Une terrible catastrophe frappe actuellement la célèbre ville de Malibu, haut lieu de villégiature des stars hollywoodiennes. Depuis lundi soir, un violent incendie ravage la région, contraignant des milliers d’habitants à une évacuation d’urgence. Face à la progression fulgurante des flammes, attisées par des vents violents et une végétation desséchée, c’est tout un paradis qui semble s’être transformé en enfer.
Plus de 1000 hectares partis en fumée
Selon l’agence californienne Cal Fire, spécialisée dans la lutte contre les feux de forêts, le sinistre aurait déjà ravagé plus de 1000 hectares. Parmi les zones touchées, on dénombre de nombreuses résidences de luxe, ces villas et propriétés hors de prix prisées par les célébrités et milliardaires. Un crève-cœur pour cette communauté dorée, qui voit partir en fumée des pans entiers de son écrin.
Une lutte acharnée contre les flammes
Après deux hivers relativement pluvieux lui ayant offert un certain répit, la Californie traverse cette année une saison des feux particulièrement virulente. Les vagues de chaleur à répétition subies cet été, marques indubitables du réchauffement climatique, n’ont fait qu’aggraver la situation. En juillet et août, le « Golden State » essuyait déjà le quatrième incendie le plus vaste de son histoire.
Une catastrophe qui soulève de nombreuses questions
Au-delà des dégâts matériels colossaux et du traumatisme des évacués, cet énième drame ravive le débat sur les mesures à prendre face au dérèglement climatique et à ses conséquences dévastatrices. Jusqu’où iront les dégâts avant une prise de conscience à la hauteur de l’enjeu ? Combien d’hectares, de résidences et de vies devront encore partir en fumée ? Autant de questions brûlantes, dans tous les sens du terme, que cet incendie terrifiant impose à nouveau sur le devant de la scène.
Il ne reste plus qu’à espérer que les efforts des secours permettront de circonscrire au plus vite ce sinistre, et que Malibu, comme le reste de la Californie, saura se relever de ses cendres. Mais au vu de l’ampleur du désastre et des signes avant-coureurs du climat, il y a fort à parier que cette tragédie ne restera pas un cas isolé. Un constat alarmant, qui appelle à une mobilisation et des actions fortes pour tenter d’enrayer cette spirale infernale.
Après deux hivers relativement pluvieux lui ayant offert un certain répit, la Californie traverse cette année une saison des feux particulièrement virulente. Les vagues de chaleur à répétition subies cet été, marques indubitables du réchauffement climatique, n’ont fait qu’aggraver la situation. En juillet et août, le « Golden State » essuyait déjà le quatrième incendie le plus vaste de son histoire.
Une catastrophe qui soulève de nombreuses questions
Au-delà des dégâts matériels colossaux et du traumatisme des évacués, cet énième drame ravive le débat sur les mesures à prendre face au dérèglement climatique et à ses conséquences dévastatrices. Jusqu’où iront les dégâts avant une prise de conscience à la hauteur de l’enjeu ? Combien d’hectares, de résidences et de vies devront encore partir en fumée ? Autant de questions brûlantes, dans tous les sens du terme, que cet incendie terrifiant impose à nouveau sur le devant de la scène.
Il ne reste plus qu’à espérer que les efforts des secours permettront de circonscrire au plus vite ce sinistre, et que Malibu, comme le reste de la Californie, saura se relever de ses cendres. Mais au vu de l’ampleur du désastre et des signes avant-coureurs du climat, il y a fort à parier que cette tragédie ne restera pas un cas isolé. Un constat alarmant, qui appelle à une mobilisation et des actions fortes pour tenter d’enrayer cette spirale infernale.
Une grande partie du sud de l’État fait actuellement l’objet d’une vigilance maximale, placée en alerte rouge par le service météorologique américain (NWS). Le cocktail redoutable constitué par des rafales de vent, un taux d’humidité au plus bas et une sécheresse persistante propulse les risques d’incendies.
