Le feuilleton judiciaire continue pour Donald Trump. L’ancien président des États-Unis, condamné au pénal en mai dernier pour des paiements cachés à la star du X Stormy Daniels, a essuyé un nouveau revers devant la justice de New York mardi. Ses avocats ont plaidé en vain pour geler la procédure et repousser le prononcé de sa peine, fixé au vendredi 10 janvier, soit seulement dix jours avant son investiture.
Selon une source proche du dossier, une juge de la cour d’appel a rejeté la demande des conseils de Donald Trump peu après avoir écouté leurs arguments, basés principalement sur l’immunité présidentielle. Sauf succès improbable d’un nouveau recours, la sentence de l’ex-locataire de la Maison Blanche devrait donc être prononcée comme prévu lors d’une audience le 10 janvier à 09H30 heure locale.
Une condamnation historique pour un ex-président
Le 30 mai dernier, au terme de six semaines d’un procès très médiatisé en pleine campagne présidentielle, Donald Trump est devenu le premier ex-président américain condamné au pénal. Un jury populaire l’a reconnu coupable à l’unanimité de 34 délits de falsifications comptables pour avoir dissimulé des paiements de 130 000 dollars à Stormy Daniels.
Si la condamnation de Donald Trump ne devrait pas avoir de conséquences judiciaires majeures, sa portée symbolique est forte. Jamais un président américain, même après avoir quitté ses fonctions, n’avait été reconnu coupable d’un délit ou d’un crime.
Le timing pose aussi question, à quelques jours seulement de la cérémonie d’investiture prévue le 20 janvier. Ses partisans dénoncent un acharnement politique visant à l’empêcher d’accéder de nouveau à la Maison Blanche. De leur côté, ses adversaires espèrent que cette condamnation le discrédite auprès des électeurs.
D’autres affaires en cours
Au-delà de l’affaire Stormy Daniels, Donald Trump reste visé par plusieurs autres procédures judiciaires :
- Une enquête fédérale sur ses tentatives présumées illégales d’inverser les résultats de l’élection présidentielle de 2020
- Une enquête en Georgie sur des pressions pour altérer les résultats du scrutin
- Un procès en diffamation intenté par l’écrivaine E. Jean Carroll qui l’accuse de viol
Autant de fronts judiciaires qui pèsent sur son avenir politique alors qu’il s’apprête à entamer un nouveau mandat à la tête des États-Unis. Pour l’heure, le camp Trump dénonce un « harcèlement » et promet de contre-attaquer. La bataille judiciaire ne fait que commencer.
Si la condamnation de Donald Trump ne devrait pas avoir de conséquences judiciaires majeures, sa portée symbolique est forte. Jamais un président américain, même après avoir quitté ses fonctions, n’avait été reconnu coupable d’un délit ou d’un crime.
Le timing pose aussi question, à quelques jours seulement de la cérémonie d’investiture prévue le 20 janvier. Ses partisans dénoncent un acharnement politique visant à l’empêcher d’accéder de nouveau à la Maison Blanche. De leur côté, ses adversaires espèrent que cette condamnation le discrédite auprès des électeurs.
D’autres affaires en cours
Au-delà de l’affaire Stormy Daniels, Donald Trump reste visé par plusieurs autres procédures judiciaires :
- Une enquête fédérale sur ses tentatives présumées illégales d’inverser les résultats de l’élection présidentielle de 2020
- Une enquête en Georgie sur des pressions pour altérer les résultats du scrutin
- Un procès en diffamation intenté par l’écrivaine E. Jean Carroll qui l’accuse de viol
Autant de fronts judiciaires qui pèsent sur son avenir politique alors qu’il s’apprête à entamer un nouveau mandat à la tête des États-Unis. Pour l’heure, le camp Trump dénonce un « harcèlement » et promet de contre-attaquer. La bataille judiciaire ne fait que commencer.
L’objectif était d’éviter un scandale sexuel juste avant l’élection de 2016 qu’il a remportée face à Hillary Clinton. Tout au long de l’affaire, Donald Trump a nié toute relation intime avec l’actrice de films pour adultes et dénoncé un « procès politique » orchestré par une justice aux mains de ses opposants démocrates.
