Dans un nouveau rebondissement du conflit israélo-libanais, le mouvement libanais Hezbollah a annoncé avoir tiré ce mardi matin plusieurs salves de roquettes en direction de cibles stratégiques situées en territoire israélien. Parmi les sites visés figurent notamment une base navale près de la ville portuaire de Haïfa, dans le nord d’Israël, ainsi qu’une base du renseignement militaire localisée non loin de la métropole de Tel-Aviv.
Ces frappes font suite à une nuit particulièrement tendue au Liban. La banlieue sud de la capitale Beyrouth a en effet de nouveau été la cible de bombardements israéliens d’une rare intensité. Selon un bilan communiqué par le ministère libanais de la Santé, ces raids aériens auraient fait au moins 4 morts, dont un enfant, dans une frappe ayant touché les abords d’un hôpital public.
Le Hezbollah Revendique Des Tirs De Roquettes “En Représailles”
Dans un communiqué, le Hezbollah, mouvement chiite pro-iranien considéré comme une organisation terroriste par Israël et plusieurs pays occidentaux, a revendiqué avoir tiré “une salve de roquettes” contre “la base Glilot de l’Unité 8200 du Renseignement militaire”. Il s’agit de la deuxième attaque en quelques heures visant cette même position, le Hezbollah ayant déjà mené des frappes similaires lundi soir.
Cette escalade militaire a un coût humain très élevé. Depuis l’intensification des bombardements israéliens le 23 septembre dernier, au moins 1489 personnes ont perdu la vie au Liban selon un bilan établi par l’AFP à partir de données officielles. Lundi soir, le ministère libanais de la Santé a également rapporté la mort de 6 personnes, dont un enfant, dans des frappes sur la ville de Baalbeck, dans l’est du pays. 4 secouristes, membres du Hezbollah ou de son allié du mouvement Amal, ont aussi été tués en 24 heures dans le sud lors de raids israéliens.
Cette nouvelle flambée de violence fait craindre une aggravation de la situation sécuritaire déjà très précaire dans la région. Si pour l’heure, aussi bien Israël que le Hezbollah semblent vouloir contenir les tensions, les incidents récents démontrent la grande fragilité du statu quo et le potentiel d’embrasement rapide de ce conflit vieux de plusieurs décennies. La communauté internationale appelle les différentes parties à la plus grande retenue afin d’éviter tout dérapage incontrôlé aux conséquences potentiellement dévastatrices.
Cette escalade militaire a un coût humain très élevé. Depuis l’intensification des bombardements israéliens le 23 septembre dernier, au moins 1489 personnes ont perdu la vie au Liban selon un bilan établi par l’AFP à partir de données officielles. Lundi soir, le ministère libanais de la Santé a également rapporté la mort de 6 personnes, dont un enfant, dans des frappes sur la ville de Baalbeck, dans l’est du pays. 4 secouristes, membres du Hezbollah ou de son allié du mouvement Amal, ont aussi été tués en 24 heures dans le sud lors de raids israéliens.
Cette nouvelle flambée de violence fait craindre une aggravation de la situation sécuritaire déjà très précaire dans la région. Si pour l’heure, aussi bien Israël que le Hezbollah semblent vouloir contenir les tensions, les incidents récents démontrent la grande fragilité du statu quo et le potentiel d’embrasement rapide de ce conflit vieux de plusieurs décennies. La communauté internationale appelle les différentes parties à la plus grande retenue afin d’éviter tout dérapage incontrôlé aux conséquences potentiellement dévastatrices.
Outre la base de renseignement près de Tel-Aviv, le groupe a aussi affirmé avoir lancé des roquettes sur une position “dans la banlieue de Tel-Aviv”, plus précisément dans le secteur de Nirit, à une vingtaine de kilomètres à l’est de la ville. Dans le nord du pays, c’est la “base navale de Stella Maris au nord-ouest de Haïfa” qui aurait été prise pour cible par “une salve de roquettes” du Hezbollah.
