Un scandale d’ampleur secoue actuellement le monde de la mode. Une fraude massive impliquant des importations illégales de textiles de Chine vers la France a été mise au jour par le Parquet européen. Au cœur de cette affaire retentissante, le port du Pirée à Athènes, plaque tournante présumée de ce trafic. Des perquisitions ont été lancées pour démanteler ce qui semble être un vaste réseau criminel.
Le Parquet européen dévoile une fraude à grande échelle
C’est une annonce choc qu’a faite le Parquet européen ce vendredi. Selon un communiqué, une enquête d’envergure est en cours concernant des importations frauduleuses d’articles textiles, de vêtements et d’accessoires de mode provenant de Chine. La marchandise illégale transitait par le port du Pirée à Athènes avant d’être acheminée vers son ultime destination : le marché français.
Pour mener à bien leurs investigations, les autorités ont procédé à des perquisitions et à l’audition de témoins mercredi et jeudi derniers dans la capitale grecque. Ces opérations coup de poing auraient permis de mettre la main sur de nombreuses preuves accablantes, aussi bien sous format papier que numérique.
Un préjudice de plus de 5 millions d’euros
Selon les premiers éléments de l’enquête, cette vaste escroquerie aurait causé un préjudice colossal, estimé à plus de 5,2 millions d’euros en droits de douane et en TVA impayés. Un manque à gagner considérable pour les finances publiques.
Face à un dossier d’une telle complexité, la coopération internationale a été primordiale. Le Parquet européen a pu compter sur le soutien de la division grecque de lutte contre le crime organisé, de la police scientifique hellénique, mais aussi de l’Office national antifraude français (OCLCIFF) et de l’ambassade de France en Grèce.
La lutte contre la fraude, priorité du Parquet européen
Cette affaire d’envergure illustre parfaitement la mission du Parquet européen. Cette instance, mise en place récemment, a pour vocation de lutter avec détermination contre toutes les atteintes aux intérêts financiers de l’Union européenne. Fraude, corruption, blanchiment… Aucun délit portant préjudice au budget européen n’échappe à sa vigilance.
Avec cette nouvelle affaire de fraude dans le viseur, le Parquet européen montre sa volonté de s’attaquer à tous les réseaux criminels, même les plus sophistiqués. L’enquête ne fait que commencer, mais elle promet déjà son lot de révélations sur les coulisses parfois troubles du commerce international de la mode. Les autorités sont déterminées à remonter toute la chaîne de cette vaste escroquerie pour que chaque maillon soit traduit en justice. Une affaire à suivre de près, qui risque de faire trembler le milieu de la mode.
Face à un dossier d’une telle complexité, la coopération internationale a été primordiale. Le Parquet européen a pu compter sur le soutien de la division grecque de lutte contre le crime organisé, de la police scientifique hellénique, mais aussi de l’Office national antifraude français (OCLCIFF) et de l’ambassade de France en Grèce.
La lutte contre la fraude, priorité du Parquet européen
Cette affaire d’envergure illustre parfaitement la mission du Parquet européen. Cette instance, mise en place récemment, a pour vocation de lutter avec détermination contre toutes les atteintes aux intérêts financiers de l’Union européenne. Fraude, corruption, blanchiment… Aucun délit portant préjudice au budget européen n’échappe à sa vigilance.
Avec cette nouvelle affaire de fraude dans le viseur, le Parquet européen montre sa volonté de s’attaquer à tous les réseaux criminels, même les plus sophistiqués. L’enquête ne fait que commencer, mais elle promet déjà son lot de révélations sur les coulisses parfois troubles du commerce international de la mode. Les autorités sont déterminées à remonter toute la chaîne de cette vaste escroquerie pour que chaque maillon soit traduit en justice. Une affaire à suivre de près, qui risque de faire trembler le milieu de la mode.
Le mode opératoire de ce réseau criminel bien rodé commence à être percé à jour. L’organisation frauduleuse, qui graviterait principalement autour de la région parisienne et du département de Seine-Saint-Denis, aurait importé ces marchandises de contrebande entre 2020 et 2023. Pour ce faire, elle se serait appuyée sur au moins six sociétés françaises servant d’intermédiaires et destinées à disparaître sans s’acquitter de leurs obligations fiscales.
Une sous-évaluation des marchandises pour échapper aux taxes
Autre stratagème pour gruger l’administration : une sous-évaluation volontaire et massive de la valeur des articles importés. Le but : réduire considérablement les droits de douane dus aux autorités françaises. Un classique des réseaux de contrebande pour maximiser leurs profits illicites.