Après deux hivers relativement pluvieux lui ayant offert un certain répit, la Californie traverse cette année une saison des feux particulièrement virulente. Les vagues de chaleur à répétition subies cet été, marques indubitables du réchauffement climatique, n’ont fait qu’aggraver la situation. En juillet et août, le « Golden State » essuyait déjà le quatrième incendie le plus vaste de son histoire.
Une catastrophe qui soulève de nombreuses questions
Au-delà des dégâts matériels colossaux et du traumatisme des évacués, cet énième drame ravive le débat sur les mesures à prendre face au dérèglement climatique et à ses conséquences dévastatrices. Jusqu’où iront les dégâts avant une prise de conscience à la hauteur de l’enjeu ? Combien d’hectares, de résidences et de vies devront encore partir en fumée ? Autant de questions brûlantes, dans tous les sens du terme, que cet incendie terrifiant impose à nouveau sur le devant de la scène.
Il ne reste plus qu’à espérer que les efforts des secours permettront de circonscrire au plus vite ce sinistre, et que Malibu, comme le reste de la Californie, saura se relever de ses cendres. Mais au vu de l’ampleur du désastre et des signes avant-coureurs du climat, il y a fort à parier que cette tragédie ne restera pas un cas isolé. Un constat alarmant, qui appelle à une mobilisation et des actions fortes pour tenter d’enrayer cette spirale infernale.
Une grande partie du sud de l’État fait actuellement l’objet d’une vigilance maximale, placée en alerte rouge par le service météorologique américain (NWS). Le cocktail redoutable constitué par des rafales de vent, un taux d’humidité au plus bas et une sécheresse persistante propulse les risques d’incendies.
Après deux hivers relativement pluvieux lui ayant offert un certain répit, la Californie traverse cette année une saison des feux particulièrement virulente. Les vagues de chaleur à répétition subies cet été, marques indubitables du réchauffement climatique, n’ont fait qu’aggraver la situation. En juillet et août, le « Golden State » essuyait déjà le quatrième incendie le plus vaste de son histoire.
Une catastrophe qui soulève de nombreuses questions
Au-delà des dégâts matériels colossaux et du traumatisme des évacués, cet énième drame ravive le débat sur les mesures à prendre face au dérèglement climatique et à ses conséquences dévastatrices. Jusqu’où iront les dégâts avant une prise de conscience à la hauteur de l’enjeu ? Combien d’hectares, de résidences et de vies devront encore partir en fumée ? Autant de questions brûlantes, dans tous les sens du terme, que cet incendie terrifiant impose à nouveau sur le devant de la scène.
Il ne reste plus qu’à espérer que les efforts des secours permettront de circonscrire au plus vite ce sinistre, et que Malibu, comme le reste de la Californie, saura se relever de ses cendres. Mais au vu de l’ampleur du désastre et des signes avant-coureurs du climat, il y a fort à parier que cette tragédie ne restera pas un cas isolé. Un constat alarmant, qui appelle à une mobilisation et des actions fortes pour tenter d’enrayer cette spirale infernale.
18 000 personnes menacées
D’après le shérif du comté de Los Angeles, Robert Luna, ce sont pas moins de 18 000 personnes et plus de 8 000 propriétés qui se trouvent dans la zone impactée par ce que l’on nomme désormais « l’incendie Franklin ». Face à l’urgence, ses équipes ont procédé à un porte-à-porte pour faire évacuer les résidents. Environ 2 000 bâtisses ont reçu un ordre d’évacuation obligatoire, quand 6 000 autres ont été fortement incitées à quitter les lieux.
Vers 23h, nous étions complètement cernés par le feu. Le ciel était rouge vif. En 45 minutes, les flammes atteignaient le bas de la colline et une heure plus tard, nous étions encerclés: d’un côté les maisons brûlaient, de l’autre la crête était en feu. Tout autour de nous, la montagne s’embrasait. C’est vite devenu effrayant.
