Alors que la saison estivale bat son plein, la Grèce se retrouve face à un défi de taille : une sévère crise de l’eau qui touche la capitale Athènes ainsi que plusieurs îles du pays. Les autorités ont été contraintes d’instaurer des coupures d’eau et appellent la population au rationnement, dans un contexte de sécheresse intense, de canicule précoce et d’infrastructures vieillissantes. Une situation qui risque de s’aggraver avec l’afflux massif de touristes attendu cet été.
Des îles grecques en situation d’urgence
À Léros, dans le Dodécanèse, les robinets sont fermés quatre fois par jour par les autorités locales. L’île a été placée en situation d’urgence pour un mois depuis fin juin. Les citoyens et commerces sont appelés à redoubler d’efforts pour économiser l’eau, en limitant l’usage des piscines, des machines à laver et même le nombre de douches quotidiennes.
C’est inquiétant de se retrouver, en 2024, en pénurie d’eau. Oui, la sécheresse a été importante cette année en Grèce, mais je suis stupéfaite de voir qu’aucune mesure préventive n’a été prise alors que l’on sait que pendant la saison touristique, la population de l’île triple !
– Popy, étudiante à Athènes passant l’été à Léros
Le tourisme, pilier de l’économie grecque menacé
Athènes également touchée par les restrictions
La pénurie d’eau ne concerne pas uniquement les îles grecques mais aussi la capitale. À Athènes, des coupures d’eau tournantes ont été mises en place et la pression a été réduite aux heures de pointe. Les autorités multiplient les appels à une consommation responsable pour éviter l’assèchement total des réservoirs.
Un cocktail explosif : sécheresse, canicule et infrastructures défaillantes
Plusieurs facteurs expliquent cette crise de l’eau qui frappe durement le pays. Tout d’abord, une sécheresse exceptionnelle, avec des précipitations en baisse de 40% par rapport aux normales saisonnières. S’ajoute à cela une canicule précoce, avec des températures dépassant les 40°C dès le mois de juin. Enfin, les infrastructures vieillissantes et sous-dimensionnées aggravent la situation, avec des pertes importantes sur les réseaux de distribution.
Un réveil brutal pour le gouvernement grec
Face à l’urgence, le gouvernement grec a annoncé un plan d’investissement massif pour rénover et étendre les infrastructures de gestion de l’eau. Des mesures d’économie d’eau sont également imposées aux particuliers comme aux entreprises, avec des amendes à la clé pour les contrevenants. Mais pour beaucoup, ces actions arrivent bien tard et auraient dû être anticipées depuis longtemps.
Vers une prise de conscience écologique ?
Au-delà de la gestion de crise, cette pénurie d’eau pourrait être l’électrochoc nécessaire pour faire évoluer les mentalités en Grèce. Sensibiliser la population aux enjeux environnementaux, encourager les économies d’eau au quotidien, repenser l’urbanisme et le développement touristique en intégrant la contrainte hydrique… Autant de défis qui attendent le pays pour les années à venir, afin d’éviter que de telles situations ne se reproduisent.
Une chose est sûre : la Grèce, comme de nombreux pays méditerranéens, va devoir s’adapter en profondeur au réchauffement climatique et à ses conséquences sur les ressources en eau. La crise actuelle sonne comme un avertissement sérieux, appelant à une prise de conscience et à des actions concrètes pour préserver cette ressource vitale mais de plus en plus menacée.
Athènes également touchée par les restrictions
La pénurie d’eau ne concerne pas uniquement les îles grecques mais aussi la capitale. À Athènes, des coupures d’eau tournantes ont été mises en place et la pression a été réduite aux heures de pointe. Les autorités multiplient les appels à une consommation responsable pour éviter l’assèchement total des réservoirs.
Un cocktail explosif : sécheresse, canicule et infrastructures défaillantes
Plusieurs facteurs expliquent cette crise de l’eau qui frappe durement le pays. Tout d’abord, une sécheresse exceptionnelle, avec des précipitations en baisse de 40% par rapport aux normales saisonnières. S’ajoute à cela une canicule précoce, avec des températures dépassant les 40°C dès le mois de juin. Enfin, les infrastructures vieillissantes et sous-dimensionnées aggravent la situation, avec des pertes importantes sur les réseaux de distribution.
Un réveil brutal pour le gouvernement grec
Face à l’urgence, le gouvernement grec a annoncé un plan d’investissement massif pour rénover et étendre les infrastructures de gestion de l’eau. Des mesures d’économie d’eau sont également imposées aux particuliers comme aux entreprises, avec des amendes à la clé pour les contrevenants. Mais pour beaucoup, ces actions arrivent bien tard et auraient dû être anticipées depuis longtemps.
Vers une prise de conscience écologique ?
Au-delà de la gestion de crise, cette pénurie d’eau pourrait être l’électrochoc nécessaire pour faire évoluer les mentalités en Grèce. Sensibiliser la population aux enjeux environnementaux, encourager les économies d’eau au quotidien, repenser l’urbanisme et le développement touristique en intégrant la contrainte hydrique… Autant de défis qui attendent le pays pour les années à venir, afin d’éviter que de telles situations ne se reproduisent.
