Alors que les élections municipales de 2026 approchent à grands pas, la bataille pour la mairie de Paris s’annonce déjà explosive. Selon des sources proches de l’Hôtel de Ville, un scénario digne de la série politique Baron Noir se profile à l’horizon. Au cœur des intrigues : la guerre de succession d’Anne Hidalgo, l’actuelle maire dont l’avenir politique reste incertain.
Emmanuel Grégoire se lance dans la course
Le premier coup d’éclat est venu d’Emmanuel Grégoire, ancien premier adjoint d’Anne Hidalgo. Dans une interview accordée à un grand quotidien parisien, il a officialisé sa candidature pour 2026, sans attendre l’aval de la maire sortante. Un crime de lèse-majesté aux yeux de certains proches d’Hidalgo, qui y voient un affront impardonnable.
Cette décision intervient à seize mois de l’élection. Il faut du temps pour relever un tel défi, du temps pour construire un projet, avec un rassemblement de la gauche le plus large possible.
Emmanuel Grégoire
Mais pour Grégoire, pas question d’attendre le bon vouloir d’Hidalgo. L’ambitieux quadragénaire entend bien s’imposer comme le nouveau visage de la gauche parisienne, quitte à bousculer l’ordre établi. Une stratégie risquée, qui pourrait lui valoir de solides inimitiés au sein de son propre camp.
Anne Hidalgo, l’énigme du troisième mandat
De son côté, Anne Hidalgo entretient savamment le mystère sur ses intentions. Après deux mandats à la tête de la capitale, la maire socialiste hésite entre briguer un troisième mandat ou se lancer dans de nouveaux défis, notamment sur la scène internationale. Une ambiguïté qui exaspère une partie de son entourage, qui lui demande de clarifier rapidement sa position.
Selon des indiscrétions recueillies par nos soins, Anne Hidalgo aurait déjà commencé à organiser sa succession en coulisses. Elle aurait notamment apporté son soutien à Rémi Féraud, le maire du 10e arrondissement et président du groupe Paris en Commun au Conseil de Paris. Une manière de garder la main, tout en préparant l’avenir.
Une bataille politique sans merci
Mais au-delà des personnalités, c’est tout l’échiquier politique parisien qui se prépare à une recomposition en profondeur. La droite, sonnée par sa défaite en 2020, espère bien prendre sa revanche. Des noms circulent déjà, comme celui de Rachida Dati, la maire du 7e arrondissement, ou de Gabriel Attal, le jeune secrétaire d’État chargé des Comptes publics.
À gauche aussi, la bataille s’annonce rude. Entre les écologistes, les socialistes et les Insoumis, les alliances seront plus que jamais à géométrie variable. Sans compter les éventuels candidats dissidents, tentés de jouer leur propre partition au risque de semer la zizanie.
On va sans doute vivre Baron noir en vrai !
Un élu parisien
Face à ces incertitudes, une chose est sûre : la campagne des municipales parisiennes promet d’être haletante. Avec son lot de coups bas, de retournements de veste et de trahisons en cascade. De quoi donner des sueurs froides aux scénaristes de Baron Noir, la série politique de Canal+ qui semble avoir anticipé la réalité.
D’ici là, tous les coups seront permis dans les alcôves de la mairie de Paris. Car comme le dit si bien un de nos interlocuteurs : « en politique, il n’y a pas d’amis, que des intérêts ». Une maxime qui risque de trouver tout son sens dans les mois à venir, sur fond de bataille pour l’Hôtel de Ville. Restez connectés, la suite promet d’être explosive…
Une bataille politique sans merci
Mais au-delà des personnalités, c’est tout l’échiquier politique parisien qui se prépare à une recomposition en profondeur. La droite, sonnée par sa défaite en 2020, espère bien prendre sa revanche. Des noms circulent déjà, comme celui de Rachida Dati, la maire du 7e arrondissement, ou de Gabriel Attal, le jeune secrétaire d’État chargé des Comptes publics.
À gauche aussi, la bataille s’annonce rude. Entre les écologistes, les socialistes et les Insoumis, les alliances seront plus que jamais à géométrie variable. Sans compter les éventuels candidats dissidents, tentés de jouer leur propre partition au risque de semer la zizanie.
On va sans doute vivre Baron noir en vrai !
Un élu parisien
Face à ces incertitudes, une chose est sûre : la campagne des municipales parisiennes promet d’être haletante. Avec son lot de coups bas, de retournements de veste et de trahisons en cascade. De quoi donner des sueurs froides aux scénaristes de Baron Noir, la série politique de Canal+ qui semble avoir anticipé la réalité.
D’ici là, tous les coups seront permis dans les alcôves de la mairie de Paris. Car comme le dit si bien un de nos interlocuteurs : « en politique, il n’y a pas d’amis, que des intérêts ». Une maxime qui risque de trouver tout son sens dans les mois à venir, sur fond de bataille pour l’Hôtel de Ville. Restez connectés, la suite promet d’être explosive…