Les investigations ont aussi révélé l’existence probable d’une plateforme logistique et de stockage clandestine basée en France. Totalement informelle et éphémère, elle réceptionnait discrètement la marchandise acheminée depuis la Grèce, avant de la distribuer à des clients dans toute l’Union Européenne, mais principalement dans l’hexagone.
La Grèce, hub du trafic entre la Chine et l’Europe
Dans ce vaste jeu de piste criminel entre la Chine et la France, la Grèce semble avoir joué un rôle central de hub. Selon les enquêteurs, un prestataire de services logistiques et un transitaire en douane installés au port du Pirée auraient activement participé à l’expédition des marchandises frauduleuses vers le territoire français.
Face à un dossier d’une telle complexité, la coopération internationale a été primordiale. Le Parquet européen a pu compter sur le soutien de la division grecque de lutte contre le crime organisé, de la police scientifique hellénique, mais aussi de l’Office national antifraude français (OCLCIFF) et de l’ambassade de France en Grèce.
La lutte contre la fraude, priorité du Parquet européen
Cette affaire d’envergure illustre parfaitement la mission du Parquet européen. Cette instance, mise en place récemment, a pour vocation de lutter avec détermination contre toutes les atteintes aux intérêts financiers de l’Union européenne. Fraude, corruption, blanchiment… Aucun délit portant préjudice au budget européen n’échappe à sa vigilance.
Avec cette nouvelle affaire de fraude dans le viseur, le Parquet européen montre sa volonté de s’attaquer à tous les réseaux criminels, même les plus sophistiqués. L’enquête ne fait que commencer, mais elle promet déjà son lot de révélations sur les coulisses parfois troubles du commerce international de la mode. Les autorités sont déterminées à remonter toute la chaîne de cette vaste escroquerie pour que chaque maillon soit traduit en justice. Une affaire à suivre de près, qui risque de faire trembler le milieu de la mode.
Le mode opératoire de ce réseau criminel bien rodé commence à être percé à jour. L’organisation frauduleuse, qui graviterait principalement autour de la région parisienne et du département de Seine-Saint-Denis, aurait importé ces marchandises de contrebande entre 2020 et 2023. Pour ce faire, elle se serait appuyée sur au moins six sociétés françaises servant d’intermédiaires et destinées à disparaître sans s’acquitter de leurs obligations fiscales.
Une sous-évaluation des marchandises pour échapper aux taxes
Autre stratagème pour gruger l’administration : une sous-évaluation volontaire et massive de la valeur des articles importés. Le but : réduire considérablement les droits de douane dus aux autorités françaises. Un classique des réseaux de contrebande pour maximiser leurs profits illicites.
Les investigations ont aussi révélé l’existence probable d’une plateforme logistique et de stockage clandestine basée en France. Totalement informelle et éphémère, elle réceptionnait discrètement la marchandise acheminée depuis la Grèce, avant de la distribuer à des clients dans toute l’Union Européenne, mais principalement dans l’hexagone.
La Grèce, hub du trafic entre la Chine et l’Europe
Dans ce vaste jeu de piste criminel entre la Chine et la France, la Grèce semble avoir joué un rôle central de hub. Selon les enquêteurs, un prestataire de services logistiques et un transitaire en douane installés au port du Pirée auraient activement participé à l’expédition des marchandises frauduleuses vers le territoire français.
Face à un dossier d’une telle complexité, la coopération internationale a été primordiale. Le Parquet européen a pu compter sur le soutien de la division grecque de lutte contre le crime organisé, de la police scientifique hellénique, mais aussi de l’Office national antifraude français (OCLCIFF) et de l’ambassade de France en Grèce.
La lutte contre la fraude, priorité du Parquet européen
Cette affaire d’envergure illustre parfaitement la mission du Parquet européen. Cette instance, mise en place récemment, a pour vocation de lutter avec détermination contre toutes les atteintes aux intérêts financiers de l’Union européenne. Fraude, corruption, blanchiment… Aucun délit portant préjudice au budget européen n’échappe à sa vigilance.
Avec cette nouvelle affaire de fraude dans le viseur, le Parquet européen montre sa volonté de s’attaquer à tous les réseaux criminels, même les plus sophistiqués. L’enquête ne fait que commencer, mais elle promet déjà son lot de révélations sur les coulisses parfois troubles du commerce international de la mode. Les autorités sont déterminées à remonter toute la chaîne de cette vaste escroquerie pour que chaque maillon soit traduit en justice. Une affaire à suivre de près, qui risque de faire trembler le milieu de la mode.