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Fraude à L’Assurance : Un Déguisement D’Ours Qui Ravage Coûteux

En Californie, l'escroquerie prend un tournant inattendu. Des fraudeurs déguisés en ours ravagent leurs propres voitures de luxe pour arnaquer les assurances. Un stratagème à 140 000$ qui n'a pas échappé aux enquêteurs...

En Californie, l’imagination des fraudeurs ne connaît décidément aucune limite. Mercredi dernier, les autorités ont mis fin à une escroquerie aussi originale qu’audacieuse, impliquant un déguisement d’ours et des voitures de luxe savamment endommagées. Une arnaque à l’assurance qui aurait pu rapporter gros à ses auteurs si la vigilance des compagnies et le flair des enquêteurs n’y avaient pas mis un terme.

L’Ours, Ce Grand Ennemi Des Rolls Royce

Tout commence lorsqu’une compagnie d’assurance reçoit une demande d’indemnisation pour le moins inhabituelle. Selon les assurés, leur Rolls Royce Ghost, bijou automobile valant plusieurs centaines de milliers de dollars, aurait été sauvagement attaquée par un ours à Lake Arrowhead, une zone montagneuse proche de Los Angeles réputée pour son cadre naturel.

À l’appui de leur réclamation, les propriétaires fournissent même une vidéo de surveillance montrant l’animal en pleine action, déchirant avec rage les luxueux sièges en cuir et s’acharnant sur les portières. Un spectacle digne des plus grands films catastrophe animaliers, sauf qu’ici, le rôle titre n’est pas tenu par un véritable plantigrade, mais par un humain dissimulé dans un costume d’ours. Une supercherie qui n’a pas échappé à l’œil aiguisé des enquêteurs.

Des Grizzlis Pas Si Sauvages

Si le scénario peut prêter à sourire, il faut reconnaître aux fraudeurs un certain sens de la mise en scène. Car après tout, la présence de grizzlis en Californie n’est pas si incongrue. Il arrive parfois que ces imposants mammifères s’aventurent hors de leur habitat naturel, semant la panique et causant d’importants dégâts matériels au passage.

Mais les enquêteurs, méfiants, ont tenu à en avoir le cœur net. Les images fournies ont été soumises à l’expertise d’un biologiste du Département de la faune et de la flore. Son verdict est sans appel : il s’agit « clairement d’un humain dans un costume d’ours ». Exit donc l’hypothèse du grizzli vengeur. Place à celle, beaucoup moins poétique, de l’escroquerie.

Un Butain Conséquent

Et justement, en creusant davantage, les limiers découvrent que le stratagème de l’ours vandal a déjà été utilisé à deux autres reprises pour réclamer des indemnités après de prétendues attaques sur des Mercedes de prestige. À chaque fois, les dommages étaient conséquents et dûment filmés, preuve à l’appui. Au total, les demandes d’indemnisation pour ces trois sinistres bidon s’élevaient à plus de 140.000 dollars.

Une somme rondelette qui a définitivement convaincu les autorités d’intervenir. Après une perquisition au domicile des suspects, qui a permis de mettre la main sur le fameux costume d’ours, quatre personnes ont été interpellées et inculpées pour fraude à l’assurance. Il s’agit de Ruben Tamrazian, 26 ans, Ararat Chirkinian, 39 ans, Vahe Muradkhanyan, 32 ans, et Alfiya Zuckerman, 39 ans.

La Creativité Des Fraudeurs En Question

Si leur culpabilité est avérée, ils risquent de lourdes sanctions. Car au-delà du préjudice financier, c’est la confiance même dans le système assurantiel qui est ébranlée par ce type de fraude. Les compagnies, échaudées, pourraient être tentées de se montrer plus suspicieuses et moins promptes à indemniser les victimes, même lorsque les dommages sont bien réels.

Reste que cette affaire, par son originalité, ne manquera pas de marquer les esprits. Elle démontre, s’il en était besoin, que l’imagination des fraudeurs est sans limite. Des faux accidents de la route aux cambriolages mis en scène, en passant désormais par les attaques d’ours factices, leur créativité semble inépuisable lorsqu’il s’agit d’arnaquer les assurances.

Mais comme le prouve ce fait divers californien, même les stratagèmes les plus élaborés finissent par se retourner contre leurs auteurs. Car si les ours sont réputés pour leur ruse, ils ne font décidément pas le poids face à la perspicacité des enquêteurs. Une leçon que ces quatre fraudeurs amateurs auraient sans doute dû méditer avant de se lancer dans leur rocambolesque escroquerie.

Et justement, en creusant davantage, les limiers découvrent que le stratagème de l’ours vandal a déjà été utilisé à deux autres reprises pour réclamer des indemnités après de prétendues attaques sur des Mercedes de prestige. À chaque fois, les dommages étaient conséquents et dûment filmés, preuve à l’appui. Au total, les demandes d’indemnisation pour ces trois sinistres bidon s’élevaient à plus de 140.000 dollars.

Une somme rondelette qui a définitivement convaincu les autorités d’intervenir. Après une perquisition au domicile des suspects, qui a permis de mettre la main sur le fameux costume d’ours, quatre personnes ont été interpellées et inculpées pour fraude à l’assurance. Il s’agit de Ruben Tamrazian, 26 ans, Ararat Chirkinian, 39 ans, Vahe Muradkhanyan, 32 ans, et Alfiya Zuckerman, 39 ans.

La Creativité Des Fraudeurs En Question

Si leur culpabilité est avérée, ils risquent de lourdes sanctions. Car au-delà du préjudice financier, c’est la confiance même dans le système assurantiel qui est ébranlée par ce type de fraude. Les compagnies, échaudées, pourraient être tentées de se montrer plus suspicieuses et moins promptes à indemniser les victimes, même lorsque les dommages sont bien réels.

Reste que cette affaire, par son originalité, ne manquera pas de marquer les esprits. Elle démontre, s’il en était besoin, que l’imagination des fraudeurs est sans limite. Des faux accidents de la route aux cambriolages mis en scène, en passant désormais par les attaques d’ours factices, leur créativité semble inépuisable lorsqu’il s’agit d’arnaquer les assurances.

Mais comme le prouve ce fait divers californien, même les stratagèmes les plus élaborés finissent par se retourner contre leurs auteurs. Car si les ours sont réputés pour leur ruse, ils ne font décidément pas le poids face à la perspicacité des enquêteurs. Une leçon que ces quatre fraudeurs amateurs auraient sans doute dû méditer avant de se lancer dans leur rocambolesque escroquerie.

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