Le conflit en Ukraine ne cesse d’engendrer son lot de drames et de souffrances. Lundi matin, une frappe de missile russe sur la ville de Kryvyï Rig, dans le centre-est du pays, a causé la mort d’une mère et de ses trois enfants, tués dans leur appartement. Cette tragédie a suscité une vive émotion en Ukraine, rappelant les lourdes pertes civiles subies depuis le début de l’invasion russe en février 2022.
Une famille décimée par un missile russe
Selon les autorités ukrainiennes, le missile russe a détruit une partie d’un immeuble résidentiel de Kryvyï Rig lundi matin. Les secouristes ont d’abord retrouvé le corps de la mère enseveli sous les décombres, avant de découvrir ceux de ses trois enfants lors de la poursuite des opérations de sauvetage. Il s’agit de deux garçons âgés de 2 et 10 ans, ainsi que d’une fillette de seulement 2 mois.
D’après la grand-mère des enfants, qui s’est confiée à un média local, le père a survécu car il se trouvait dans une autre pièce au moment de la frappe. Une quarantaine d’immeubles résidentiels de cette ville industrielle ont été endommagés lors de l’attaque, a précisé le ministre ukrainien de l’Intérieur Igor Klymenko.
Kryvyï Rig, ville natale de Zelensky endeuillée
Kryvyï Rig n’est pas une ville ukrainienne comme les autres. Il s’agit en effet de la ville natale du président Volodymyr Zelensky, qui y a grandi et fait ses études avant de se lancer en politique. Cette attaque meurtrière revêt donc une dimension symbolique, en plus de la tragédie humaine qu’elle représente.
Le commissaire ukrainien aux droits humains Dmytro Loubinets a exprimé son émotion face à ce drame sur Telegram :
L’attaque d’hier à Kryvyï Rig a emporté une mère et ses trois enfants (…) Seul le père a survécu. C’est un chagrin indescriptible ! Condoléances aux proches.
Les civils, principales victimes du conflit
Malheureusement, cette tragédie familiale n’est pas un cas isolé. Depuis le début de l’invasion russe en février 2022, les forces de Moscou pilonnent régulièrement des zones résidentielles à travers toute l’Ukraine, faisant de nombreuses victimes parmi les civils.
Selon des sources proches du dossier, le bilan humain de ce conflit, le pire en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale, se chiffrerait déjà en dizaines de milliers de morts, tant parmi les combattants que dans la population civile ukrainienne. Des pertes considérables qui viennent s’ajouter aux immenses destructions matérielles causées par les combats.
La communauté internationale condamne les frappes russes sur les civils
Face à la multiplication des frappes russes faisant des victimes civiles, de nombreux dirigeants et organisations internationales ont vivement condamné la stratégie de Moscou, l’accusant de violer le droit international humanitaire et de commettre des crimes de guerre.
Malgré ces critiques, le Kremlin continue de nier systématiquement viser délibérément des cibles civiles, affirmant concentrer ses frappes sur des objectifs militaires. Une ligne de défense qui peine à convaincre au vu des nombreux immeubles résidentiels, hôpitaux et écoles touchés par les bombardements russes depuis le début du conflit.
Un conflit qui s’enlise, des civils qui souffrent
Alors que la guerre en Ukraine entre dans son deuxième été, aucune issue ne semble se profiler à court terme. Les tentatives de négociations ont jusqu’à présent toutes échoué, et les combats se poursuivent avec intensité dans l’est et le sud du pays.
Pendant ce temps, les civils ukrainiens continuent de payer un lourd tribut à ce conflit. Outre les pertes humaines directement causées par les frappes russes, des millions de personnes ont dû fuir leur foyer pour échapper aux combats, se réfugiant dans d’autres régions d’Ukraine ou à l’étranger.
Ceux qui sont restés doivent composer avec les destructions, les pénuries et la peur permanente des bombardements. Une situation humanitaire critique, aggravée par les dommages infligés aux infrastructures civiles essentielles comme les réseaux d’électricité, d’eau et de chauffage.
Un avenir incertain pour l’Ukraine et sa population
Malgré la résilience et le courage dont fait preuve le peuple ukrainien depuis le début de l’invasion, l’avenir du pays reste incertain. Les conséquences humaines, économiques et sociales de cette guerre seront profondes et durables.
La reconstruction des villes et des infrastructures détruites prendra des années, tout comme la guérison des traumatismes physiques et psychologiques subis par la population. Un défi immense qui nécessitera un soutien massif et à long terme de la communauté internationale.