– Un résident de Malibu
Des stars légendaires touchées
Parmi les personnalités ayant dû fuir les flammes, on compte l’acteur légendaire Dick Van Dyke, 99 ans, inoubliable interprète de nombreux films comme Mary Poppins. Il a pu évacuer ses animaux de compagnie, à l’exception d’un chat porté disparu. Sur le campus de l’université Pepperdine, des étudiants portant des masques de protection se sont retranchés dans une bibliothèque, alors que des images montrent l’établissement cerné par des volutes de fumée menaçantes.
La Californie en alerte rouge
Une grande partie du sud de l’État fait actuellement l’objet d’une vigilance maximale, placée en alerte rouge par le service météorologique américain (NWS). Le cocktail redoutable constitué par des rafales de vent, un taux d’humidité au plus bas et une sécheresse persistante propulse les risques d’incendies.
Après deux hivers relativement pluvieux lui ayant offert un certain répit, la Californie traverse cette année une saison des feux particulièrement virulente. Les vagues de chaleur à répétition subies cet été, marques indubitables du réchauffement climatique, n’ont fait qu’aggraver la situation. En juillet et août, le « Golden State » essuyait déjà le quatrième incendie le plus vaste de son histoire.
Une catastrophe qui soulève de nombreuses questions
Au-delà des dégâts matériels colossaux et du traumatisme des évacués, cet énième drame ravive le débat sur les mesures à prendre face au dérèglement climatique et à ses conséquences dévastatrices. Jusqu’où iront les dégâts avant une prise de conscience à la hauteur de l’enjeu ? Combien d’hectares, de résidences et de vies devront encore partir en fumée ? Autant de questions brûlantes, dans tous les sens du terme, que cet incendie terrifiant impose à nouveau sur le devant de la scène.
Il ne reste plus qu’à espérer que les efforts des secours permettront de circonscrire au plus vite ce sinistre, et que Malibu, comme le reste de la Californie, saura se relever de ses cendres. Mais au vu de l’ampleur du désastre et des signes avant-coureurs du climat, il y a fort à parier que cette tragédie ne restera pas un cas isolé. Un constat alarmant, qui appelle à une mobilisation et des actions fortes pour tenter d’enrayer cette spirale infernale.
18 000 personnes menacées
D’après le shérif du comté de Los Angeles, Robert Luna, ce sont pas moins de 18 000 personnes et plus de 8 000 propriétés qui se trouvent dans la zone impactée par ce que l’on nomme désormais « l’incendie Franklin ». Face à l’urgence, ses équipes ont procédé à un porte-à-porte pour faire évacuer les résidents. Environ 2 000 bâtisses ont reçu un ordre d’évacuation obligatoire, quand 6 000 autres ont été fortement incitées à quitter les lieux.
Vers 23h, nous étions complètement cernés par le feu. Le ciel était rouge vif. En 45 minutes, les flammes atteignaient le bas de la colline et une heure plus tard, nous étions encerclés: d’un côté les maisons brûlaient, de l’autre la crête était en feu. Tout autour de nous, la montagne s’embrasait. C’est vite devenu effrayant.
– Un résident de Malibu
Des stars légendaires touchées
Parmi les personnalités ayant dû fuir les flammes, on compte l’acteur légendaire Dick Van Dyke, 99 ans, inoubliable interprète de nombreux films comme Mary Poppins. Il a pu évacuer ses animaux de compagnie, à l’exception d’un chat porté disparu. Sur le campus de l’université Pepperdine, des étudiants portant des masques de protection se sont retranchés dans une bibliothèque, alors que des images montrent l’établissement cerné par des volutes de fumée menaçantes.
La Californie en alerte rouge
Une grande partie du sud de l’État fait actuellement l’objet d’une vigilance maximale, placée en alerte rouge par le service météorologique américain (NWS). Le cocktail redoutable constitué par des rafales de vent, un taux d’humidité au plus bas et une sécheresse persistante propulse les risques d’incendies.
Après deux hivers relativement pluvieux lui ayant offert un certain répit, la Californie traverse cette année une saison des feux particulièrement virulente. Les vagues de chaleur à répétition subies cet été, marques indubitables du réchauffement climatique, n’ont fait qu’aggraver la situation. En juillet et août, le « Golden State » essuyait déjà le quatrième incendie le plus vaste de son histoire.
