Au cœur des tensions persistantes entre Israël et la Palestine, une décision controversée vient d’être annoncée par les autorités israéliennes. Le ministre de la Défense, Israël Katz, a en effet déclaré vendredi que le régime de détention administrative, équivalent d’une garde à vue quasi illimitée, ne serait désormais plus applicable aux colons israéliens en Cisjordanie. Une mesure qui intervient dans un contexte déjà explosif, marqué par une recrudescence des violences dans les territoires palestiniens occupés.
La fin d’un régime d’exception pour les colons
Hérité de l’époque du mandat britannique sur la Palestine, le régime de détention administrative permet aux autorités israéliennes de maintenir un suspect en détention sans inculpation pendant des périodes pouvant aller jusqu’à plusieurs mois, renouvelables indéfiniment. Selon le Club des prisonniers palestiniens, plus de 3 400 Palestiniens se trouvaient ainsi en détention administrative fin août, contre seulement huit colons israéliens.
Pour justifier sa décision, le ministre israélien a mis en avant les “graves menaces terroristes palestiniennes” pesant sur les colonies, ainsi que les “sanctions internationales injustifiées” prises contre des colons ou des entreprises impliquées dans la colonisation. Il a estimé qu’il n’était “pas approprié qu’Israël applique une mesure aussi sévère contre des colons”.
Une mesure dans un contexte de violences accrues
Cette annonce survient alors que les violences ont explosé en Cisjordanie depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza en octobre 2023. Selon l’Autorité palestinienne, quelque 770 Palestiniens y ont été tués par des soldats ou des colons israéliens. Côté israélien, 24 personnes, civils ou militaires, ont perdu la vie dans des attaques palestiniennes ou lors d’opérations de l’armée en Cisjordanie, d’après des chiffres officiels.
Alors que la situation sécuritaire ne cesse de se dégrader en Cisjordanie et que les perspectives de paix semblent plus lointaines que jamais, cette mesure controversée pourrait attiser encore davantage les braises du conflit. Seul un dialogue sincère et équitable entre les deux parties, assorti de concessions réciproques, permettrait d’espérer une désescalade durable. Mais avec un gouvernement israélien résolument pro-colonies et une Autorité palestinienne affaiblie et divisée, les chances d’une reprise à court terme du processus de paix apparaissent bien minces.
La communauté internationale, et en premier lieu les grandes puissances comme les États-Unis et l’Union européenne, ont un rôle crucial à jouer pour faire pression sur les deux camps et les ramener à la table des négociations. Sans un engagement fort et concerté pour résoudre ce conflit vieux de plusieurs décennies, Israéliens et Palestiniens risquent de s’enfoncer toujours plus dans un cycle sans fin de violences et de représailles. Avec à la clé, de nouvelles souffrances pour les populations civiles des deux côtés.
En mettant fin au régime de détention administrative pour les colons, le gouvernement israélien semble vouloir leur accorder un traitement de faveur malgré les violences dont certains se rendent coupables. Une décision qui risque d’être perçue comme une provocation supplémentaire par les Palestiniens et une partie de la communauté internationale, dans un contexte déjà hyper tendu.
Alors que la situation sécuritaire ne cesse de se dégrader en Cisjordanie et que les perspectives de paix semblent plus lointaines que jamais, cette mesure controversée pourrait attiser encore davantage les braises du conflit. Seul un dialogue sincère et équitable entre les deux parties, assorti de concessions réciproques, permettrait d’espérer une désescalade durable. Mais avec un gouvernement israélien résolument pro-colonies et une Autorité palestinienne affaiblie et divisée, les chances d’une reprise à court terme du processus de paix apparaissent bien minces.
La communauté internationale, et en premier lieu les grandes puissances comme les États-Unis et l’Union européenne, ont un rôle crucial à jouer pour faire pression sur les deux camps et les ramener à la table des négociations. Sans un engagement fort et concerté pour résoudre ce conflit vieux de plusieurs décennies, Israéliens et Palestiniens risquent de s’enfoncer toujours plus dans un cycle sans fin de violences et de représailles. Avec à la clé, de nouvelles souffrances pour les populations civiles des deux côtés.
En mettant fin au régime de détention administrative pour les colons, le gouvernement israélien semble vouloir leur accorder un traitement de faveur malgré les violences dont certains se rendent coupables. Une décision qui risque d’être perçue comme une provocation supplémentaire par les Palestiniens et une partie de la communauté internationale, dans un contexte déjà hyper tendu.
