Le dénouement de la demi-finale de Top 14 entre le Stade Français Paris et l’Union Bordeaux-Bègles ne cesse de faire parler. Au cœur de la polémique : les décisions arbitrales, et notamment la non-attribution d’un essai de pénalité en toute fin de rencontre pour les Parisiens, qui aurait pu leur permettre d’arracher les prolongations. Une pilule difficile à avaler pour le manager francilien Laurent Labit.
Un arbitrage pointé du doigt
Visiblement très remonté après ce match perdu sur le fil 24-25, Laurent Labit n’a pas mâché ses mots en conférence de presse. Il a en effet reproché à l’arbitre de la rencontre, M. Brousset, d’avoir été “un élément de plus contre nous” selon lui. Le technicien parisien estime que son équipe aurait dû bénéficier d’un essai de pénalité sur les dernières minutes.
Je dénombre 6 fautes répétées à 5 mètres de l’en-but bordelais. C’est une décision très difficile à accepter.
Laurent Labit, manager du Stade Français Paris
Des fautes répétées non sanctionnées ?
Malgré l’immense déception, Laurent Labit veut retenir le positif de cette saison et de la dynamique enclenchée. Le Stade Français semble avoir retrouvé de sa superbe et la capacité à jouer les premiers rôles en Top 14. Avec quelques ajustements offensifs, le club de la capitale veut continuer à grandir pour aller chercher le Brennus dans un avenir proche.
Cette demi-finale polémique restera dans les mémoires, avec le sentiment amer côté parisien que l’histoire aurait peut-être pu s’écrire différemment sans un arbitrage défavorable. Mais le rugby de haut niveau est ainsi fait, entre exploit et cruel scénario. Le Stade Français devra s’en servir pour continuer à avancer. En espérant que la réussite revienne vite du côté de Jean-Bouin.
Malgré l’immense déception, Laurent Labit veut retenir le positif de cette saison et de la dynamique enclenchée. Le Stade Français semble avoir retrouvé de sa superbe et la capacité à jouer les premiers rôles en Top 14. Avec quelques ajustements offensifs, le club de la capitale veut continuer à grandir pour aller chercher le Brennus dans un avenir proche.
Cette demi-finale polémique restera dans les mémoires, avec le sentiment amer côté parisien que l’histoire aurait peut-être pu s’écrire différemment sans un arbitrage défavorable. Mais le rugby de haut niveau est ainsi fait, entre exploit et cruel scénario. Le Stade Français devra s’en servir pour continuer à avancer. En espérant que la réussite revienne vite du côté de Jean-Bouin.
Au-delà de ce fait de jeu, Laurent Labit regrette aussi le manque de réalisme de ses joueurs, qui ont notamment gâché une belle occasion d’essai en première période. Trop souvent réduits à jouer au pied, les Parisiens ont peiné à mettre en place leur jeu offensif face au rideau défensif girondin.
On sait que le secteur où on doit le plus progresser, c’est le jeu offensif. Ce sera notre objectif pour la saison prochaine.
Laurent Labit
Une élimination cruelle donc pour le Stade Français, qui pensait bien pouvoir accrocher les prolongations après l’essai en coin de Sefanaia Naivalu. Mais la transformation ratée de Joris Segonds, pourtant excellent buteur, est venue sceller le sort du match. Le genre de scénario cruel que les Parisiens aimeraient ne plus avoir à revivre de sitôt.
Un avenir prometteur malgré la déception
Malgré l’immense déception, Laurent Labit veut retenir le positif de cette saison et de la dynamique enclenchée. Le Stade Français semble avoir retrouvé de sa superbe et la capacité à jouer les premiers rôles en Top 14. Avec quelques ajustements offensifs, le club de la capitale veut continuer à grandir pour aller chercher le Brennus dans un avenir proche.
Cette demi-finale polémique restera dans les mémoires, avec le sentiment amer côté parisien que l’histoire aurait peut-être pu s’écrire différemment sans un arbitrage défavorable. Mais le rugby de haut niveau est ainsi fait, entre exploit et cruel scénario. Le Stade Français devra s’en servir pour continuer à avancer. En espérant que la réussite revienne vite du côté de Jean-Bouin.
Au-delà de ce fait de jeu, Laurent Labit regrette aussi le manque de réalisme de ses joueurs, qui ont notamment gâché une belle occasion d’essai en première période. Trop souvent réduits à jouer au pied, les Parisiens ont peiné à mettre en place leur jeu offensif face au rideau défensif girondin.
On sait que le secteur où on doit le plus progresser, c’est le jeu offensif. Ce sera notre objectif pour la saison prochaine.
