Mercredi soir au Camp Nou, les spectateurs ont assisté à un match complètement fou entre le FC Barcelone et l’Atlético Madrid. Les Colchoneros se sont imposés 2-1 à la dernière seconde grâce à un but de leur attaquant norvégien Alexander Sorloth, entré en cours de jeu. Un succès inespéré qui permet à l’Atlético de revenir à hauteur des Catalans en tête de la Liga.
L’incroyable entrée de Sorloth
Alors que plus rien ne semblait pouvoir se passer dans ce choc entre les deux co-leaders, Diego Simeone a eu le nez creux en lançant Alexander Sorloth à la 73e minute à la place d’un Antoine Griezmann très discret. Le puissant norvégien a immédiatement pesé sur la défense barcelonaise. Mobile et efficace dos au but, il a permis à son équipe de casser le rythme à plusieurs reprises.
Mais Sorloth ne s’est pas contenté d’un rôle d’essuie-glace. À la toute dernière seconde (90e+6), sur un ultime contre madrilène, il a surgi au second poteau pour reprendre victorieusement un centre tendu de Molina. Barcelone-Atlético 1-2, le hold-up parfait des hommes de Simeone, avec Sorloth dans le rôle du braqueur.
Oblak a tenu la baraque
Si l’Atlético s’en est sorti, il le doit aussi en grande partie à son portier Jan Oblak. Malgré l’ouverture du score de Pedri dès la 6e minute, le gardien slovène n’a rien lâché, multipliant les parades décisives, notamment en seconde période sous la pression barcelonaise. Comme sur son face à face remporté devant Pedri (88e) ou sa barre qui a stoppé une tentative de Raphinha.
Des stars dans un mauvais soir
Alors que Pedri a rayonné au milieu malgré la défaite des siens, deux grands noms sont passés au travers. Antoine Griezmann côté madrilène a beaucoup couru mais n’a jamais su se montrer dangereux. En face, Robert Lewandowski a été l’auteur d’une prestation bien terne, manquant notamment une immense occasion dans les arrêts de jeu, seul face au but sur un service de Torres.
Au final, dans ce match au scénario invraisemblable, c’est bien un « anonyme » qui a endossé le costume de héros. Grâce à l’entrée tonitruante de Sorloth, l’Atlético repart de Barcelone avec une victoire qui semblait impensable. Et relance ainsi complètement la Liga dans la course au titre.
Mais Sorloth ne s’est pas contenté d’un rôle d’essuie-glace. À la toute dernière seconde (90e+6), sur un ultime contre madrilène, il a surgi au second poteau pour reprendre victorieusement un centre tendu de Molina. Barcelone-Atlético 1-2, le hold-up parfait des hommes de Simeone, avec Sorloth dans le rôle du braqueur.
Oblak a tenu la baraque
Si l’Atlético s’en est sorti, il le doit aussi en grande partie à son portier Jan Oblak. Malgré l’ouverture du score de Pedri dès la 6e minute, le gardien slovène n’a rien lâché, multipliant les parades décisives, notamment en seconde période sous la pression barcelonaise. Comme sur son face à face remporté devant Pedri (88e) ou sa barre qui a stoppé une tentative de Raphinha.
Des stars dans un mauvais soir
Alors que Pedri a rayonné au milieu malgré la défaite des siens, deux grands noms sont passés au travers. Antoine Griezmann côté madrilène a beaucoup couru mais n’a jamais su se montrer dangereux. En face, Robert Lewandowski a été l’auteur d’une prestation bien terne, manquant notamment une immense occasion dans les arrêts de jeu, seul face au but sur un service de Torres.
Au final, dans ce match au scénario invraisemblable, c’est bien un « anonyme » qui a endossé le costume de héros. Grâce à l’entrée tonitruante de Sorloth, l’Atlético repart de Barcelone avec une victoire qui semblait impensable. Et relance ainsi complètement la Liga dans la course au titre.