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Emmanuel Macron met en garde contre la guerre civile

Emmanuel Macron lance un avertissement choc : le RN et LFI mèneraient la France à la guerre civile. Une analyse sans concession qui soulève de nombreuses questions sur l'avenir politique du pays. Découvrez les dessous de cette déclaration fracassante...

La France est-elle au bord de l’implosion ? C’est ce que semble penser Emmanuel Macron. Dans un entretien choc accordé à un podcast, le Président de la République a mis en garde contre les dangers qui guettent le pays. Selon lui, les programmes du Rassemblement National et de la France Insoumise mèneraient tout droit à la “guerre civile”.

Le spectre de la division

Pour Emmanuel Macron, les scores élevés du RN et de LFI aux dernières élections européennes sonnent comme un signal d’alarme. Il estime que ces deux formations politiques, qu’il qualifie “d’extrêmes”, attisent les fractures au sein de la société française :

La réponse de l’extrême droite, parce qu’elle renvoie les gens ou à une religion ou à une origine, c’est en ça qu’elle divise et qu’elle pousse à la guerre civile.

Emmanuel Macron

De même, le Président accuse la France Insoumise “d’enfermer dans un communautarisme qui est un peu électoral”. Une posture qui, selon lui, ne peut mener qu’à la conflictualité et à l’éclatement de la cohésion nationale.

Reconnaître les problèmes, rejeter les mauvaises solutions

Emmanuel Macron reconnaît toutefois que le RN et LFI “répondent à des vrais problèmes, des vraies angoisses”. Il cite notamment les questions sécuritaires et le sentiment de certains citoyens de ne pas être “reconnus et protégés”.

Mais pour le chef de l’État, les réponses apportées par ces deux formations ne font qu’aggraver la situation. En renvoyant chacun à son appartenance religieuse ou communautaire, elles mineraient les fondements du pacte républicain et précipiteraient le pays dans le chaos.

La dissolution, un “choix qui s’est imposé”

Face à ces périls, Emmanuel Macron assume pleinement sa décision de dissoudre l’Assemblée Nationale et de convoquer des élections législatives anticipées. Un “choix qui s’est imposé” selon lui, même s’il admet que cela ne lui “a pas fait plaisir” :

Le 9 juin, le vote des Françaises et des Français, s’il y a quelqu’un à qui il a fait mal, c’est moi.

Emmanuel Macron

Le Président explique qu’une motion de censure était inévitable à l’Assemblée et “allait arriver dans un chaos complet”. En appelant les Français aux urnes, il dit avoir agi par sens des responsabilités, au nom de la “confiance dans le peuple”.

Cap sur la campagne des législatives

À quelques jours du premier tour des législatives, Emmanuel Macron met donc toute son énergie dans la campagne électorale. Il multiplie les interventions médiatiques pour convaincre les électeurs de lui donner une majorité à l’Assemblée, seule façon selon lui d’éviter le spectre de la guerre civile agité par les extrêmes.

Reste à savoir si son message sera entendu. Les derniers sondages créditent le RN et la NUPES (alliance de gauche incluant LFI) de scores élevés. De quoi faire peser une réelle menace sur la majorité présidentielle sortante. Réponse dans les urnes les 18 et 25 juin prochains.

De même, le Président accuse la France Insoumise “d’enfermer dans un communautarisme qui est un peu électoral”. Une posture qui, selon lui, ne peut mener qu’à la conflictualité et à l’éclatement de la cohésion nationale.

Reconnaître les problèmes, rejeter les mauvaises solutions

Emmanuel Macron reconnaît toutefois que le RN et LFI “répondent à des vrais problèmes, des vraies angoisses”. Il cite notamment les questions sécuritaires et le sentiment de certains citoyens de ne pas être “reconnus et protégés”.

Mais pour le chef de l’État, les réponses apportées par ces deux formations ne font qu’aggraver la situation. En renvoyant chacun à son appartenance religieuse ou communautaire, elles mineraient les fondements du pacte républicain et précipiteraient le pays dans le chaos.

La dissolution, un “choix qui s’est imposé”

Face à ces périls, Emmanuel Macron assume pleinement sa décision de dissoudre l’Assemblée Nationale et de convoquer des élections législatives anticipées. Un “choix qui s’est imposé” selon lui, même s’il admet que cela ne lui “a pas fait plaisir” :

Le 9 juin, le vote des Françaises et des Français, s’il y a quelqu’un à qui il a fait mal, c’est moi.

Emmanuel Macron

Le Président explique qu’une motion de censure était inévitable à l’Assemblée et “allait arriver dans un chaos complet”. En appelant les Français aux urnes, il dit avoir agi par sens des responsabilités, au nom de la “confiance dans le peuple”.

Cap sur la campagne des législatives

À quelques jours du premier tour des législatives, Emmanuel Macron met donc toute son énergie dans la campagne électorale. Il multiplie les interventions médiatiques pour convaincre les électeurs de lui donner une majorité à l’Assemblée, seule façon selon lui d’éviter le spectre de la guerre civile agité par les extrêmes.

Reste à savoir si son message sera entendu. Les derniers sondages créditent le RN et la NUPES (alliance de gauche incluant LFI) de scores élevés. De quoi faire peser une réelle menace sur la majorité présidentielle sortante. Réponse dans les urnes les 18 et 25 juin prochains.

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