Laurent Labit
Une élimination cruelle donc pour le Stade Français, qui pensait bien pouvoir accrocher les prolongations après l’essai en coin de Sefanaia Naivalu. Mais la transformation ratée de Joris Segonds, pourtant excellent buteur, est venue sceller le sort du match. Le genre de scénario cruel que les Parisiens aimeraient ne plus avoir à revivre de sitôt.
Un avenir prometteur malgré la déception
Malgré l’immense déception, Laurent Labit veut retenir le positif de cette saison et de la dynamique enclenchée. Le Stade Français semble avoir retrouvé de sa superbe et la capacité à jouer les premiers rôles en Top 14. Avec quelques ajustements offensifs, le club de la capitale veut continuer à grandir pour aller chercher le Brennus dans un avenir proche.
Cette demi-finale polémique restera dans les mémoires, avec le sentiment amer côté parisien que l’histoire aurait peut-être pu s’écrire différemment sans un arbitrage défavorable. Mais le rugby de haut niveau est ainsi fait, entre exploit et cruel scénario. Le Stade Français devra s’en servir pour continuer à avancer. En espérant que la réussite revienne vite du côté de Jean-Bouin.
Les images montrent en effet plusieurs effondrements volontaires de la défense bordelaise sur les picks and go parisiens proche de l’en-but. Suffisant pour accorder un essai de pénalité ? La question fait débat.
Des regrets offensifs
Au-delà de ce fait de jeu, Laurent Labit regrette aussi le manque de réalisme de ses joueurs, qui ont notamment gâché une belle occasion d’essai en première période. Trop souvent réduits à jouer au pied, les Parisiens ont peiné à mettre en place leur jeu offensif face au rideau défensif girondin.
On sait que le secteur où on doit le plus progresser, c’est le jeu offensif. Ce sera notre objectif pour la saison prochaine.
Laurent Labit
Une élimination cruelle donc pour le Stade Français, qui pensait bien pouvoir accrocher les prolongations après l’essai en coin de Sefanaia Naivalu. Mais la transformation ratée de Joris Segonds, pourtant excellent buteur, est venue sceller le sort du match. Le genre de scénario cruel que les Parisiens aimeraient ne plus avoir à revivre de sitôt.
Un avenir prometteur malgré la déception
Malgré l’immense déception, Laurent Labit veut retenir le positif de cette saison et de la dynamique enclenchée. Le Stade Français semble avoir retrouvé de sa superbe et la capacité à jouer les premiers rôles en Top 14. Avec quelques ajustements offensifs, le club de la capitale veut continuer à grandir pour aller chercher le Brennus dans un avenir proche.
Cette demi-finale polémique restera dans les mémoires, avec le sentiment amer côté parisien que l’histoire aurait peut-être pu s’écrire différemment sans un arbitrage défavorable. Mais le rugby de haut niveau est ainsi fait, entre exploit et cruel scénario. Le Stade Français devra s’en servir pour continuer à avancer. En espérant que la réussite revienne vite du côté de Jean-Bouin.
Les images montrent en effet plusieurs effondrements volontaires de la défense bordelaise sur les picks and go parisiens proche de l’en-but. Suffisant pour accorder un essai de pénalité ? La question fait débat.
Des regrets offensifs
Au-delà de ce fait de jeu, Laurent Labit regrette aussi le manque de réalisme de ses joueurs, qui ont notamment gâché une belle occasion d’essai en première période. Trop souvent réduits à jouer au pied, les Parisiens ont peiné à mettre en place leur jeu offensif face au rideau défensif girondin.
On sait que le secteur où on doit le plus progresser, c’est le jeu offensif. Ce sera notre objectif pour la saison prochaine.
Laurent Labit
Une élimination cruelle donc pour le Stade Français, qui pensait bien pouvoir accrocher les prolongations après l’essai en coin de Sefanaia Naivalu. Mais la transformation ratée de Joris Segonds, pourtant excellent buteur, est venue sceller le sort du match. Le genre de scénario cruel que les Parisiens aimeraient ne plus avoir à revivre de sitôt.
Un avenir prometteur malgré la déception
Malgré l’immense déception, Laurent Labit veut retenir le positif de cette saison et de la dynamique enclenchée. Le Stade Français semble avoir retrouvé de sa superbe et la capacité à jouer les premiers rôles en Top 14. Avec quelques ajustements offensifs, le club de la capitale veut continuer à grandir pour aller chercher le Brennus dans un avenir proche.
Cette demi-finale polémique restera dans les mémoires, avec le sentiment amer côté parisien que l’histoire aurait peut-être pu s’écrire différemment sans un arbitrage défavorable. Mais le rugby de haut niveau est ainsi fait, entre exploit et cruel scénario. Le Stade Français devra s’en servir pour continuer à avancer. En espérant que la réussite revienne vite du côté de Jean-Bouin.
