C’est une affaire qui a secoué le petit lycée polyvalent de l’Hyrôme à Chemillé-en-Anjou dans le Maine-et-Loire. Lundi matin, une enseignante d’anglais a été agressée au couteau par l’un de ses élèves âgé de 18 ans. Mais l’enquête a révélé que le jeune homme, décrit comme “rieur et rigolard” par ses camarades, visait en réalité deux autres élèves de l’établissement et avait soigneusement préparé son acte depuis plusieurs jours.
Un lycéen sans histoires en apparence
Scolarisé depuis 3 ans dans ce lycée, l’agresseur présumé était inconnu des services de police et n’avait jamais fait parler de lui auparavant. Ce lundi, il effectuait sa rentrée après une absence pour maladie et rien ne laissait présager un tel déchaînement de violence.
On le voyait souvent rigoler dans les couloirs. Il avait l’air d’un élève sans problèmes.
témoigne un camarade sous couvert d’anonymat
Le mobile de l’agression reste flou
Si les préparatifs du jeune homme ne laissent guère de doutes sur ses intentions, les raisons qui l’ont poussé à passer à l’acte demeurent un mystère. Élève sans histoires, il n’avait jamais eu de différends avec ses professeurs ou ses camarades. La piste d’un chantage ou de menaces est étudiée par les enquêteurs.
L’enseignante hors de danger, l’établissement sous le choc
Grâce à l’intervention rapide d’autres élèves, l’enseignante agressée a pu être prise en charge rapidement. Ses jours ne sont pas en danger mais le choc psychologique est immense. Tout comme pour le reste de l’équipe éducative et les élèves, qui peinent à réaliser qu’un tel drame ait pu se produire entre leurs murs.
Une cellule psychologique a été mise en place et des mesures de sécurité renforcées. L’enquête se poursuit pour comprendre ce qui a pu pousser ce lycéen apparemment ordinaire à basculer dans une telle folie meurtrière et surtout, déterminer s’il a agi seul ou s’il a bénéficié de complicités. Un drame qui rappelle cruellement que la violence peut surgir là où on l’attend le moins, même derrière un sourire d’adolescent.
Le mobile de l’agression reste flou
Si les préparatifs du jeune homme ne laissent guère de doutes sur ses intentions, les raisons qui l’ont poussé à passer à l’acte demeurent un mystère. Élève sans histoires, il n’avait jamais eu de différends avec ses professeurs ou ses camarades. La piste d’un chantage ou de menaces est étudiée par les enquêteurs.
L’enseignante hors de danger, l’établissement sous le choc
Grâce à l’intervention rapide d’autres élèves, l’enseignante agressée a pu être prise en charge rapidement. Ses jours ne sont pas en danger mais le choc psychologique est immense. Tout comme pour le reste de l’équipe éducative et les élèves, qui peinent à réaliser qu’un tel drame ait pu se produire entre leurs murs.
Une cellule psychologique a été mise en place et des mesures de sécurité renforcées. L’enquête se poursuit pour comprendre ce qui a pu pousser ce lycéen apparemment ordinaire à basculer dans une telle folie meurtrière et surtout, déterminer s’il a agi seul ou s’il a bénéficié de complicités. Un drame qui rappelle cruellement que la violence peut surgir là où on l’attend le moins, même derrière un sourire d’adolescent.
Une agression minutieusement préméditée
Mais derrière ce tempérament jovial se cachait en réalité un esprit machiavélique. Car selon le parquet d’Angers, le suspect avait planifié son passage à l’acte depuis plusieurs jours et comptait s’en prendre à deux autres élèves en plus de son professeur.
- Il s’était procuré une arme blanche
- Il avait étudié les emplois du temps de ses cibles
- Il avait même pris soin de préparer une explication pour justifier son absence
Le mobile de l’agression reste flou
Si les préparatifs du jeune homme ne laissent guère de doutes sur ses intentions, les raisons qui l’ont poussé à passer à l’acte demeurent un mystère. Élève sans histoires, il n’avait jamais eu de différends avec ses professeurs ou ses camarades. La piste d’un chantage ou de menaces est étudiée par les enquêteurs.
L’enseignante hors de danger, l’établissement sous le choc
Grâce à l’intervention rapide d’autres élèves, l’enseignante agressée a pu être prise en charge rapidement. Ses jours ne sont pas en danger mais le choc psychologique est immense. Tout comme pour le reste de l’équipe éducative et les élèves, qui peinent à réaliser qu’un tel drame ait pu se produire entre leurs murs.
Une cellule psychologique a été mise en place et des mesures de sécurité renforcées. L’enquête se poursuit pour comprendre ce qui a pu pousser ce lycéen apparemment ordinaire à basculer dans une telle folie meurtrière et surtout, déterminer s’il a agi seul ou s’il a bénéficié de complicités. Un drame qui rappelle cruellement que la violence peut surgir là où on l’attend le moins, même derrière un sourire d’adolescent.
Une agression minutieusement préméditée
Mais derrière ce tempérament jovial se cachait en réalité un esprit machiavélique. Car selon le parquet d’Angers, le suspect avait planifié son passage à l’acte depuis plusieurs jours et comptait s’en prendre à deux autres élèves en plus de son professeur.
- Il s’était procuré une arme blanche
- Il avait étudié les emplois du temps de ses cibles
- Il avait même pris soin de préparer une explication pour justifier son absence
Le mobile de l’agression reste flou
Si les préparatifs du jeune homme ne laissent guère de doutes sur ses intentions, les raisons qui l’ont poussé à passer à l’acte demeurent un mystère. Élève sans histoires, il n’avait jamais eu de différends avec ses professeurs ou ses camarades. La piste d’un chantage ou de menaces est étudiée par les enquêteurs.
L’enseignante hors de danger, l’établissement sous le choc
Grâce à l’intervention rapide d’autres élèves, l’enseignante agressée a pu être prise en charge rapidement. Ses jours ne sont pas en danger mais le choc psychologique est immense. Tout comme pour le reste de l’équipe éducative et les élèves, qui peinent à réaliser qu’un tel drame ait pu se produire entre leurs murs.
Une cellule psychologique a été mise en place et des mesures de sécurité renforcées. L’enquête se poursuit pour comprendre ce qui a pu pousser ce lycéen apparemment ordinaire à basculer dans une telle folie meurtrière et surtout, déterminer s’il a agi seul ou s’il a bénéficié de complicités. Un drame qui rappelle cruellement que la violence peut surgir là où on l’attend le moins, même derrière un sourire d’adolescent.