Une audience cruciale se tient lundi à la maison d’arrêt de Lannemezan dans les Hautes-Pyrénées. Georges Ibrahim Abdallah, militant libanais propalestinien emprisonné en France depuis près de 40 ans, y verra sa onzième demande de libération conditionnelle examinée. À 73 ans, celui qui est considéré comme le plus vieux prisonnier au monde lié au conflit israélo-palestinien n’a jamais semblé aussi proche d’une possible remise en liberté. Retour sur une affaire hors normes qui soulève encore de vives passions.
De la lutte armée à l’incarcération
Né en 1951 au Liban, Georges Ibrahim Abdallah cofonde au début des années 1980 les Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), un groupuscule marxiste pro-syrien et anti-israélien. Les FARL revendiquent alors plusieurs attentats meurtriers en France, dont les assassinats de deux diplomates, l’Américain Charles Ray et l’Israélien Yacov Barsimantov, à Paris en 1982.
Arrêté en octobre 1984 à Lyon, Georges Abdallah est condamné trois ans plus tard à la réclusion criminelle à perpétuité pour complicité dans ces assassinats. Il est emprisonné depuis, ce qui fait de lui l’un des détenus ayant purgé la plus longue peine en France.
Une détention politique ?
Depuis sa condamnation, Georges Abdallah n’a cessé de clamer son innocence et de se présenter comme un prisonnier politique, victime selon lui de pressions des États-Unis et d’Israël sur la France. Des accusations rejetées par la justice française qui maintient son refus de le libérer, invoquant notamment l’absence de remords exprimés par le détenu.
Ce n’est pas la justice qui bloque, c’est l’État français qui, quand il y aura assez de pression politique, sera obligé de le libérer.
Rita, militante libanaise au sein de la campagne pour la libération de Georges Abdallah
Quoi qu’il advienne, cette affaire hors normes qui dure depuis 40 ans semble encore loin de son épilogue. Elle soulève des questions complexes sur la justice, la raison d’État et le sort des prisonniers politiques, cristallisant les tensions persistantes autour du conflit israélo-palestinien. Au cœur de ces enjeux, un homme aging, Georges Ibrahim Abdallah, dont le combat judiciaire et politique se confond désormais avec sa propre survie.
L’issue de l’audience de lundi est plus qu’incertaine. Si une énième opposition à sa libération est crainte par ses soutiens, son avocat Me Jean-Louis Chalanset se veut déterminé à aller “jusqu’au bout” pour faire valoir les droits de son client septuagénaire. Georges Abdallah pour sa part, se dit prêt à être expulsé au Liban en cas de libération.
Quoi qu’il advienne, cette affaire hors normes qui dure depuis 40 ans semble encore loin de son épilogue. Elle soulève des questions complexes sur la justice, la raison d’État et le sort des prisonniers politiques, cristallisant les tensions persistantes autour du conflit israélo-palestinien. Au cœur de ces enjeux, un homme aging, Georges Ibrahim Abdallah, dont le combat judiciaire et politique se confond désormais avec sa propre survie.
L’issue de l’audience de lundi est plus qu’incertaine. Si une énième opposition à sa libération est crainte par ses soutiens, son avocat Me Jean-Louis Chalanset se veut déterminé à aller “jusqu’au bout” pour faire valoir les droits de son client septuagénaire. Georges Abdallah pour sa part, se dit prêt à être expulsé au Liban en cas de libération.
Quoi qu’il advienne, cette affaire hors normes qui dure depuis 40 ans semble encore loin de son épilogue. Elle soulève des questions complexes sur la justice, la raison d’État et le sort des prisonniers politiques, cristallisant les tensions persistantes autour du conflit israélo-palestinien. Au cœur de ces enjeux, un homme aging, Georges Ibrahim Abdallah, dont le combat judiciaire et politique se confond désormais avec sa propre survie.
Pour ses partisans, sa libération est devenue un impératif moral et humanitaire au regard de la longueur de sa détention. “La condition pour qu’une peine très longue ne constitue pas un traitement inhumain, c’est que la personne puisse nourrir l’espoir de sortir avant la fin de ses jours”, souligne ainsi Johann Bihr de l’Observatoire international des prisons. Un argument balayé jusqu’ici par les autorités françaises.
Une libération en vue ?
L’issue de l’audience de lundi est plus qu’incertaine. Si une énième opposition à sa libération est crainte par ses soutiens, son avocat Me Jean-Louis Chalanset se veut déterminé à aller “jusqu’au bout” pour faire valoir les droits de son client septuagénaire. Georges Abdallah pour sa part, se dit prêt à être expulsé au Liban en cas de libération.
Quoi qu’il advienne, cette affaire hors normes qui dure depuis 40 ans semble encore loin de son épilogue. Elle soulève des questions complexes sur la justice, la raison d’État et le sort des prisonniers politiques, cristallisant les tensions persistantes autour du conflit israélo-palestinien. Au cœur de ces enjeux, un homme aging, Georges Ibrahim Abdallah, dont le combat judiciaire et politique se confond désormais avec sa propre survie.