L’entraîneur des Soldats Roses déplore que les fautes répétées des Girondins à proximité de leur ligne n’aient pas été plus sévèrement sanctionnées par l’arbitre. Il fait notamment référence à une action qui aurait pu selon lui valoir un essai de pénalité et donc un retour à égalité au score.
M. Brousset a certes adressé un carton jaune au troisième ligne bordelais Bastien Vergnes-Taillefer en fin de match pour des fautes répétées dans les 5 mètres, mais n’a pas estimé bon d’accorder un essai de pénalité malgré la forte pression parisienne.
Les images montrent en effet plusieurs effondrements volontaires de la défense bordelaise sur les picks and go parisiens proche de l’en-but. Suffisant pour accorder un essai de pénalité ? La question fait débat.
Des regrets offensifs
Au-delà de ce fait de jeu, Laurent Labit regrette aussi le manque de réalisme de ses joueurs, qui ont notamment gâché une belle occasion d’essai en première période. Trop souvent réduits à jouer au pied, les Parisiens ont peiné à mettre en place leur jeu offensif face au rideau défensif girondin.
On sait que le secteur où on doit le plus progresser, c’est le jeu offensif. Ce sera notre objectif pour la saison prochaine.
Laurent Labit
Une élimination cruelle donc pour le Stade Français, qui pensait bien pouvoir accrocher les prolongations après l’essai en coin de Sefanaia Naivalu. Mais la transformation ratée de Joris Segonds, pourtant excellent buteur, est venue sceller le sort du match. Le genre de scénario cruel que les Parisiens aimeraient ne plus avoir à revivre de sitôt.
Un avenir prometteur malgré la déception
Malgré l’immense déception, Laurent Labit veut retenir le positif de cette saison et de la dynamique enclenchée. Le Stade Français semble avoir retrouvé de sa superbe et la capacité à jouer les premiers rôles en Top 14. Avec quelques ajustements offensifs, le club de la capitale veut continuer à grandir pour aller chercher le Brennus dans un avenir proche.
Cette demi-finale polémique restera dans les mémoires, avec le sentiment amer côté parisien que l’histoire aurait peut-être pu s’écrire différemment sans un arbitrage défavorable. Mais le rugby de haut niveau est ainsi fait, entre exploit et cruel scénario. Le Stade Français devra s’en servir pour continuer à avancer. En espérant que la réussite revienne vite du côté de Jean-Bouin.
L’entraîneur des Soldats Roses déplore que les fautes répétées des Girondins à proximité de leur ligne n’aient pas été plus sévèrement sanctionnées par l’arbitre. Il fait notamment référence à une action qui aurait pu selon lui valoir un essai de pénalité et donc un retour à égalité au score.
M. Brousset a certes adressé un carton jaune au troisième ligne bordelais Bastien Vergnes-Taillefer en fin de match pour des fautes répétées dans les 5 mètres, mais n’a pas estimé bon d’accorder un essai de pénalité malgré la forte pression parisienne.
Les images montrent en effet plusieurs effondrements volontaires de la défense bordelaise sur les picks and go parisiens proche de l’en-but. Suffisant pour accorder un essai de pénalité ? La question fait débat.
Des regrets offensifs
Au-delà de ce fait de jeu, Laurent Labit regrette aussi le manque de réalisme de ses joueurs, qui ont notamment gâché une belle occasion d’essai en première période. Trop souvent réduits à jouer au pied, les Parisiens ont peiné à mettre en place leur jeu offensif face au rideau défensif girondin.
On sait que le secteur où on doit le plus progresser, c’est le jeu offensif. Ce sera notre objectif pour la saison prochaine.
Laurent Labit
Une élimination cruelle donc pour le Stade Français, qui pensait bien pouvoir accrocher les prolongations après l’essai en coin de Sefanaia Naivalu. Mais la transformation ratée de Joris Segonds, pourtant excellent buteur, est venue sceller le sort du match. Le genre de scénario cruel que les Parisiens aimeraient ne plus avoir à revivre de sitôt.
Un avenir prometteur malgré la déception
Malgré l’immense déception, Laurent Labit veut retenir le positif de cette saison et de la dynamique enclenchée. Le Stade Français semble avoir retrouvé de sa superbe et la capacité à jouer les premiers rôles en Top 14. Avec quelques ajustements offensifs, le club de la capitale veut continuer à grandir pour aller chercher le Brennus dans un avenir proche.
Cette demi-finale polémique restera dans les mémoires, avec le sentiment amer côté parisien que l’histoire aurait peut-être pu s’écrire différemment sans un arbitrage défavorable. Mais le rugby de haut niveau est ainsi fait, entre exploit et cruel scénario. Le Stade Français devra s’en servir pour continuer à avancer. En espérant que la réussite revienne vite du côté de Jean-Bouin.