviv. Une perspective inquiétante à l’heure où le Proche-Orient traverse une période de fortes tensions.

Vers une clarification ?

Pour tenter de calmer le jeu, Emmanuel Macron sera-t-il amené à clarifier sa pensée dans les prochains jours ? C’est tout l’enjeu des heures à venir. En attendant, la polémique continue d’enfler, alimentée par les réactions indignées des soutiens d’Israël aux quatre coins du monde. Une situation explosive qui place le président français dans une position pour le moins délicate.

Une chose est sûre : les déclarations d’Emmanuel Macron sur Israël n’ont pas fini de faire parler d’elles. Dans un contexte géopolitique déjà tendu, elles viennent jeter de l’huile sur le feu d’un conflit qui n’en finit plus de s’envenimer. À l’Élysée de jouer finement pour éviter que cette polémique ne se transforme en véritable crise diplomatique.

Sans surprise, les déclarations présidentielles ont provoqué un tollé chez les soutiens de l’État hébreu. L’ancien Premier ministre Manuel Valls a ainsi estimé qu’Emmanuel Macron “ne comprend rien à ce que sont Israël” et “la sensibilité du monde juif”. Une incompréhension partagée par de nombreux responsables politiques, de droite comme de gauche, pour qui les propos du chef de l’État constituent une faute diplomatique majeure.

Des excuses à venir ?

Face à la polémique grandissante, l’Élysée tentera-t-il d’éteindre l’incendie en présentant des excuses à Israël ? Rien n’est moins sûr, tant Emmanuel Macron semble camper sur ses positions. D’après une source proche du dossier, le président français maintiendrait ses déclarations et ne compterait pas revenir dessus, au risque de tendre davantage encore les relations avec l’État hébreu. Une intransigeance qui pourrait coûter cher à la France sur la scène internationale.

Un coup dur pour la diplomatie française

Quelles que soient les intentions réelles d’Emmanuel Macron, une chose est sûre : ses propos sur Israël constituent un coup dur pour la diplomatie française. En remettant en cause, même involontairement, la légitimité d’un État ami et allié, le président prend le risque de brouiller durablement les relations entre Paris et Tel-Aviv. Une perspective inquiétante à l’heure où le Proche-Orient traverse une période de fortes tensions.

Vers une clarification ?

Pour tenter de calmer le jeu, Emmanuel Macron sera-t-il amené à clarifier sa pensée dans les prochains jours ? C’est tout l’enjeu des heures à venir. En attendant, la polémique continue d’enfler, alimentée par les réactions indignées des soutiens d’Israël aux quatre coins du monde. Une situation explosive qui place le président français dans une position pour le moins délicate.

Une chose est sûre : les déclarations d’Emmanuel Macron sur Israël n’ont pas fini de faire parler d’elles. Dans un contexte géopolitique déjà tendu, elles viennent jeter de l’huile sur le feu d’un conflit qui n’en finit plus de s’envenimer. À l’Élysée de jouer finement pour éviter que cette polémique ne se transforme en véritable crise diplomatique.

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