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Espagne: Sánchez Se Défend Face aux Inondations Dévastatrices

Face à la catastrophe des inondations meurtrières, le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez assure avoir assumé ses responsabilités dès le début. Mais les critiques fusent et l'opposition réclame des comptes. 2,3 milliards d'euros d'aides supplémentaires sont débloqués pour les sinistrés. Le bilan s'alourdit à 229 morts, dont 221 dans la seule région de Valence...

Près d’un mois après le drame, les régions sinistrées tentent de panser leurs plaies et d’organiser la reconstruction. Mais le retour à une vie normale s’annonce long et compliqué pour des milliers de familles qui ont tout perdu. Beaucoup se retrouvent sans logement et doivent être relogées en urgence.

Les aides promises par le gouvernement sont donc très attendues pour faire face à l’ampleur des dégâts. Au-delà de la réparation, c’est aussi la réflexion sur une meilleure prévention de ces phénomènes météo extrêmes qui s’impose. Avec le réchauffement climatique, l’Espagne risque d’être de plus en plus exposée à ce type de catastrophes, préviennent les experts.

D’après les projections, le pourtour méditerranéen sera particulièrement affecté, avec des épisodes de pluies intenses et des inondations à répétition. Un défi majeur pour le pays qui va devoir repenser son aménagement du territoire et ses systèmes d’alerte. Les récentes inondations meurtrières ont tragiquement rappelé l’urgence d’agir face à cette menace climatique.

Notre pensée va aux victimes et à leurs proches. L’heure est à la reconstruction et à la prévention pour que de tels drames ne se reproduisent plus.

Pedro Sánchez, Premier ministre espagnol

Pour tenter d’éteindre la polémique, le Premier ministre a surtout mis en avant les moyens déployés par son gouvernement. Un troisième paquet d’aides d’urgence de 2,3 milliards d’euros pour les sinistrés a été annoncé, comprenant 60 mesures qui seront approuvées lors d’un prochain conseil des ministres. Au total, ce sont 16,6 milliards d’aides qui auront été mobilisés, selon M. Sánchez.

Le sud-est meurtri

Les pluies diluviennes qui se sont abattues début septembre sur le sud-est de l’Espagne ont entraîné de brutales inondations et des glissements de terrain meurtriers. La région de Valence a été de loin la plus touchée, avec 221 morts sur les 229 recensés dans le pays. Des scènes de dévastation, avec des localités entières sous les eaux, des infrastructures et des habitations dévastées.

Pour le chef du gouvernement, ce drame porte la marque du changement climatique. « Le changement climatique tue et nous devons tous prendre cette menace au sérieux, car il y a quelque chose de bien plus dangereux que l’urgence climatique, à savoir les gouvernements négationnistes » qui « nient les effets dévastateurs » que cela induit, a-t-il insisté, appelant à une prise de conscience.

Le difficile retour à la normale

Près d’un mois après le drame, les régions sinistrées tentent de panser leurs plaies et d’organiser la reconstruction. Mais le retour à une vie normale s’annonce long et compliqué pour des milliers de familles qui ont tout perdu. Beaucoup se retrouvent sans logement et doivent être relogées en urgence.

Les aides promises par le gouvernement sont donc très attendues pour faire face à l’ampleur des dégâts. Au-delà de la réparation, c’est aussi la réflexion sur une meilleure prévention de ces phénomènes météo extrêmes qui s’impose. Avec le réchauffement climatique, l’Espagne risque d’être de plus en plus exposée à ce type de catastrophes, préviennent les experts.

D’après les projections, le pourtour méditerranéen sera particulièrement affecté, avec des épisodes de pluies intenses et des inondations à répétition. Un défi majeur pour le pays qui va devoir repenser son aménagement du territoire et ses systèmes d’alerte. Les récentes inondations meurtrières ont tragiquement rappelé l’urgence d’agir face à cette menace climatique.

Notre pensée va aux victimes et à leurs proches. L’heure est à la reconstruction et à la prévention pour que de tels drames ne se reproduisent plus.

Pedro Sánchez, Premier ministre espagnol

Pour tenter d’éteindre la polémique, le Premier ministre a surtout mis en avant les moyens déployés par son gouvernement. Un troisième paquet d’aides d’urgence de 2,3 milliards d’euros pour les sinistrés a été annoncé, comprenant 60 mesures qui seront approuvées lors d’un prochain conseil des ministres. Au total, ce sont 16,6 milliards d’aides qui auront été mobilisés, selon M. Sánchez.

Le sud-est meurtri

Les pluies diluviennes qui se sont abattues début septembre sur le sud-est de l’Espagne ont entraîné de brutales inondations et des glissements de terrain meurtriers. La région de Valence a été de loin la plus touchée, avec 221 morts sur les 229 recensés dans le pays. Des scènes de dévastation, avec des localités entières sous les eaux, des infrastructures et des habitations dévastées.

Pour le chef du gouvernement, ce drame porte la marque du changement climatique. « Le changement climatique tue et nous devons tous prendre cette menace au sérieux, car il y a quelque chose de bien plus dangereux que l’urgence climatique, à savoir les gouvernements négationnistes » qui « nient les effets dévastateurs » que cela induit, a-t-il insisté, appelant à une prise de conscience.

