Un jeune bordelais de 24 ans, Zoran Martineau, manque à l’appel depuis ce mardi, suscitant une vive inquiétude. Souffrant de dépression, il a quitté son domicile rue de la porte de la Monnaie dans le quartier Saint-Michel à Bordeaux et n’a plus donné signe de vie depuis, déclenchant une opération de recherche d’envergure menée par la direction interdépartementale de la police nationale.
Un appel à témoins lancé par la police
Face à cette disparition préoccupante, les forces de l’ordre ont diffusé un appel à témoins pour tenter de retrouver Zoran Martineau. Selon le signalement, ce jeune homme de corpulence mince mesure environ 1m75, a les cheveux châtains mi-longs et portait un blouson noir à capuche ainsi que des baskets blanches et rouges au moment de sa disparition.
Toute personne disposant d’informations pouvant contribuer aux recherches est priée de contacter dans les plus brefs délais l’hôtel de police de Bordeaux au 05 57 85 71 81.
La police nationale
Une disparition très inquiétante
L’entourage de Zoran s’alarme de ne plus avoir de ses nouvelles depuis mardi, d’autant plus que le jeune bordelais est fragilisé par une dépression. Sa disparition soudaine et inexpliquée fait craindre le pire à ses proches, mobilisés aux côtés des enquêteurs pour le retrouver sain et sauf.
Les recherches se concentrent sur Bordeaux et sa région, en particulier le quartier Saint-Michel où réside le disparu. Les policiers multiplient les investigations pour tenter de retracer son parcours et comprendre les circonstances de sa disparition, explorant toutes les pistes.
La mobilisation ne faiblit pas
Plusieurs jours après le signalement de sa disparition, les efforts pour retrouver Zoran Martineau ne faiblissent pas. Affiches, partages sur les réseaux sociaux, battues citoyennes… Tous les moyens sont déployés dans l’espoir d’obtenir un indice, un témoignage permettant de le localiser.
Cette disparition bouleverse une nouvelle fois Bordeaux, déjà marquée par des affaires similaires ces derniers mois. Elle illustre aussi la détresse psychologique qui frappe de nombreux jeunes, mis à rude épreuve par un contexte anxiogène. La quête pour retrouver Zoran se double d’un message de sensibilisation sur l’importance de l’écoute et du soutien face à la souffrance mentale.
Les heures et les jours défilent, rendant l’attente insupportable pour les proches du disparu. Chacun espère un dénouement heureux à ce drame et une prise de conscience collective sur ces disparitions de plus en plus fréquentes, symptôme d’un profond mal-être sociétal. La mobilisation pour retrouver Zoran ne doit pas occulter l’urgence à mieux prendre en charge les personnes vulnérables.
