La lutte, ce noble sport aux racines ancestrales, se retrouve aujourd’hui au cœur d’une polémique qui interroge les principes fondamentaux de la laïcité en France. Début octobre, lors des championnats du monde de lutte au Kazakhstan, la jeune Française Sana Ndiaye a concouru et est montée sur le podium vêtue d’un hijab de sport, en violation apparente des règles de neutralité imposées lors des compétitions officielles. Un événement symptomatique d’un phénomène plus large qui voit un islam conquérant s’immiscer de plus en plus dans les sphères sportives hexagonales.
Un renoncement de l’État face aux revendications religieuses
Comment expliquer qu’une athlète ait pu ainsi représenter la France sans respecter le principe de neutralité, alors même qu’elle avait précédemment été exclue de fédérations sportives nationales pour le port du voile ? Il semblerait que nous assistions ici à un nouvel exemple du renoncement de l’État à faire appliquer la loi face aux revendications religieuses. Une attitude de laisser-faire qui inquiète de nombreux observateurs.
“L’autorisation du port du voile lors de compétitions internationales sous les couleurs de la France constitue une brèche dangereuse dans le principe de laïcité. C’est ouvrir la porte à d’autres revendications communautaristes.”
– D’après une source proche des milieux sportifs
Prières dans les vestiaires et pression communautaire
Au-delà de la question du voile, c’est tout un ensemble de comportements liés à la pratique rigoriste de l’islam qui semble se banaliser dans certains clubs de lutte. Prières collectives dans les vestiaires, refus de serrer la main des personnes du sexe opposé, pression sur les athlètes non pratiquants… Autant de signaux alarmants rapportés par des témoins.
“Il devient de plus en plus difficile de faire respecter les règles de vie commune et la mixité dans les clubs. Certains athlètes subissent des pressions constantes pour se conformer à une pratique religieuse rigoriste, au détriment de la cohésion d’équipe.”
– Selon un entraîneur souhaitant garder l’anonymat
Vers une normalisation de l’islam politique dans le sport ?
Pour de nombreux spécialistes, ces dérives communautaristes observées dans la lutte française s’inscrivent dans une stratégie plus globale des mouvances islamistes visant à étendre leur influence sur la société par le biais du sport. Une “entrisme” rampant qui passe souvent inaperçu mais qui menace à terme la cohésion nationale et les valeurs républicaines.
“Le sport est devenu un vecteur privilégié pour les mouvements islamistes qui cherchent à promouvoir leur idéologie et à recruter de nouveaux adeptes, en particulier chez les jeunes. C’est un enjeu crucial pour la République de contrer cette offensive insidieuse.”
– Analyse un expert des questions d’islamisme
Quelles solutions pour défendre la laïcité dans le sport ?
Face à cette situation préoccupante, il apparaît urgent de réaffirmer avec force les principes de laïcité et de neutralité dans la sphère sportive. Cela passe notamment par :
- Une application stricte des règlements sportifs prohibant les signes religieux ostensibles
- Des sanctions exemplaires en cas de prosélytisme ou de pressions communautaires
- Des formations à la laïcité pour les éducateurs et dirigeants de clubs
- Des campagnes de sensibilisation à destination des jeunes sportifs
Il en va de la responsabilité de l’État, du mouvement sportif et de la société civile dans son ensemble d’œuvrer main dans la main pour endiguer les dérives islamistes et préserver ce précieux patrimoine qu’est la lutte, dans le respect des valeurs qui fondent notre pacte républicain. Un combat crucial pour l’avenir du sport français.
