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Airbags meurtriers : Ford et Toyota rattrapées par le scandale !

Ford et Toyota aussi touchées par les airbags tueurs en Guadeloupe ! Deux nouveaux décès s'ajoutent au bilan tragique. Jusqu'où ira le scandale des airbags Takata ? 😱 #AirbagsTakata #SécuritéAutomobile #RappelVoitures

Le scandale des airbags défectueux de l’équipementier japonais Takata ne cesse de s’étendre. Après les révélations chocs sur les explosions mortelles dans des Citroën C3 et DS3, voilà que Ford et Toyota sont à leur tour éclaboussées. Selon nos informations exclusives, deux nouveaux accidents fatals impliquant les coussins de sécurité Takata viennent d’être portés à la connaissance du juge d’instruction en charge de l’enquête en Guadeloupe.

Ford et Toyota, les nouveaux constructeurs touchés

C’est un véritable coup de tonnerre dans l’affaire des airbags meurtriers. Alors que l’enquête se concentrait jusqu’ici sur les modèles du groupe Stellantis (Citroën C3, DS3), elle vient de prendre une nouvelle dimension avec l’implication de deux géants mondiaux de l’automobile : Ford et Toyota. Les faits remontent à 2020, lorsque deux conducteurs ont tragiquement perdu la vie en Guadeloupe suite au déclenchement brutal de leurs airbags.

Si les circonstances exactes restent à éclaircir, tout laisse à penser que les coussins gonflables en cause sont ceux de Takata, déjà pointés du doigt pour leur caractère défectueux et dangereux. Un risque d’explosion fatal, lié à une dégradation du composant au fil du temps, en particulier dans les régions à fort taux d’humidité comme les Antilles.

Une enquête qui s’élargit, un bilan qui s’alourdit

Avec ces deux nouveaux cas mortels, c’est désormais un total de 5 décès et 2 blessés graves qui sont examinés par la justice guadeloupéenne dans le cadre d’une information judiciaire pour “blessures et homicides involontaires”. Des drames qui auraient pu être évités si les rappels de véhicules avaient été menés de manière plus diligente et exhaustive par les constructeurs.

Il est temps que toute la lumière soit faite sur ce scandale sanitaire et industriel, et que les responsabilités soient clairement établies.

– Me Jérémy Kalfon, avocat des familles de victimes

À l’heure où Stellantis a lancé un rappel massif de 500 000 C3 et DS3 dans 24 pays, dont la France, on peut s’interroger sur l’ampleur réelle du problème chez Ford, Toyota et potentiellement d’autres marques. Combien de véhicules sont concernés ? Combien d’accidents ont été dissimulés ? Les clients ont-ils été dûment informés des risques ? Autant de questions qui devront être tirées au clair par les investigations en cours.

Les airbags Takata, une bombe à retardement

Rappelons que le groupe nippon Takata, leader mondial des airbags, a été au cœur d’un scandale planétaire en 2014 après la révélation de défauts susceptibles de provoquer une explosion du système de gonflage, projetant des fragments mortels au visage des occupants. Un drame qui a déjà coûté la vie à 28 personnes dans le monde et fait plus de 300 blessés.

Suite à ce scandale, près de 200 millions de véhicules ont été rappelés par les grands constructeurs (Honda, BMW, GM, Ford…), le plus vaste rappel de l’histoire automobile. Mais visiblement, tous n’ont pas pris la mesure du danger ni agi avec la célérité nécessaire. Et surtout, des millions de voitures potentiellement à risque circuleraient encore, comme une bombe à retardement.

Mesures d’urgence et réparations nécessaires

Face à ce constat alarmant, il y a urgence à agir pour éviter de nouvelles tragédies. Les autorités doivent prendre des mesures fortes pour obliger les constructeurs à assumer leurs responsabilités :

  • Rappeler sans délai tous les véhicules encore équipés d’airbags Takata non modifiés
  • Fournir gratuitement les pièces de remplacement et procéder aux réparations
  • Mener une campagne d’information massive auprès des propriétaires et du grand public
  • Indemniser justement les victimes et familles endeuillées

Il en va de la sécurité de tous les automobilistes. Ces airbags défectueux sont une véritable épée de Damoclès qui nécessite une réponse ferme et sans délai. Espérons que le drame guadeloupéen serve d’électrochoc pour une prise de conscience et des actes forts. Car chaque jour perdu expose à de nouveaux drames.

Rappelons que le groupe nippon Takata, leader mondial des airbags, a été au cœur d’un scandale planétaire en 2014 après la révélation de défauts susceptibles de provoquer une explosion du système de gonflage, projetant des fragments mortels au visage des occupants. Un drame qui a déjà coûté la vie à 28 personnes dans le monde et fait plus de 300 blessés.

Suite à ce scandale, près de 200 millions de véhicules ont été rappelés par les grands constructeurs (Honda, BMW, GM, Ford…), le plus vaste rappel de l’histoire automobile. Mais visiblement, tous n’ont pas pris la mesure du danger ni agi avec la célérité nécessaire. Et surtout, des millions de voitures potentiellement à risque circuleraient encore, comme une bombe à retardement.

Mesures d’urgence et réparations nécessaires

Face à ce constat alarmant, il y a urgence à agir pour éviter de nouvelles tragédies. Les autorités doivent prendre des mesures fortes pour obliger les constructeurs à assumer leurs responsabilités :

  • Rappeler sans délai tous les véhicules encore équipés d’airbags Takata non modifiés
  • Fournir gratuitement les pièces de remplacement et procéder aux réparations
  • Mener une campagne d’information massive auprès des propriétaires et du grand public
  • Indemniser justement les victimes et familles endeuillées

Il en va de la sécurité de tous les automobilistes. Ces airbags défectueux sont une véritable épée de Damoclès qui nécessite une réponse ferme et sans délai. Espérons que le drame guadeloupéen serve d’électrochoc pour une prise de conscience et des actes forts. Car chaque jour perdu expose à de nouveaux drames.

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