Le difficile retour à la normale

Près d’un mois après le drame, les régions sinistrées tentent de panser leurs plaies et d’organiser la reconstruction. Mais le retour à une vie normale s’annonce long et compliqué pour des milliers de familles qui ont tout perdu. Beaucoup se retrouvent sans logement et doivent être relogées en urgence.

Les aides promises par le gouvernement sont donc très attendues pour faire face à l’ampleur des dégâts. Au-delà de la réparation, c’est aussi la réflexion sur une meilleure prévention de ces phénomènes météo extrêmes qui s’impose. Avec le réchauffement climatique, l’Espagne risque d’être de plus en plus exposée à ce type de catastrophes, préviennent les experts.

D’après les projections, le pourtour méditerranéen sera particulièrement affecté, avec des épisodes de pluies intenses et des inondations à répétition. Un défi majeur pour le pays qui va devoir repenser son aménagement du territoire et ses systèmes d’alerte. Les récentes inondations meurtrières ont tragiquement rappelé l’urgence d’agir face à cette menace climatique.

Notre pensée va aux victimes et à leurs proches. L’heure est à la reconstruction et à la prévention pour que de tels drames ne se reproduisent plus.

Pedro Sánchez, Premier ministre espagnol

Face à l’ampleur de la catastrophe qui a endeuillé l’Espagne, le chef du gouvernement Pedro Sánchez est monté au créneau pour défendre son action. Lors d’une allocution devant le Parlement, le dirigeant socialiste a martelé avoir assumé « dès le début » ses responsabilités dans la gestion des inondations dévastatrices qui ont ravagé le sud-est du pays il y a près d’un mois, faisant 229 morts selon un dernier bilan.

Pointé du doigt par l’opposition qui l’accuse d’avoir failli dans l’alerte et les secours, M. Sánchez affirme au contraire que l’exécutif a fait « ce qu’il devait faire ». « La question est de savoir si le gouvernement espagnol a assumé (ses) responsabilités et la réponse est +oui+. Il l’a fait dès le début et continuera à le faire aussi longtemps que nécessaire », a-t-il déclaré avec fermeté.

Polémiques et nouvelles aides

Mais les critiques pleuvent sur le gouvernement, notamment sur les agences étatiques chargées d’émettre les alertes météorologiques et de coordonner les secours. Dans ce pays très décentralisé, la gestion des catastrophes relève en premier lieu des régions, le gouvernement central n’intervenant qu’en soutien ou dans les cas extrêmes.

Rejetant en bloc les accusations, Pedro Sánchez a mis en garde : « Je demande que l’on n’induise pas les gens en erreur : si vous voulez trouver des coupables, cherchez-les, faites-le, mais ne pointez pas du doigt les services publics qui ont fait leur devoir ». Dans le même temps, il s’est dit ouvert à une commission d’enquête parlementaire, tout en jugeant que le moment n’était pas encore venu.

Pour tenter d’éteindre la polémique, le Premier ministre a surtout mis en avant les moyens déployés par son gouvernement. Un troisième paquet d’aides d’urgence de 2,3 milliards d’euros pour les sinistrés a été annoncé, comprenant 60 mesures qui seront approuvées lors d’un prochain conseil des ministres. Au total, ce sont 16,6 milliards d’aides qui auront été mobilisés, selon M. Sánchez.

Le sud-est meurtri

Les pluies diluviennes qui se sont abattues début septembre sur le sud-est de l’Espagne ont entraîné de brutales inondations et des glissements de terrain meurtriers. La région de Valence a été de loin la plus touchée, avec 221 morts sur les 229 recensés dans le pays. Des scènes de dévastation, avec des localités entières sous les eaux, des infrastructures et des habitations dévastées.

Pour le chef du gouvernement, ce drame porte la marque du changement climatique. « Le changement climatique tue et nous devons tous prendre cette menace au sérieux, car il y a quelque chose de bien plus dangereux que l’urgence climatique, à savoir les gouvernements négationnistes » qui « nient les effets dévastateurs » que cela induit, a-t-il insisté, appelant à une prise de conscience.

Le difficile retour à la normale

Près d’un mois après le drame, les régions sinistrées tentent de panser leurs plaies et d’organiser la reconstruction. Mais le retour à une vie normale s’annonce long et compliqué pour des milliers de familles qui ont tout perdu. Beaucoup se retrouvent sans logement et doivent être relogées en urgence.

Les aides promises par le gouvernement sont donc très attendues pour faire face à l’ampleur des dégâts. Au-delà de la réparation, c’est aussi la réflexion sur une meilleure prévention de ces phénomènes météo extrêmes qui s’impose. Avec le réchauffement climatique, l’Espagne risque d’être de plus en plus exposée à ce type de catastrophes, préviennent les experts.

D’après les projections, le pourtour méditerranéen sera particulièrement affecté, avec des épisodes de pluies intenses et des inondations à répétition. Un défi majeur pour le pays qui va devoir repenser son aménagement du territoire et ses systèmes d’alerte. Les récentes inondations meurtrières ont tragiquement rappelé l’urgence d’agir face à cette menace climatique.

Notre pensée va aux victimes et à leurs proches. L’heure est à la reconstruction et à la prévention pour que de tels drames ne se reproduisent plus.

Pedro Sánchez, Premier ministre espagnol

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