Une chose est sûre : la Grèce, comme de nombreux pays méditerranéens, va devoir s’adapter en profondeur au réchauffement climatique et à ses conséquences sur les ressources en eau. La crise actuelle sonne comme un avertissement sérieux, appelant à une prise de conscience et à des actions concrètes pour préserver cette ressource vitale mais de plus en plus menacée.
Le tourisme représente près d’un quart du PIB de la Grèce, deuxième pilier de son économie. En 2023, le pays a accueilli l’équivalent de trois fois sa population, soit 33,7 millions de visiteurs. Un record qui pourrait être battu cette année selon les premières estimations, mettant encore davantage de pression sur les ressources en eau déjà limitées.
Athènes également touchée par les restrictions
La pénurie d’eau ne concerne pas uniquement les îles grecques mais aussi la capitale. À Athènes, des coupures d’eau tournantes ont été mises en place et la pression a été réduite aux heures de pointe. Les autorités multiplient les appels à une consommation responsable pour éviter l’assèchement total des réservoirs.
Un cocktail explosif : sécheresse, canicule et infrastructures défaillantes
Plusieurs facteurs expliquent cette crise de l’eau qui frappe durement le pays. Tout d’abord, une sécheresse exceptionnelle, avec des précipitations en baisse de 40% par rapport aux normales saisonnières. S’ajoute à cela une canicule précoce, avec des températures dépassant les 40°C dès le mois de juin. Enfin, les infrastructures vieillissantes et sous-dimensionnées aggravent la situation, avec des pertes importantes sur les réseaux de distribution.
Un réveil brutal pour le gouvernement grec
Face à l’urgence, le gouvernement grec a annoncé un plan d’investissement massif pour rénover et étendre les infrastructures de gestion de l’eau. Des mesures d’économie d’eau sont également imposées aux particuliers comme aux entreprises, avec des amendes à la clé pour les contrevenants. Mais pour beaucoup, ces actions arrivent bien tard et auraient dû être anticipées depuis longtemps.
Vers une prise de conscience écologique ?
Au-delà de la gestion de crise, cette pénurie d’eau pourrait être l’électrochoc nécessaire pour faire évoluer les mentalités en Grèce. Sensibiliser la population aux enjeux environnementaux, encourager les économies d’eau au quotidien, repenser l’urbanisme et le développement touristique en intégrant la contrainte hydrique… Autant de défis qui attendent le pays pour les années à venir, afin d’éviter que de telles situations ne se reproduisent.
Une chose est sûre : la Grèce, comme de nombreux pays méditerranéens, va devoir s’adapter en profondeur au réchauffement climatique et à ses conséquences sur les ressources en eau. La crise actuelle sonne comme un avertissement sérieux, appelant à une prise de conscience et à des actions concrètes pour préserver cette ressource vitale mais de plus en plus menacée.
Le tourisme représente près d’un quart du PIB de la Grèce, deuxième pilier de son économie. En 2023, le pays a accueilli l’équivalent de trois fois sa population, soit 33,7 millions de visiteurs. Un record qui pourrait être battu cette année selon les premières estimations, mettant encore davantage de pression sur les ressources en eau déjà limitées.
Athènes également touchée par les restrictions
La pénurie d’eau ne concerne pas uniquement les îles grecques mais aussi la capitale. À Athènes, des coupures d’eau tournantes ont été mises en place et la pression a été réduite aux heures de pointe. Les autorités multiplient les appels à une consommation responsable pour éviter l’assèchement total des réservoirs.
Un cocktail explosif : sécheresse, canicule et infrastructures défaillantes
Plusieurs facteurs expliquent cette crise de l’eau qui frappe durement le pays. Tout d’abord, une sécheresse exceptionnelle, avec des précipitations en baisse de 40% par rapport aux normales saisonnières. S’ajoute à cela une canicule précoce, avec des températures dépassant les 40°C dès le mois de juin. Enfin, les infrastructures vieillissantes et sous-dimensionnées aggravent la situation, avec des pertes importantes sur les réseaux de distribution.
Un réveil brutal pour le gouvernement grec
Face à l’urgence, le gouvernement grec a annoncé un plan d’investissement massif pour rénover et étendre les infrastructures de gestion de l’eau. Des mesures d’économie d’eau sont également imposées aux particuliers comme aux entreprises, avec des amendes à la clé pour les contrevenants. Mais pour beaucoup, ces actions arrivent bien tard et auraient dû être anticipées depuis longtemps.
Vers une prise de conscience écologique ?
Au-delà de la gestion de crise, cette pénurie d’eau pourrait être l’électrochoc nécessaire pour faire évoluer les mentalités en Grèce. Sensibiliser la population aux enjeux environnementaux, encourager les économies d’eau au quotidien, repenser l’urbanisme et le développement touristique en intégrant la contrainte hydrique… Autant de défis qui attendent le pays pour les années à venir, afin d’éviter que de telles situations ne se reproduisent.
Une chose est sûre : la Grèce, comme de nombreux pays méditerranéens, va devoir s’adapter en profondeur au réchauffement climatique et à ses conséquences sur les ressources en eau. La crise actuelle sonne comme un avertissement sérieux, appelant à une prise de conscience et à des actions concrètes pour préserver cette ressource vitale mais de plus en plus menacée.