Une catastrophe qui soulève de nombreuses questions
Au-delà des dégâts matériels colossaux et du traumatisme des évacués, cet énième drame ravive le débat sur les mesures à prendre face au dérèglement climatique et à ses conséquences dévastatrices. Jusqu’où iront les dégâts avant une prise de conscience à la hauteur de l’enjeu ? Combien d’hectares, de résidences et de vies devront encore partir en fumée ? Autant de questions brûlantes, dans tous les sens du terme, que cet incendie terrifiant impose à nouveau sur le devant de la scène.
Il ne reste plus qu’à espérer que les efforts des secours permettront de circonscrire au plus vite ce sinistre, et que Malibu, comme le reste de la Californie, saura se relever de ses cendres. Mais au vu de l’ampleur du désastre et des signes avant-coureurs du climat, il y a fort à parier que cette tragédie ne restera pas un cas isolé. Un constat alarmant, qui appelle à une mobilisation et des actions fortes pour tenter d’enrayer cette spirale infernale.
Malgré la mobilisation d’importants moyens, avec plus de 700 pompiers sur le pied de guerre et une flotte d’avions bombardiers d’eau, l’incendie continue sa progression dévastatrice. Toutes les écoles de Malibu ont dû fermer leurs portes jusqu’à nouvel ordre. Les autorités appellent habitants et visiteurs à rester à l’écart de cette zone à haut risque.
18 000 personnes menacées
D’après le shérif du comté de Los Angeles, Robert Luna, ce sont pas moins de 18 000 personnes et plus de 8 000 propriétés qui se trouvent dans la zone impactée par ce que l’on nomme désormais « l’incendie Franklin ». Face à l’urgence, ses équipes ont procédé à un porte-à-porte pour faire évacuer les résidents. Environ 2 000 bâtisses ont reçu un ordre d’évacuation obligatoire, quand 6 000 autres ont été fortement incitées à quitter les lieux.
Vers 23h, nous étions complètement cernés par le feu. Le ciel était rouge vif. En 45 minutes, les flammes atteignaient le bas de la colline et une heure plus tard, nous étions encerclés: d’un côté les maisons brûlaient, de l’autre la crête était en feu. Tout autour de nous, la montagne s’embrasait. C’est vite devenu effrayant.
– Un résident de Malibu
Des stars légendaires touchées
Parmi les personnalités ayant dû fuir les flammes, on compte l’acteur légendaire Dick Van Dyke, 99 ans, inoubliable interprète de nombreux films comme Mary Poppins. Il a pu évacuer ses animaux de compagnie, à l’exception d’un chat porté disparu. Sur le campus de l’université Pepperdine, des étudiants portant des masques de protection se sont retranchés dans une bibliothèque, alors que des images montrent l’établissement cerné par des volutes de fumée menaçantes.
La Californie en alerte rouge
Une grande partie du sud de l’État fait actuellement l’objet d’une vigilance maximale, placée en alerte rouge par le service météorologique américain (NWS). Le cocktail redoutable constitué par des rafales de vent, un taux d’humidité au plus bas et une sécheresse persistante propulse les risques d’incendies.
Après deux hivers relativement pluvieux lui ayant offert un certain répit, la Californie traverse cette année une saison des feux particulièrement virulente. Les vagues de chaleur à répétition subies cet été, marques indubitables du réchauffement climatique, n’ont fait qu’aggraver la situation. En juillet et août, le « Golden State » essuyait déjà le quatrième incendie le plus vaste de son histoire.
Une catastrophe qui soulève de nombreuses questions
Au-delà des dégâts matériels colossaux et du traumatisme des évacués, cet énième drame ravive le débat sur les mesures à prendre face au dérèglement climatique et à ses conséquences dévastatrices. Jusqu’où iront les dégâts avant une prise de conscience à la hauteur de l’enjeu ? Combien d’hectares, de résidences et de vies devront encore partir en fumée ? Autant de questions brûlantes, dans tous les sens du terme, que cet incendie terrifiant impose à nouveau sur le devant de la scène.