En attendant, les tragédies comme celle qui a frappé cette famille de Kryvyï Rig continueront malheureusement de se produire, rappelant chaque jour le prix insupportable que les civils ukrainiens paient pour ce conflit qui n’en finit pas. Un conflit qui, espérons-le, trouvera une issue pacifique le plus rapidement possible, pour que l’Ukraine puisse enfin panser ses plaies et se reconstruire.
Selon des sources proches du dossier, le bilan humain de ce conflit, le pire en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale, se chiffrerait déjà en dizaines de milliers de morts, tant parmi les combattants que dans la population civile ukrainienne. Des pertes considérables qui viennent s’ajouter aux immenses destructions matérielles causées par les combats.
La communauté internationale condamne les frappes russes sur les civils
Face à la multiplication des frappes russes faisant des victimes civiles, de nombreux dirigeants et organisations internationales ont vivement condamné la stratégie de Moscou, l’accusant de violer le droit international humanitaire et de commettre des crimes de guerre.
Malgré ces critiques, le Kremlin continue de nier systématiquement viser délibérément des cibles civiles, affirmant concentrer ses frappes sur des objectifs militaires. Une ligne de défense qui peine à convaincre au vu des nombreux immeubles résidentiels, hôpitaux et écoles touchés par les bombardements russes depuis le début du conflit.
Un conflit qui s’enlise, des civils qui souffrent
Alors que la guerre en Ukraine entre dans son deuxième été, aucune issue ne semble se profiler à court terme. Les tentatives de négociations ont jusqu’à présent toutes échoué, et les combats se poursuivent avec intensité dans l’est et le sud du pays.
Pendant ce temps, les civils ukrainiens continuent de payer un lourd tribut à ce conflit. Outre les pertes humaines directement causées par les frappes russes, des millions de personnes ont dû fuir leur foyer pour échapper aux combats, se réfugiant dans d’autres régions d’Ukraine ou à l’étranger.
Ceux qui sont restés doivent composer avec les destructions, les pénuries et la peur permanente des bombardements. Une situation humanitaire critique, aggravée par les dommages infligés aux infrastructures civiles essentielles comme les réseaux d’électricité, d’eau et de chauffage.
Un avenir incertain pour l’Ukraine et sa population
Malgré la résilience et le courage dont fait preuve le peuple ukrainien depuis le début de l’invasion, l’avenir du pays reste incertain. Les conséquences humaines, économiques et sociales de cette guerre seront profondes et durables.
La reconstruction des villes et des infrastructures détruites prendra des années, tout comme la guérison des traumatismes physiques et psychologiques subis par la population. Un défi immense qui nécessitera un soutien massif et à long terme de la communauté internationale.
En attendant, les tragédies comme celle qui a frappé cette famille de Kryvyï Rig continueront malheureusement de se produire, rappelant chaque jour le prix insupportable que les civils ukrainiens paient pour ce conflit qui n’en finit pas. Un conflit qui, espérons-le, trouvera une issue pacifique le plus rapidement possible, pour que l’Ukraine puisse enfin panser ses plaies et se reconstruire.
Début septembre, un drame similaire avait déjà endeuillé la grande ville de Lviv, dans l’ouest de l’Ukraine, où une mère et ses trois filles adolescentes avaient été tuées chez elles par un missile russe. Là encore, seul le père avait survécu à la frappe.
Selon des sources proches du dossier, le bilan humain de ce conflit, le pire en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale, se chiffrerait déjà en dizaines de milliers de morts, tant parmi les combattants que dans la population civile ukrainienne. Des pertes considérables qui viennent s’ajouter aux immenses destructions matérielles causées par les combats.
La communauté internationale condamne les frappes russes sur les civils
Face à la multiplication des frappes russes faisant des victimes civiles, de nombreux dirigeants et organisations internationales ont vivement condamné la stratégie de Moscou, l’accusant de violer le droit international humanitaire et de commettre des crimes de guerre.
Malgré ces critiques, le Kremlin continue de nier systématiquement viser délibérément des cibles civiles, affirmant concentrer ses frappes sur des objectifs militaires. Une ligne de défense qui peine à convaincre au vu des nombreux immeubles résidentiels, hôpitaux et écoles touchés par les bombardements russes depuis le début du conflit.
Un conflit qui s’enlise, des civils qui souffrent
Alors que la guerre en Ukraine entre dans son deuxième été, aucune issue ne semble se profiler à court terme. Les tentatives de négociations ont jusqu’à présent toutes échoué, et les combats se poursuivent avec intensité dans l’est et le sud du pays.