Alors que la situation sécuritaire ne cesse de se dégrader en Cisjordanie et que les perspectives de paix semblent plus lointaines que jamais, cette mesure controversée pourrait attiser encore davantage les braises du conflit. Seul un dialogue sincère et équitable entre les deux parties, assorti de concessions réciproques, permettrait d’espérer une désescalade durable. Mais avec un gouvernement israélien résolument pro-colonies et une Autorité palestinienne affaiblie et divisée, les chances d’une reprise à court terme du processus de paix apparaissent bien minces.
La communauté internationale, et en premier lieu les grandes puissances comme les États-Unis et l’Union européenne, ont un rôle crucial à jouer pour faire pression sur les deux camps et les ramener à la table des négociations. Sans un engagement fort et concerté pour résoudre ce conflit vieux de plusieurs décennies, Israéliens et Palestiniens risquent de s’enfoncer toujours plus dans un cycle sans fin de violences et de représailles. Avec à la clé, de nouvelles souffrances pour les populations civiles des deux côtés.
M. Netanyahu a aussitôt rejeté cette décision, y voyant une “faillite morale” de la Cour et une mesure motivée selon lui par la “haine antisémite à l’égard d’Israël”. Cette nouvelle crise diplomatique et judiciaire vient encore compliquer les efforts pour tenter d’apaiser les tensions et relancer le dialogue entre Israéliens et Palestiniens.
Quelles conséquences pour le conflit israélo-palestinien ?
En mettant fin au régime de détention administrative pour les colons, le gouvernement israélien semble vouloir leur accorder un traitement de faveur malgré les violences dont certains se rendent coupables. Une décision qui risque d’être perçue comme une provocation supplémentaire par les Palestiniens et une partie de la communauté internationale, dans un contexte déjà hyper tendu.
Alors que la situation sécuritaire ne cesse de se dégrader en Cisjordanie et que les perspectives de paix semblent plus lointaines que jamais, cette mesure controversée pourrait attiser encore davantage les braises du conflit. Seul un dialogue sincère et équitable entre les deux parties, assorti de concessions réciproques, permettrait d’espérer une désescalade durable. Mais avec un gouvernement israélien résolument pro-colonies et une Autorité palestinienne affaiblie et divisée, les chances d’une reprise à court terme du processus de paix apparaissent bien minces.
La communauté internationale, et en premier lieu les grandes puissances comme les États-Unis et l’Union européenne, ont un rôle crucial à jouer pour faire pression sur les deux camps et les ramener à la table des négociations. Sans un engagement fort et concerté pour résoudre ce conflit vieux de plusieurs décennies, Israéliens et Palestiniens risquent de s’enfoncer toujours plus dans un cycle sans fin de violences et de représailles. Avec à la clé, de nouvelles souffrances pour les populations civiles des deux côtés.
M. Netanyahu a aussitôt rejeté cette décision, y voyant une “faillite morale” de la Cour et une mesure motivée selon lui par la “haine antisémite à l’égard d’Israël”. Cette nouvelle crise diplomatique et judiciaire vient encore compliquer les efforts pour tenter d’apaiser les tensions et relancer le dialogue entre Israéliens et Palestiniens.
Quelles conséquences pour le conflit israélo-palestinien ?
En mettant fin au régime de détention administrative pour les colons, le gouvernement israélien semble vouloir leur accorder un traitement de faveur malgré les violences dont certains se rendent coupables. Une décision qui risque d’être perçue comme une provocation supplémentaire par les Palestiniens et une partie de la communauté internationale, dans un contexte déjà hyper tendu.
Alors que la situation sécuritaire ne cesse de se dégrader en Cisjordanie et que les perspectives de paix semblent plus lointaines que jamais, cette mesure controversée pourrait attiser encore davantage les braises du conflit. Seul un dialogue sincère et équitable entre les deux parties, assorti de concessions réciproques, permettrait d’espérer une désescalade durable. Mais avec un gouvernement israélien résolument pro-colonies et une Autorité palestinienne affaiblie et divisée, les chances d’une reprise à court terme du processus de paix apparaissent bien minces.
La communauté internationale, et en premier lieu les grandes puissances comme les États-Unis et l’Union européenne, ont un rôle crucial à jouer pour faire pression sur les deux camps et les ramener à la table des négociations. Sans un engagement fort et concerté pour résoudre ce conflit vieux de plusieurs décennies, Israéliens et Palestiniens risquent de s’enfoncer toujours plus dans un cycle sans fin de violences et de représailles. Avec à la clé, de nouvelles souffrances pour les populations civiles des deux côtés.
