Le retour sur les terrains d’Oscar Jegou, international français de rugby inculpé pour viol en Argentine, ne passe pas inaperçu. Titularisé ce samedi par le Stade Rochelais pour affronter le Stade Français, le troisième ligne fait ainsi sa première apparition de la saison, ravivant l’attention sur une affaire loin d’être élucidée.
Une inculpation toujours en cours
Rappelons les faits : le 6 juillet dernier, au lendemain de sa première sélection avec le XV de France contre l’Argentine à Mendoza, Oscar Jegou et son coéquipier Hugo Auradou sont accusés de viol par une femme de 39 ans rencontrée en boîte de nuit. Inculpés pour “viol aggravé”, les deux hommes nient toute violence et affirment que la relation était consentie.
Le monde du rugby, souvent pointé du doigt pour son entre-soi et son manque de considération envers les victimes présumées dans ce type de dossiers, se doit d’être irréprochable et transparent dans sa gestion de telles situations. La recherche de la vérité et le respect du cadre judiciaire doivent primer sur toute autre considération, y compris les impératifs sportifs.
Il conviendra donc de suivre de près l’évolution de cette affaire dans les prochaines semaines, tant sur le plan judiciaire qu’au niveau de la communication et des décisions du club. La Rochelle et le rugby français dans son ensemble ont une responsabilité dans le message envoyé à la société sur ces sujets sensibles. Espérons que la sagesse et l’exemplarité seront au rendez-vous.
Le monde du rugby, souvent pointé du doigt pour son entre-soi et son manque de considération envers les victimes présumées dans ce type de dossiers, se doit d’être irréprochable et transparent dans sa gestion de telles situations. La recherche de la vérité et le respect du cadre judiciaire doivent primer sur toute autre considération, y compris les impératifs sportifs.
Il conviendra donc de suivre de près l’évolution de cette affaire dans les prochaines semaines, tant sur le plan judiciaire qu’au niveau de la communication et des décisions du club. La Rochelle et le rugby français dans son ensemble ont une responsabilité dans le message envoyé à la société sur ces sujets sensibles. Espérons que la sagesse et l’exemplarité seront au rendez-vous.
Ce retour à une “normalité” sportive ne doit cependant pas faire oublier la gravité des accusations portées contre Oscar Jegou. Même si la présomption d’innocence doit prévaloir, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur l’opportunité d’une telle titularisation alors que l’affaire est en cours.
Le monde du rugby, souvent pointé du doigt pour son entre-soi et son manque de considération envers les victimes présumées dans ce type de dossiers, se doit d’être irréprochable et transparent dans sa gestion de telles situations. La recherche de la vérité et le respect du cadre judiciaire doivent primer sur toute autre considération, y compris les impératifs sportifs.
Il conviendra donc de suivre de près l’évolution de cette affaire dans les prochaines semaines, tant sur le plan judiciaire qu’au niveau de la communication et des décisions du club. La Rochelle et le rugby français dans son ensemble ont une responsabilité dans le message envoyé à la société sur ces sujets sensibles. Espérons que la sagesse et l’exemplarité seront au rendez-vous.
Ce retour à une “normalité” sportive ne doit cependant pas faire oublier la gravité des accusations portées contre Oscar Jegou. Même si la présomption d’innocence doit prévaloir, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur l’opportunité d’une telle titularisation alors que l’affaire est en cours.
Le monde du rugby, souvent pointé du doigt pour son entre-soi et son manque de considération envers les victimes présumées dans ce type de dossiers, se doit d’être irréprochable et transparent dans sa gestion de telles situations. La recherche de la vérité et le respect du cadre judiciaire doivent primer sur toute autre considération, y compris les impératifs sportifs.
Il conviendra donc de suivre de près l’évolution de cette affaire dans les prochaines semaines, tant sur le plan judiciaire qu’au niveau de la communication et des décisions du club. La Rochelle et le rugby français dans son ensemble ont une responsabilité dans le message envoyé à la société sur ces sujets sensibles. Espérons que la sagesse et l’exemplarité seront au rendez-vous.
Après une période de détention provisoire puis d’assignation à résidence en Argentine, les deux rugbymen ont pu rentrer en France début septembre. Mais la procédure judiciaire, elle, suit son cours. La dernière audience devant statuer sur une demande de non-lieu des joueurs, initialement prévue ce vendredi, a finalement été repoussée sine die selon des sources judiciaires argentines.
