Imaginez. 47 éditions du rallye Dakar. Des milliers de kilomètres avalés, d’innombrables photos prises. C’est le parcours unique d’Éric Vargiolu, photographe de légende qui a fait de cette course mythique sa grande aventure. Rencontre avec un passionné qui a su capturer comme personne l’âme du Dakar.
Une histoire de passion et de défi
Tout commence en 1978, lorsqu’Éric Vargiolu se lance dans la première édition de ce qui deviendra le rallye Dakar. À l’époque, l’épreuve s’appelle encore « le rallye Paris-Dakar » et réunit une poignée d’aventuriers intrépides. Le jeune photographe est de ceux-là. Attiré par le défi et l’inconnu, il se jette à corps perdu dans cette folle aventure.
Au fil des années, le Dakar grandit, se transforme. L’Afrique, l’Amérique du Sud, le Moyen-Orient… Les décors changent mais la passion d’Éric, elle, reste intacte. À bord de son fidèle Nissan Patrol, qu’il surnomme affectueusement sa « voiture de merde », il parcourt des contrées hostiles, capte des instants d’intensité extrême. Un travail exigeant, parfois périlleux. Mais pour rien au monde il n’aurait raté ce rendez-vous.
On se surpassait parce qu’on était en mission, on n’avait pas le choix. On devait s’en sortir pour aller au bout.
Dans les coulisses de la course
En près d’un demi-siècle passé sur les pistes, Éric Vargiolu a accumulé les souvenirs et les anecdotes. Il se souvient avec émotion de ses échanges avec les pilotes, du lien unique tissé au fil des galères et des exploits partagés. Comme cette fois où Stéphane Peterhansel, surnommé « Peter », s’est arrêté en plein milieu d’une spéciale pour lui offrir un passage photo idéal.
Du bord des pistes, le photographe a aussi vu les champions se révéler, les légendes s’écrire. Hubert Auriol et sa science de la course, Peterhansel le géant aux nerfs d’acier… Il a immortalisé leurs plus belles heures, mais aussi leurs doutes et leurs peines. Car le Dakar, c’est aussi cela : une formidable aventure humaine, avec ses joies et ses drames.
Une quête d’émotions et de beautés
Plus que la compétition, ce sont les rencontres et les paysages qui ont marqué Éric Vargiolu. La ferveur des foules africaines et sud-américaines, les immensités désertiques d’Arabie saoudite… À chaque édition son identité, ses défis. Mais toujours ce même émerveillement face à la beauté brute des décors traversés.
Quand je pars, je sais que je vais forcément vivre un moment extraordinaire. Une lumière, un endroit, une rencontre…
Aujourd’hui, à 74 ans, Éric Vargiolu n’a rien perdu de sa passion. Si les technologies ont évolué, l’essence de son métier reste la même : être là au bon moment, capter l’instant décisif. Un art dont il a fait sa marque de fabrique, lui qui a su créer un lien si particulier avec cette course et ceux qui la font.
Le Dakar en héritage
47 éditions, des milliers de clichés, des souvenirs à n’en plus finir… En se confiant, Éric Vargiolu nous offre un regard unique sur le rallye Dakar et son histoire. Une épopée faite de passion, de sueur et de sable, qu’il a vécue de l’intérieur comme personne. Et qu’il espère transmettre aux jeunes générations de photographes.
Car s’il y a bien une chose qu’Éric Vargiolu a apprise en sillonnant les pistes du monde, c’est que le Dakar ne s’explique pas. Il se vit, intensément, jusqu’au bout de soi-même. Comme il l’a fait pendant près d’un demi-siècle, avec un courage et un engagement qui forcent le respect. Son héritage, c’est cette part de rêve et d’aventure qu’il laisse à tous ceux qui aiment cette course mythique.
Merci, Monsieur Dakar
47 Dakar au compteur. Un record absolu, qui ne sera sans doute jamais égalé. En retraçant son parcours, Éric Vargiolu nous rappelle que les plus belles aventures sont celles que l’on poursuit envers et contre tout. Avec passion, détermination et un brin de folie. Exactement comme il l’a fait pendant toutes ces années, pour notre plus grand plaisir.
Alors merci Monsieur Vargiolu. Merci d’avoir su capturer avec tant de talent l’âme de ce rallye pas comme les autres. Merci pour ces images, ces émotions et ces souvenirs que vous nous laissez en partage. Avec vous, c’est un peu du Dakar qui continuera de vibrer, édition après édition. Comme une ode à la liberté, à l’audace et à la soif d’horizons lointains.
Plus que la compétition, ce sont les rencontres et les paysages qui ont marqué Éric Vargiolu. La ferveur des foules africaines et sud-américaines, les immensités désertiques d’Arabie saoudite… À chaque édition son identité, ses défis. Mais toujours ce même émerveillement face à la beauté brute des décors traversés.
Quand je pars, je sais que je vais forcément vivre un moment extraordinaire. Une lumière, un endroit, une rencontre…
Aujourd’hui, à 74 ans, Éric Vargiolu n’a rien perdu de sa passion. Si les technologies ont évolué, l’essence de son métier reste la même : être là au bon moment, capter l’instant décisif. Un art dont il a fait sa marque de fabrique, lui qui a su créer un lien si particulier avec cette course et ceux qui la font.
Le Dakar en héritage
47 éditions, des milliers de clichés, des souvenirs à n’en plus finir… En se confiant, Éric Vargiolu nous offre un regard unique sur le rallye Dakar et son histoire. Une épopée faite de passion, de sueur et de sable, qu’il a vécue de l’intérieur comme personne. Et qu’il espère transmettre aux jeunes générations de photographes.
Car s’il y a bien une chose qu’Éric Vargiolu a apprise en sillonnant les pistes du monde, c’est que le Dakar ne s’explique pas. Il se vit, intensément, jusqu’au bout de soi-même. Comme il l’a fait pendant près d’un demi-siècle, avec un courage et un engagement qui forcent le respect. Son héritage, c’est cette part de rêve et d’aventure qu’il laisse à tous ceux qui aiment cette course mythique.
Merci, Monsieur Dakar
47 Dakar au compteur. Un record absolu, qui ne sera sans doute jamais égalé. En retraçant son parcours, Éric Vargiolu nous rappelle que les plus belles aventures sont celles que l’on poursuit envers et contre tout. Avec passion, détermination et un brin de folie. Exactement comme il l’a fait pendant toutes ces années, pour notre plus grand plaisir.
Alors merci Monsieur Vargiolu. Merci d’avoir su capturer avec tant de talent l’âme de ce rallye pas comme les autres. Merci pour ces images, ces émotions et ces souvenirs que vous nous laissez en partage. Avec vous, c’est un peu du Dakar qui continuera de vibrer, édition après édition. Comme une ode à la liberté, à l’audace et à la soif d’horizons lointains.