C’est une décision qui a pris tout le monde de court. Au soir du scrutin des élections européennes qui a vu la large victoire du Rassemblement National, Emmanuel Macron a annoncé face caméra la dissolution de l’Assemblée nationale. Une façon de reprendre la main après une campagne tumultueuse ? Le résultat d’un long cheminement ? Retour sur les coulisses d’un choix aux lourdes conséquences.
Un dimanche électrique à l’Élysée
Selon nos informations, l’idée d’une dissolution a commencé à circuler au sein des proches conseillers du Président dès le matin du scrutin. Plusieurs réunions se sont enchaînées tout au long de la journée pour analyser les résultats et envisager les différents scénarios.
Emmanuel Macron, connu pour sa capacité à trancher dans le vif, semble avoir été séduit par cette option permettant de relancer une dynamique positive pour la majorité après une séquence compliquée. Mais il aura fallu convaincre tout l’état-major, loin d’être unanime sur un tel électrochoc.
Des débats houleux en coulisses
Place désormais à une campagne éclair de quatre semaines qui s’annonce intense et indécise. Là où la macronie espère surfer sur son bilan et son projet, l’opposition entend transformer le scrutin en référendum anti-Macron. Rien n’est joué.
- La majorité sortante parviendra-t-elle à convaincre de sa solidité ?
- Les Républicains profiteront-ils de leur résultat honorable aux européennes ?
- La NUPES réussira-t-elle à capitaliser sur sa dynamique ?
- Le RN confirmera-t-il sa première place et peut-il viser une majorité de sièges ?
Autant de questions qui trouveront leurs réponses dans les urnes début juillet, au terme d’une séquence politique aussi inattendue qu’inédite. Avec un suspense majeur : Emmanuel Macron obtiendra-t-il la majorité dont il a besoin pour gouverner ? Réponse dans 28 jours.
Place désormais à une campagne éclair de quatre semaines qui s’annonce intense et indécise. Là où la macronie espère surfer sur son bilan et son projet, l’opposition entend transformer le scrutin en référendum anti-Macron. Rien n’est joué.
- La majorité sortante parviendra-t-elle à convaincre de sa solidité ?
- Les Républicains profiteront-ils de leur résultat honorable aux européennes ?
- La NUPES réussira-t-elle à capitaliser sur sa dynamique ?
- Le RN confirmera-t-il sa première place et peut-il viser une majorité de sièges ?
Autant de questions qui trouveront leurs réponses dans les urnes début juillet, au terme d’une séquence politique aussi inattendue qu’inédite. Avec un suspense majeur : Emmanuel Macron obtiendra-t-il la majorité dont il a besoin pour gouverner ? Réponse dans 28 jours.
Il fallait créer un électrochoc, remettre les compteurs à zéro. Le seul moyen était de renvoyer les députés devant les électeurs.
– Un proche du président
Macron tranche en faveur d’un pari risqué
Au final, c’est bien le scénario de la dissolution qui l’a emporté. Emmanuel Macron aurait été convaincu qu’il s’agissait du meilleur moyen de relancer la machine, quitte à prendre le risque d’une cohabitation en cas de victoire des oppositions.
Un choix osé mais cohérent avec le logiciel politique d’un président adepte des coups de poker. En renvoyant les Français aux urnes les 30 juin et 7 juillet prochains, il espère rebattre les cartes et offrir un nouveau souffle à son quinquennat.
Les dessous d’une déclaration soigneusement orchestrée
Une fois la décision prise, tout s’est accéléré pour permettre l’allocution présidentielle dès 21h. Les équipes de l’Élysée se sont attelées à rédiger un discours en un temps record, avec un objectif : marquer les esprits et poser le chef de l’État en homme de décision.
Dans le même temps, toute la communication était soigneusement orchestrée pour créer un effet de surprise et empêcher les fuites. Pari réussi : l’annonce d’Emmanuel Macron a eu l’effet d’une bombe dans le paysage politique.
Et maintenant ? Les inconnues du nouveau scrutin
Place désormais à une campagne éclair de quatre semaines qui s’annonce intense et indécise. Là où la macronie espère surfer sur son bilan et son projet, l’opposition entend transformer le scrutin en référendum anti-Macron. Rien n’est joué.
- La majorité sortante parviendra-t-elle à convaincre de sa solidité ?
- Les Républicains profiteront-ils de leur résultat honorable aux européennes ?