Il ne reste plus qu’à espérer que les efforts des secours permettront de circonscrire au plus vite ce sinistre, et que Malibu, comme le reste de la Californie, saura se relever de ses cendres. Mais au vu de l’ampleur du désastre et des signes avant-coureurs du climat, il y a fort à parier que cette tragédie ne restera pas un cas isolé. Un constat alarmant, qui appelle à une mobilisation et des actions fortes pour tenter d’enrayer cette spirale infernale.
Malgré la mobilisation d’importants moyens, avec plus de 700 pompiers sur le pied de guerre et une flotte d’avions bombardiers d’eau, l’incendie continue sa progression dévastatrice. Toutes les écoles de Malibu ont dû fermer leurs portes jusqu’à nouvel ordre. Les autorités appellent habitants et visiteurs à rester à l’écart de cette zone à haut risque.
18 000 personnes menacées
D’après le shérif du comté de Los Angeles, Robert Luna, ce sont pas moins de 18 000 personnes et plus de 8 000 propriétés qui se trouvent dans la zone impactée par ce que l’on nomme désormais « l’incendie Franklin ». Face à l’urgence, ses équipes ont procédé à un porte-à-porte pour faire évacuer les résidents. Environ 2 000 bâtisses ont reçu un ordre d’évacuation obligatoire, quand 6 000 autres ont été fortement incitées à quitter les lieux.
Vers 23h, nous étions complètement cernés par le feu. Le ciel était rouge vif. En 45 minutes, les flammes atteignaient le bas de la colline et une heure plus tard, nous étions encerclés: d’un côté les maisons brûlaient, de l’autre la crête était en feu. Tout autour de nous, la montagne s’embrasait. C’est vite devenu effrayant.
– Un résident de Malibu
Des stars légendaires touchées
Parmi les personnalités ayant dû fuir les flammes, on compte l’acteur légendaire Dick Van Dyke, 99 ans, inoubliable interprète de nombreux films comme Mary Poppins. Il a pu évacuer ses animaux de compagnie, à l’exception d’un chat porté disparu. Sur le campus de l’université Pepperdine, des étudiants portant des masques de protection se sont retranchés dans une bibliothèque, alors que des images montrent l’établissement cerné par des volutes de fumée menaçantes.
La Californie en alerte rouge
Une grande partie du sud de l’État fait actuellement l’objet d’une vigilance maximale, placée en alerte rouge par le service météorologique américain (NWS). Le cocktail redoutable constitué par des rafales de vent, un taux d’humidité au plus bas et une sécheresse persistante propulse les risques d’incendies.
Après deux hivers relativement pluvieux lui ayant offert un certain répit, la Californie traverse cette année une saison des feux particulièrement virulente. Les vagues de chaleur à répétition subies cet été, marques indubitables du réchauffement climatique, n’ont fait qu’aggraver la situation. En juillet et août, le « Golden State » essuyait déjà le quatrième incendie le plus vaste de son histoire.
Une catastrophe qui soulève de nombreuses questions
Au-delà des dégâts matériels colossaux et du traumatisme des évacués, cet énième drame ravive le débat sur les mesures à prendre face au dérèglement climatique et à ses conséquences dévastatrices. Jusqu’où iront les dégâts avant une prise de conscience à la hauteur de l’enjeu ? Combien d’hectares, de résidences et de vies devront encore partir en fumée ? Autant de questions brûlantes, dans tous les sens du terme, que cet incendie terrifiant impose à nouveau sur le devant de la scène.
Il ne reste plus qu’à espérer que les efforts des secours permettront de circonscrire au plus vite ce sinistre, et que Malibu, comme le reste de la Californie, saura se relever de ses cendres. Mais au vu de l’ampleur du désastre et des signes avant-coureurs du climat, il y a fort à parier que cette tragédie ne restera pas un cas isolé. Un constat alarmant, qui appelle à une mobilisation et des actions fortes pour tenter d’enrayer cette spirale infernale.