L’annonce de la fin de la détention administrative pour les colons est intervenue au lendemain de l’émission par la Cour pénale internationale (CPI) de mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant. Ils sont recherchés par la justice internationale pour des “crimes de guerre” et des “crimes contre l’humanité” présumés commis dans les territoires palestiniens occupés.
M. Netanyahu a aussitôt rejeté cette décision, y voyant une “faillite morale” de la Cour et une mesure motivée selon lui par la “haine antisémite à l’égard d’Israël”. Cette nouvelle crise diplomatique et judiciaire vient encore compliquer les efforts pour tenter d’apaiser les tensions et relancer le dialogue entre Israéliens et Palestiniens.
Quelles conséquences pour le conflit israélo-palestinien ?
En mettant fin au régime de détention administrative pour les colons, le gouvernement israélien semble vouloir leur accorder un traitement de faveur malgré les violences dont certains se rendent coupables. Une décision qui risque d’être perçue comme une provocation supplémentaire par les Palestiniens et une partie de la communauté internationale, dans un contexte déjà hyper tendu.
Alors que la situation sécuritaire ne cesse de se dégrader en Cisjordanie et que les perspectives de paix semblent plus lointaines que jamais, cette mesure controversée pourrait attiser encore davantage les braises du conflit. Seul un dialogue sincère et équitable entre les deux parties, assorti de concessions réciproques, permettrait d’espérer une désescalade durable. Mais avec un gouvernement israélien résolument pro-colonies et une Autorité palestinienne affaiblie et divisée, les chances d’une reprise à court terme du processus de paix apparaissent bien minces.
La communauté internationale, et en premier lieu les grandes puissances comme les États-Unis et l’Union européenne, ont un rôle crucial à jouer pour faire pression sur les deux camps et les ramener à la table des négociations. Sans un engagement fort et concerté pour résoudre ce conflit vieux de plusieurs décennies, Israéliens et Palestiniens risquent de s’enfoncer toujours plus dans un cycle sans fin de violences et de représailles. Avec à la clé, de nouvelles souffrances pour les populations civiles des deux côtés.
L’annonce de la fin de la détention administrative pour les colons est intervenue au lendemain de l’émission par la Cour pénale internationale (CPI) de mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant. Ils sont recherchés par la justice internationale pour des “crimes de guerre” et des “crimes contre l’humanité” présumés commis dans les territoires palestiniens occupés.
M. Netanyahu a aussitôt rejeté cette décision, y voyant une “faillite morale” de la Cour et une mesure motivée selon lui par la “haine antisémite à l’égard d’Israël”. Cette nouvelle crise diplomatique et judiciaire vient encore compliquer les efforts pour tenter d’apaiser les tensions et relancer le dialogue entre Israéliens et Palestiniens.
Quelles conséquences pour le conflit israélo-palestinien ?
En mettant fin au régime de détention administrative pour les colons, le gouvernement israélien semble vouloir leur accorder un traitement de faveur malgré les violences dont certains se rendent coupables. Une décision qui risque d’être perçue comme une provocation supplémentaire par les Palestiniens et une partie de la communauté internationale, dans un contexte déjà hyper tendu.
Alors que la situation sécuritaire ne cesse de se dégrader en Cisjordanie et que les perspectives de paix semblent plus lointaines que jamais, cette mesure controversée pourrait attiser encore davantage les braises du conflit. Seul un dialogue sincère et équitable entre les deux parties, assorti de concessions réciproques, permettrait d’espérer une désescalade durable. Mais avec un gouvernement israélien résolument pro-colonies et une Autorité palestinienne affaiblie et divisée, les chances d’une reprise à court terme du processus de paix apparaissent bien minces.
La communauté internationale, et en premier lieu les grandes puissances comme les États-Unis et l’Union européenne, ont un rôle crucial à jouer pour faire pression sur les deux camps et les ramener à la table des négociations. Sans un engagement fort et concerté pour résoudre ce conflit vieux de plusieurs décennies, Israéliens et Palestiniens risquent de s’enfoncer toujours plus dans un cycle sans fin de violences et de représailles. Avec à la clé, de nouvelles souffrances pour les populations civiles des deux côtés.
Face à la multiplication des exactions commises par des colons armés, plusieurs pays occidentaux, dont les États-Unis, l’Union européenne, le Royaume-Uni et le Canada, ont pris ces derniers mois des sanctions contre des colons qualifiés d'”extrémistes”, gelant leurs avoirs et leur interdisant de voyager. Washington est même allé jusqu’à sanctionner pour la première fois une entreprise israélienne de BTP active dans la construction de colonies.