L’armée Israélienne Affirme Avoir Intercepté La Majorité Des Projectiles
De son côté, l’armée israélienne a indiqué dans un communiqué avoir intercepté une “majorité” des 5 projectiles tirés depuis le territoire libanais en direction du centre d’Israël, où les sirènes d’alerte ont retenti. Les systèmes de défense anti-aérienne israéliens ont également été activés dans le nord du pays, où 15 autres projectiles en provenance du Liban ont été détectés. Si certains d’entre eux ont pu être interceptés, d’autres sont tombés dans des zones non habitées.
Au cours des dernières 24 heures, l’armée israélienne affirme avoir frappé près de 300 cibles du Hezbollah au Liban, étendant son offensive contre le mouvement chiite en s’attaquant notamment à ses sources de financement.
Bilan Humain Très Lourd Après L’Intensification Des Frappes
Cette escalade militaire a un coût humain très élevé. Depuis l’intensification des bombardements israéliens le 23 septembre dernier, au moins 1489 personnes ont perdu la vie au Liban selon un bilan établi par l’AFP à partir de données officielles. Lundi soir, le ministère libanais de la Santé a également rapporté la mort de 6 personnes, dont un enfant, dans des frappes sur la ville de Baalbeck, dans l’est du pays. 4 secouristes, membres du Hezbollah ou de son allié du mouvement Amal, ont aussi été tués en 24 heures dans le sud lors de raids israéliens.
Cette nouvelle flambée de violence fait craindre une aggravation de la situation sécuritaire déjà très précaire dans la région. Si pour l’heure, aussi bien Israël que le Hezbollah semblent vouloir contenir les tensions, les incidents récents démontrent la grande fragilité du statu quo et le potentiel d’embrasement rapide de ce conflit vieux de plusieurs décennies. La communauté internationale appelle les différentes parties à la plus grande retenue afin d’éviter tout dérapage incontrôlé aux conséquences potentiellement dévastatrices.
Outre la base de renseignement près de Tel-Aviv, le groupe a aussi affirmé avoir lancé des roquettes sur une position “dans la banlieue de Tel-Aviv”, plus précisément dans le secteur de Nirit, à une vingtaine de kilomètres à l’est de la ville. Dans le nord du pays, c’est la “base navale de Stella Maris au nord-ouest de Haïfa” qui aurait été prise pour cible par “une salve de roquettes” du Hezbollah.
L’armée Israélienne Affirme Avoir Intercepté La Majorité Des Projectiles
De son côté, l’armée israélienne a indiqué dans un communiqué avoir intercepté une “majorité” des 5 projectiles tirés depuis le territoire libanais en direction du centre d’Israël, où les sirènes d’alerte ont retenti. Les systèmes de défense anti-aérienne israéliens ont également été activés dans le nord du pays, où 15 autres projectiles en provenance du Liban ont été détectés. Si certains d’entre eux ont pu être interceptés, d’autres sont tombés dans des zones non habitées.
Au cours des dernières 24 heures, l’armée israélienne affirme avoir frappé près de 300 cibles du Hezbollah au Liban, étendant son offensive contre le mouvement chiite en s’attaquant notamment à ses sources de financement.
Bilan Humain Très Lourd Après L’Intensification Des Frappes
Cette escalade militaire a un coût humain très élevé. Depuis l’intensification des bombardements israéliens le 23 septembre dernier, au moins 1489 personnes ont perdu la vie au Liban selon un bilan établi par l’AFP à partir de données officielles. Lundi soir, le ministère libanais de la Santé a également rapporté la mort de 6 personnes, dont un enfant, dans des frappes sur la ville de Baalbeck, dans l’est du pays. 4 secouristes, membres du Hezbollah ou de son allié du mouvement Amal, ont aussi été tués en 24 heures dans le sud lors de raids israéliens.
Cette nouvelle flambée de violence fait craindre une aggravation de la situation sécuritaire déjà très précaire dans la région. Si pour l’heure, aussi bien Israël que le Hezbollah semblent vouloir contenir les tensions, les incidents récents démontrent la grande fragilité du statu quo et le potentiel d’embrasement rapide de ce conflit vieux de plusieurs décennies. La communauté internationale appelle les différentes parties à la plus grande retenue afin d’éviter tout dérapage incontrôlé aux conséquences potentiellement dévastatrices.