Pendant ce temps, les civils ukrainiens continuent de payer un lourd tribut à ce conflit. Outre les pertes humaines directement causées par les frappes russes, des millions de personnes ont dû fuir leur foyer pour échapper aux combats, se réfugiant dans d’autres régions d’Ukraine ou à l’étranger.
Ceux qui sont restés doivent composer avec les destructions, les pénuries et la peur permanente des bombardements. Une situation humanitaire critique, aggravée par les dommages infligés aux infrastructures civiles essentielles comme les réseaux d’électricité, d’eau et de chauffage.
Un avenir incertain pour l’Ukraine et sa population
Malgré la résilience et le courage dont fait preuve le peuple ukrainien depuis le début de l’invasion, l’avenir du pays reste incertain. Les conséquences humaines, économiques et sociales de cette guerre seront profondes et durables.
La reconstruction des villes et des infrastructures détruites prendra des années, tout comme la guérison des traumatismes physiques et psychologiques subis par la population. Un défi immense qui nécessitera un soutien massif et à long terme de la communauté internationale.
En attendant, les tragédies comme celle qui a frappé cette famille de Kryvyï Rig continueront malheureusement de se produire, rappelant chaque jour le prix insupportable que les civils ukrainiens paient pour ce conflit qui n’en finit pas. Un conflit qui, espérons-le, trouvera une issue pacifique le plus rapidement possible, pour que l’Ukraine puisse enfin panser ses plaies et se reconstruire.
Début septembre, un drame similaire avait déjà endeuillé la grande ville de Lviv, dans l’ouest de l’Ukraine, où une mère et ses trois filles adolescentes avaient été tuées chez elles par un missile russe. Là encore, seul le père avait survécu à la frappe.
Selon des sources proches du dossier, le bilan humain de ce conflit, le pire en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale, se chiffrerait déjà en dizaines de milliers de morts, tant parmi les combattants que dans la population civile ukrainienne. Des pertes considérables qui viennent s’ajouter aux immenses destructions matérielles causées par les combats.
La communauté internationale condamne les frappes russes sur les civils
Face à la multiplication des frappes russes faisant des victimes civiles, de nombreux dirigeants et organisations internationales ont vivement condamné la stratégie de Moscou, l’accusant de violer le droit international humanitaire et de commettre des crimes de guerre.
Malgré ces critiques, le Kremlin continue de nier systématiquement viser délibérément des cibles civiles, affirmant concentrer ses frappes sur des objectifs militaires. Une ligne de défense qui peine à convaincre au vu des nombreux immeubles résidentiels, hôpitaux et écoles touchés par les bombardements russes depuis le début du conflit.
Un conflit qui s’enlise, des civils qui souffrent
Alors que la guerre en Ukraine entre dans son deuxième été, aucune issue ne semble se profiler à court terme. Les tentatives de négociations ont jusqu’à présent toutes échoué, et les combats se poursuivent avec intensité dans l’est et le sud du pays.
Pendant ce temps, les civils ukrainiens continuent de payer un lourd tribut à ce conflit. Outre les pertes humaines directement causées par les frappes russes, des millions de personnes ont dû fuir leur foyer pour échapper aux combats, se réfugiant dans d’autres régions d’Ukraine ou à l’étranger.
Ceux qui sont restés doivent composer avec les destructions, les pénuries et la peur permanente des bombardements. Une situation humanitaire critique, aggravée par les dommages infligés aux infrastructures civiles essentielles comme les réseaux d’électricité, d’eau et de chauffage.
Un avenir incertain pour l’Ukraine et sa population
Malgré la résilience et le courage dont fait preuve le peuple ukrainien depuis le début de l’invasion, l’avenir du pays reste incertain. Les conséquences humaines, économiques et sociales de cette guerre seront profondes et durables.
La reconstruction des villes et des infrastructures détruites prendra des années, tout comme la guérison des traumatismes physiques et psychologiques subis par la population. Un défi immense qui nécessitera un soutien massif et à long terme de la communauté internationale.
En attendant, les tragédies comme celle qui a frappé cette famille de Kryvyï Rig continueront malheureusement de se produire, rappelant chaque jour le prix insupportable que les civils ukrainiens paient pour ce conflit qui n’en finit pas. Un conflit qui, espérons-le, trouvera une issue pacifique le plus rapidement possible, pour que l’Ukraine puisse enfin panser ses plaies et se reconstruire.