Mandats d’arrêt de la CPI contre Netanyahu
L’annonce de la fin de la détention administrative pour les colons est intervenue au lendemain de l’émission par la Cour pénale internationale (CPI) de mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant. Ils sont recherchés par la justice internationale pour des “crimes de guerre” et des “crimes contre l’humanité” présumés commis dans les territoires palestiniens occupés.
M. Netanyahu a aussitôt rejeté cette décision, y voyant une “faillite morale” de la Cour et une mesure motivée selon lui par la “haine antisémite à l’égard d’Israël”. Cette nouvelle crise diplomatique et judiciaire vient encore compliquer les efforts pour tenter d’apaiser les tensions et relancer le dialogue entre Israéliens et Palestiniens.
Quelles conséquences pour le conflit israélo-palestinien ?
En mettant fin au régime de détention administrative pour les colons, le gouvernement israélien semble vouloir leur accorder un traitement de faveur malgré les violences dont certains se rendent coupables. Une décision qui risque d’être perçue comme une provocation supplémentaire par les Palestiniens et une partie de la communauté internationale, dans un contexte déjà hyper tendu.
Alors que la situation sécuritaire ne cesse de se dégrader en Cisjordanie et que les perspectives de paix semblent plus lointaines que jamais, cette mesure controversée pourrait attiser encore davantage les braises du conflit. Seul un dialogue sincère et équitable entre les deux parties, assorti de concessions réciproques, permettrait d’espérer une désescalade durable. Mais avec un gouvernement israélien résolument pro-colonies et une Autorité palestinienne affaiblie et divisée, les chances d’une reprise à court terme du processus de paix apparaissent bien minces.
La communauté internationale, et en premier lieu les grandes puissances comme les États-Unis et l’Union européenne, ont un rôle crucial à jouer pour faire pression sur les deux camps et les ramener à la table des négociations. Sans un engagement fort et concerté pour résoudre ce conflit vieux de plusieurs décennies, Israéliens et Palestiniens risquent de s’enfoncer toujours plus dans un cycle sans fin de violences et de représailles. Avec à la clé, de nouvelles souffrances pour les populations civiles des deux côtés.
Face à la multiplication des exactions commises par des colons armés, plusieurs pays occidentaux, dont les États-Unis, l’Union européenne, le Royaume-Uni et le Canada, ont pris ces derniers mois des sanctions contre des colons qualifiés d'”extrémistes”, gelant leurs avoirs et leur interdisant de voyager. Washington est même allé jusqu’à sanctionner pour la première fois une entreprise israélienne de BTP active dans la construction de colonies.
Mandats d’arrêt de la CPI contre Netanyahu
L’annonce de la fin de la détention administrative pour les colons est intervenue au lendemain de l’émission par la Cour pénale internationale (CPI) de mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant. Ils sont recherchés par la justice internationale pour des “crimes de guerre” et des “crimes contre l’humanité” présumés commis dans les territoires palestiniens occupés.
M. Netanyahu a aussitôt rejeté cette décision, y voyant une “faillite morale” de la Cour et une mesure motivée selon lui par la “haine antisémite à l’égard d’Israël”. Cette nouvelle crise diplomatique et judiciaire vient encore compliquer les efforts pour tenter d’apaiser les tensions et relancer le dialogue entre Israéliens et Palestiniens.
Quelles conséquences pour le conflit israélo-palestinien ?
En mettant fin au régime de détention administrative pour les colons, le gouvernement israélien semble vouloir leur accorder un traitement de faveur malgré les violences dont certains se rendent coupables. Une décision qui risque d’être perçue comme une provocation supplémentaire par les Palestiniens et une partie de la communauté internationale, dans un contexte déjà hyper tendu.
Alors que la situation sécuritaire ne cesse de se dégrader en Cisjordanie et que les perspectives de paix semblent plus lointaines que jamais, cette mesure controversée pourrait attiser encore davantage les braises du conflit. Seul un dialogue sincère et équitable entre les deux parties, assorti de concessions réciproques, permettrait d’espérer une désescalade durable. Mais avec un gouvernement israélien résolument pro-colonies et une Autorité palestinienne affaiblie et divisée, les chances d’une reprise à court terme du processus de paix apparaissent bien minces.
La communauté internationale, et en premier lieu les grandes puissances comme les États-Unis et l’Union européenne, ont un rôle crucial à jouer pour faire pression sur les deux camps et les ramener à la table des négociations. Sans un engagement fort et concerté pour résoudre ce conflit vieux de plusieurs décennies, Israéliens et Palestiniens risquent de s’enfoncer toujours plus dans un cycle sans fin de violences et de représailles. Avec à la clé, de nouvelles souffrances pour les populations civiles des deux côtés.