ActualitésSport

Arsenal Inflige un Revers Cinglant au PSG en Ligue des Champions

Un PSG défait et dépassé ! Arsenal a dominé le club parisien 2-0 lors de la 2e journée de Ligue des Champions. Malgré des recrues estivales prometteuses, le PSG de Luis Enrique n'a pas résisté à l'intensité des Gunners. Un premier test raté qui soulève déjà des questions sur...

Après une entrée en lice poussive contre Gérone en ouverture de la Ligue des Champions, le Paris Saint-Germain affrontait ce soir un adversaire d’un tout autre calibre avec un déplacement à l’Emirates Stadium pour y défier Arsenal, 3e de Premier League. Et force est de constater que ce premier véritable test de la saison a tourné au fiasco pour les hommes de Luis Enrique, sèchement battus 2-0 par des Gunners réalistes et dominateurs.

Un PSG fébrile et dépassé

Dès l’entame du match, le PSG a semblé en difficulté face au rythme et au pressing imposé par les joueurs de Mikel Arteta. Fébriles défensivement, les Parisiens ont rapidement été mis sous pression et ont concédé plusieurs situations chaudes, à l’image de cette frappe de Bukayo Saka passée juste au-dessus (9e). Le jeune attaquant anglais, auteur d’un excellent début de saison, a d’ailleurs été un poison constant pour la défense parisienne.

En face, Paris a tenté de réagir par intermittence, à l’image de ce tir sur le poteau de Nuno Mendes (28e) ou de cette tête de Marquinhos au-dessus (85e). Mais globalement, les joueurs de la capitale ont peiné à se montrer dangereux, faute de mouvements et de créativité dans les 30 derniers mètres.

Havertz et Saka font la différence

Plus tranchants, les Gunners ont logiquement fini par ouvrir le score peu avant la mi-temps. Servi dans la surface par un centre de Leandro Trossard, Kai Havertz a devancé la sortie hasardeuse de Gianluigi Donnarumma pour marquer de la tête (1-0, 20e). Un but qui récompensait la domination territoriale des locaux.

Et comme un malheur n’arrive jamais seul, le PSG a très vite encaissé un deuxième but, cette fois sur coup franc. Bukayo Saka s’est chargé de l’exécution et sa frappe enroulée au premier poteau a une nouvelle fois mis en défaut un Donnarumma aux abois (2-0, 35e). Un doublé rapide qui a mis KO des Parisiens amorphes.

Paris ne s’en relève pas

Mené 2-0 à la pause, le PSG n’est pas parvenu à inverser la tendance au retour des vestiaires malgré quelques timides velléités offensives. Il a même fallu un grand Donnarumma pour éviter un 3e but, le portier italien se rattrapant de ses erreurs en repoussant une volée à bout portant de Gabriel Martinelli (51e).

Entré en jeu à l’heure de jeu, Randal Kolo Muani a tenté d’apporter sa puissance mais sans réussite. Idem pour Fabian Ruiz, qui n’a pas su bonifier son temps de jeu. Luis Enrique a bien essayé de modifier son système en fin de match mais la messe était dite. Le PSG est tombé sans gloire à l’Emirates (2-0).

Des questions déjà existentielles

Après ce revers cinglant, le PSG pointe à une peu reluisante 18e place du classement de la phase de groupes de la Ligue des Champions. Pas de quoi s’alarmer mais ce premier gros test raté soulève d’ores et déjà des interrogations sur le potentiel de cette équipe version Luis Enrique.

La prestation collective a été loin des standards requis à ce niveau, malgré les promesses entrevues lors du recrutement estival et lors des premières sorties. L’absence d’Ousmane Dembélé, écarté pour raisons disciplinaires, a certes pesé mais elle n’explique pas tout. Des cadres comme Marquinhos, Hakimi ou Vitinha sont passés au travers.

On n’a pas été à la hauteur. Arsenal a été meilleur et mérite cette victoire. Nous allons devoir corriger beaucoup de choses.

Luis Enrique au micro de Canal+

Le technicien espagnol, visiblement touché, a esquivé les questions sur ses choix tactiques et sur le cas Dembélé. Mais il sait que le chemin s’annonce long et escarpé pour hisser ce PSG new look au niveau des cadors européens. Avec déjà une certitude : les Parisiens devront montrer un tout autre visage lors des prochaines échéances s’ils veulent retrouver leur standing continental. Le chantier ne fait que commencer.

Et comme un malheur n’arrive jamais seul, le PSG a très vite encaissé un deuxième but, cette fois sur coup franc. Bukayo Saka s’est chargé de l’exécution et sa frappe enroulée au premier poteau a une nouvelle fois mis en défaut un Donnarumma aux abois (2-0, 35e). Un doublé rapide qui a mis KO des Parisiens amorphes.

Paris ne s’en relève pas

Mené 2-0 à la pause, le PSG n’est pas parvenu à inverser la tendance au retour des vestiaires malgré quelques timides velléités offensives. Il a même fallu un grand Donnarumma pour éviter un 3e but, le portier italien se rattrapant de ses erreurs en repoussant une volée à bout portant de Gabriel Martinelli (51e).

Entré en jeu à l’heure de jeu, Randal Kolo Muani a tenté d’apporter sa puissance mais sans réussite. Idem pour Fabian Ruiz, qui n’a pas su bonifier son temps de jeu. Luis Enrique a bien essayé de modifier son système en fin de match mais la messe était dite. Le PSG est tombé sans gloire à l’Emirates (2-0).

Des questions déjà existentielles

Après ce revers cinglant, le PSG pointe à une peu reluisante 18e place du classement de la phase de groupes de la Ligue des Champions. Pas de quoi s’alarmer mais ce premier gros test raté soulève d’ores et déjà des interrogations sur le potentiel de cette équipe version Luis Enrique.

La prestation collective a été loin des standards requis à ce niveau, malgré les promesses entrevues lors du recrutement estival et lors des premières sorties. L’absence d’Ousmane Dembélé, écarté pour raisons disciplinaires, a certes pesé mais elle n’explique pas tout. Des cadres comme Marquinhos, Hakimi ou Vitinha sont passés au travers.

On n’a pas été à la hauteur. Arsenal a été meilleur et mérite cette victoire. Nous allons devoir corriger beaucoup de choses.

Luis Enrique au micro de Canal+

Le technicien espagnol, visiblement touché, a esquivé les questions sur ses choix tactiques et sur le cas Dembélé. Mais il sait que le chemin s’annonce long et escarpé pour hisser ce PSG new look au niveau des cadors européens. Avec déjà une certitude : les Parisiens devront montrer un tout autre visage lors des prochaines échéances s’ils veulent retrouver leur standing continental. Le chantier ne fait que commencer.

Passionné et dévoué, j'explore sans cesse les nouvelles frontières de l'information et de la technologie. Pour explorer les options de sponsoring, contactez-nous.