Pour ses partisans, sa libération est devenue un impératif moral et humanitaire au regard de la longueur de sa détention. “La condition pour qu’une peine très longue ne constitue pas un traitement inhumain, c’est que la personne puisse nourrir l’espoir de sortir avant la fin de ses jours”, souligne ainsi Johann Bihr de l’Observatoire international des prisons. Un argument balayé jusqu’ici par les autorités françaises.
Une libération en vue ?
L’issue de l’audience de lundi est plus qu’incertaine. Si une énième opposition à sa libération est crainte par ses soutiens, son avocat Me Jean-Louis Chalanset se veut déterminé à aller “jusqu’au bout” pour faire valoir les droits de son client septuagénaire. Georges Abdallah pour sa part, se dit prêt à être expulsé au Liban en cas de libération.
Quoi qu’il advienne, cette affaire hors normes qui dure depuis 40 ans semble encore loin de son épilogue. Elle soulève des questions complexes sur la justice, la raison d’État et le sort des prisonniers politiques, cristallisant les tensions persistantes autour du conflit israélo-palestinien. Au cœur de ces enjeux, un homme aging, Georges Ibrahim Abdallah, dont le combat judiciaire et politique se confond désormais avec sa propre survie.
Les soutiens d’Abdallah dénoncent l’acharnement de la France à son encontre et font valoir ses conditions de libération remplies de longue date. Libérable depuis 1999, il a effectivement vu toutes ses demandes rejetées sauf une en 2013, finalement non appliquée par le gouvernement.
Un symbole malgré lui
Au fil des années, Georges Abdallah est devenu bien malgré lui une figure de la cause palestinienne et plus largement des prisonniers politiques à travers le monde. Son cas soulève régulièrement des mobilisations importantes au Liban comme en France, où une tribune signée par 28 députés de gauche réclamait encore sa libération en mai 2023.
Pour ses partisans, sa libération est devenue un impératif moral et humanitaire au regard de la longueur de sa détention. “La condition pour qu’une peine très longue ne constitue pas un traitement inhumain, c’est que la personne puisse nourrir l’espoir de sortir avant la fin de ses jours”, souligne ainsi Johann Bihr de l’Observatoire international des prisons. Un argument balayé jusqu’ici par les autorités françaises.
Une libération en vue ?
L’issue de l’audience de lundi est plus qu’incertaine. Si une énième opposition à sa libération est crainte par ses soutiens, son avocat Me Jean-Louis Chalanset se veut déterminé à aller “jusqu’au bout” pour faire valoir les droits de son client septuagénaire. Georges Abdallah pour sa part, se dit prêt à être expulsé au Liban en cas de libération.
Quoi qu’il advienne, cette affaire hors normes qui dure depuis 40 ans semble encore loin de son épilogue. Elle soulève des questions complexes sur la justice, la raison d’État et le sort des prisonniers politiques, cristallisant les tensions persistantes autour du conflit israélo-palestinien. Au cœur de ces enjeux, un homme aging, Georges Ibrahim Abdallah, dont le combat judiciaire et politique se confond désormais avec sa propre survie.
Les soutiens d’Abdallah dénoncent l’acharnement de la France à son encontre et font valoir ses conditions de libération remplies de longue date. Libérable depuis 1999, il a effectivement vu toutes ses demandes rejetées sauf une en 2013, finalement non appliquée par le gouvernement.
Un symbole malgré lui
Au fil des années, Georges Abdallah est devenu bien malgré lui une figure de la cause palestinienne et plus largement des prisonniers politiques à travers le monde. Son cas soulève régulièrement des mobilisations importantes au Liban comme en France, où une tribune signée par 28 députés de gauche réclamait encore sa libération en mai 2023.
Pour ses partisans, sa libération est devenue un impératif moral et humanitaire au regard de la longueur de sa détention. “La condition pour qu’une peine très longue ne constitue pas un traitement inhumain, c’est que la personne puisse nourrir l’espoir de sortir avant la fin de ses jours”, souligne ainsi Johann Bihr de l’Observatoire international des prisons. Un argument balayé jusqu’ici par les autorités françaises.
Une libération en vue ?
L’issue de l’audience de lundi est plus qu’incertaine. Si une énième opposition à sa libération est crainte par ses soutiens, son avocat Me Jean-Louis Chalanset se veut déterminé à aller “jusqu’au bout” pour faire valoir les droits de son client septuagénaire. Georges Abdallah pour sa part, se dit prêt à être expulsé au Liban en cas de libération.
Quoi qu’il advienne, cette affaire hors normes qui dure depuis 40 ans semble encore loin de son épilogue. Elle soulève des questions complexes sur la justice, la raison d’État et le sort des prisonniers politiques, cristallisant les tensions persistantes autour du conflit israélo-palestinien. Au cœur de ces enjeux, un homme aging, Georges Ibrahim Abdallah, dont le combat judiciaire et politique se confond désormais avec sa propre survie.