Une peine de prison exclue
Si le juge new-yorkais Juan Merchan, chargé de prononcer la sentence, a d’ores et déjà exclu une peine de prison « impossible à mettre en œuvre », Donald Trump encourt en théorie jusqu’à 4 ans de détention. Il devrait cependant s’en sortir avec une amende et une mise à l’épreuve.
Le magistrat a même donné la possibilité au futur président de comparaître par visioconférence plutôt qu’en personne, un aménagement rarissime pour un accusé. Mais malgré ces gestes d’apaisement, les avocats de Donald Trump multiplient les recours de dernière minute pour tenter de repousser l’échéance.
Une symbolique forte à l’approche de l’investiture
Si la condamnation de Donald Trump ne devrait pas avoir de conséquences judiciaires majeures, sa portée symbolique est forte. Jamais un président américain, même après avoir quitté ses fonctions, n’avait été reconnu coupable d’un délit ou d’un crime.
Le timing pose aussi question, à quelques jours seulement de la cérémonie d’investiture prévue le 20 janvier. Ses partisans dénoncent un acharnement politique visant à l’empêcher d’accéder de nouveau à la Maison Blanche. De leur côté, ses adversaires espèrent que cette condamnation le discrédite auprès des électeurs.
D’autres affaires en cours
Au-delà de l’affaire Stormy Daniels, Donald Trump reste visé par plusieurs autres procédures judiciaires :
- Une enquête fédérale sur ses tentatives présumées illégales d’inverser les résultats de l’élection présidentielle de 2020
- Une enquête en Georgie sur des pressions pour altérer les résultats du scrutin
- Un procès en diffamation intenté par l’écrivaine E. Jean Carroll qui l’accuse de viol
Autant de fronts judiciaires qui pèsent sur son avenir politique alors qu’il s’apprête à entamer un nouveau mandat à la tête des États-Unis. Pour l’heure, le camp Trump dénonce un « harcèlement » et promet de contre-attaquer. La bataille judiciaire ne fait que commencer.
L’objectif était d’éviter un scandale sexuel juste avant l’élection de 2016 qu’il a remportée face à Hillary Clinton. Tout au long de l’affaire, Donald Trump a nié toute relation intime avec l’actrice de films pour adultes et dénoncé un « procès politique » orchestré par une justice aux mains de ses opposants démocrates.
Une peine de prison exclue
Si le juge new-yorkais Juan Merchan, chargé de prononcer la sentence, a d’ores et déjà exclu une peine de prison « impossible à mettre en œuvre », Donald Trump encourt en théorie jusqu’à 4 ans de détention. Il devrait cependant s’en sortir avec une amende et une mise à l’épreuve.
Le magistrat a même donné la possibilité au futur président de comparaître par visioconférence plutôt qu’en personne, un aménagement rarissime pour un accusé. Mais malgré ces gestes d’apaisement, les avocats de Donald Trump multiplient les recours de dernière minute pour tenter de repousser l’échéance.
Une symbolique forte à l’approche de l’investiture
Si la condamnation de Donald Trump ne devrait pas avoir de conséquences judiciaires majeures, sa portée symbolique est forte. Jamais un président américain, même après avoir quitté ses fonctions, n’avait été reconnu coupable d’un délit ou d’un crime.
Le timing pose aussi question, à quelques jours seulement de la cérémonie d’investiture prévue le 20 janvier. Ses partisans dénoncent un acharnement politique visant à l’empêcher d’accéder de nouveau à la Maison Blanche. De leur côté, ses adversaires espèrent que cette condamnation le discrédite auprès des électeurs.
D’autres affaires en cours
Au-delà de l’affaire Stormy Daniels, Donald Trump reste visé par plusieurs autres procédures judiciaires :
- Une enquête fédérale sur ses tentatives présumées illégales d’inverser les résultats de l’élection présidentielle de 2020
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- Un procès en diffamation intenté par l’écrivaine E. Jean Carroll qui l’accuse de viol
Autant de fronts judiciaires qui pèsent sur son avenir politique alors qu’il s’apprête à entamer un nouveau mandat à la tête des États-Unis. Pour l’heure, le camp Trump dénonce un « harcèlement » et promet de contre-attaquer. La bataille judiciaire ne fait que commencer.