Un retour progressif à la compétition
Si Hugo Auradou, qui évolue à Pau, a rapidement retrouvé les terrains dès début octobre, le retour d’Oscar Jegou s’est fait plus discret. Le staff rochelais avait dans un premier temps conditionné sa réintégration à une décision de non-lieu. Une ligne directrice visiblement modifiée par les différents reports de l’audience, mais aussi par une pénurie de troisièmes lignes au sein de l’effectif maritime.
Entre les absences du capitaine Grégory Alldritt et de Paul Boudehent, retenus en équipe de France, la suspension de Judicaël Cancoriet et la blessure du fidjien Levani Botia, les options semblaient effectivement limitées au poste. Une situation qui a sans doute précipité le comeback de Jegou, dont l’entraîneur adjoint Rémi Talès se félicitait jeudi : “On est très content de le revoir sur le terrain et de le voir jouer au rugby“.
Des interrogations persistantes
Ce retour à une “normalité” sportive ne doit cependant pas faire oublier la gravité des accusations portées contre Oscar Jegou. Même si la présomption d’innocence doit prévaloir, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur l’opportunité d’une telle titularisation alors que l’affaire est en cours.
Le monde du rugby, souvent pointé du doigt pour son entre-soi et son manque de considération envers les victimes présumées dans ce type de dossiers, se doit d’être irréprochable et transparent dans sa gestion de telles situations. La recherche de la vérité et le respect du cadre judiciaire doivent primer sur toute autre considération, y compris les impératifs sportifs.
Il conviendra donc de suivre de près l’évolution de cette affaire dans les prochaines semaines, tant sur le plan judiciaire qu’au niveau de la communication et des décisions du club. La Rochelle et le rugby français dans son ensemble ont une responsabilité dans le message envoyé à la société sur ces sujets sensibles. Espérons que la sagesse et l’exemplarité seront au rendez-vous.
Après une période de détention provisoire puis d’assignation à résidence en Argentine, les deux rugbymen ont pu rentrer en France début septembre. Mais la procédure judiciaire, elle, suit son cours. La dernière audience devant statuer sur une demande de non-lieu des joueurs, initialement prévue ce vendredi, a finalement été repoussée sine die selon des sources judiciaires argentines.
Un retour progressif à la compétition
Si Hugo Auradou, qui évolue à Pau, a rapidement retrouvé les terrains dès début octobre, le retour d’Oscar Jegou s’est fait plus discret. Le staff rochelais avait dans un premier temps conditionné sa réintégration à une décision de non-lieu. Une ligne directrice visiblement modifiée par les différents reports de l’audience, mais aussi par une pénurie de troisièmes lignes au sein de l’effectif maritime.
Entre les absences du capitaine Grégory Alldritt et de Paul Boudehent, retenus en équipe de France, la suspension de Judicaël Cancoriet et la blessure du fidjien Levani Botia, les options semblaient effectivement limitées au poste. Une situation qui a sans doute précipité le comeback de Jegou, dont l’entraîneur adjoint Rémi Talès se félicitait jeudi : “On est très content de le revoir sur le terrain et de le voir jouer au rugby“.
Des interrogations persistantes
Ce retour à une “normalité” sportive ne doit cependant pas faire oublier la gravité des accusations portées contre Oscar Jegou. Même si la présomption d’innocence doit prévaloir, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur l’opportunité d’une telle titularisation alors que l’affaire est en cours.
Le monde du rugby, souvent pointé du doigt pour son entre-soi et son manque de considération envers les victimes présumées dans ce type de dossiers, se doit d’être irréprochable et transparent dans sa gestion de telles situations. La recherche de la vérité et le respect du cadre judiciaire doivent primer sur toute autre considération, y compris les impératifs sportifs.
Il conviendra donc de suivre de près l’évolution de cette affaire dans les prochaines semaines, tant sur le plan judiciaire qu’au niveau de la communication et des décisions du club. La Rochelle et le rugby français dans son ensemble ont une responsabilité dans le message envoyé à la société sur ces sujets sensibles. Espérons que la sagesse et l’exemplarité seront au rendez-vous.