- La NUPES réussira-t-elle à capitaliser sur sa dynamique ?
- Le RN confirmera-t-il sa première place et peut-il viser une majorité de sièges ?
Autant de questions qui trouveront leurs réponses dans les urnes début juillet, au terme d’une séquence politique aussi inattendue qu’inédite. Avec un suspense majeur : Emmanuel Macron obtiendra-t-il la majorité dont il a besoin pour gouverner ? Réponse dans 28 jours.
Il fallait créer un électrochoc, remettre les compteurs à zéro. Le seul moyen était de renvoyer les députés devant les électeurs.
– Un proche du président
Macron tranche en faveur d’un pari risqué
Au final, c’est bien le scénario de la dissolution qui l’a emporté. Emmanuel Macron aurait été convaincu qu’il s’agissait du meilleur moyen de relancer la machine, quitte à prendre le risque d’une cohabitation en cas de victoire des oppositions.
Un choix osé mais cohérent avec le logiciel politique d’un président adepte des coups de poker. En renvoyant les Français aux urnes les 30 juin et 7 juillet prochains, il espère rebattre les cartes et offrir un nouveau souffle à son quinquennat.
Les dessous d’une déclaration soigneusement orchestrée
Une fois la décision prise, tout s’est accéléré pour permettre l’allocution présidentielle dès 21h. Les équipes de l’Élysée se sont attelées à rédiger un discours en un temps record, avec un objectif : marquer les esprits et poser le chef de l’État en homme de décision.
Dans le même temps, toute la communication était soigneusement orchestrée pour créer un effet de surprise et empêcher les fuites. Pari réussi : l’annonce d’Emmanuel Macron a eu l’effet d’une bombe dans le paysage politique.
Et maintenant ? Les inconnues du nouveau scrutin
Place désormais à une campagne éclair de quatre semaines qui s’annonce intense et indécise. Là où la macronie espère surfer sur son bilan et son projet, l’opposition entend transformer le scrutin en référendum anti-Macron. Rien n’est joué.
- La majorité sortante parviendra-t-elle à convaincre de sa solidité ?
- Les Républicains profiteront-ils de leur résultat honorable aux européennes ?
- La NUPES réussira-t-elle à capitaliser sur sa dynamique ?
- Le RN confirmera-t-il sa première place et peut-il viser une majorité de sièges ?
Autant de questions qui trouveront leurs réponses dans les urnes début juillet, au terme d’une séquence politique aussi inattendue qu’inédite. Avec un suspense majeur : Emmanuel Macron obtiendra-t-il la majorité dont il a besoin pour gouverner ? Réponse dans 28 jours.
D’après plusieurs témoins, les échanges ont été vifs et passionnés entre les différentes sensibilités de la macronie. Si les « politiques » comme Édouard Philippe ou François Bayrou se montraient plutôt réticents, redoutant un vote sanction, les stratèges comme Alexis Kohler ont eux poussé pour un coup d’éclat.
Il fallait créer un électrochoc, remettre les compteurs à zéro. Le seul moyen était de renvoyer les députés devant les électeurs.
– Un proche du président
Macron tranche en faveur d’un pari risqué
Au final, c’est bien le scénario de la dissolution qui l’a emporté. Emmanuel Macron aurait été convaincu qu’il s’agissait du meilleur moyen de relancer la machine, quitte à prendre le risque d’une cohabitation en cas de victoire des oppositions.
Un choix osé mais cohérent avec le logiciel politique d’un président adepte des coups de poker. En renvoyant les Français aux urnes les 30 juin et 7 juillet prochains, il espère rebattre les cartes et offrir un nouveau souffle à son quinquennat.
Les dessous d’une déclaration soigneusement orchestrée
Une fois la décision prise, tout s’est accéléré pour permettre l’allocution présidentielle dès 21h. Les équipes de l’Élysée se sont attelées à rédiger un discours en un temps record, avec un objectif : marquer les esprits et poser le chef de l’État en homme de décision.
Dans le même temps, toute la communication était soigneusement orchestrée pour créer un effet de surprise et empêcher les fuites. Pari réussi : l’annonce d’Emmanuel Macron a eu l’effet d’une bombe dans le paysage politique.
Et maintenant ? Les inconnues du nouveau scrutin
Place désormais à une campagne éclair de quatre semaines qui s’annonce intense et indécise. Là où la macronie espère surfer sur son bilan et son projet, l’opposition entend transformer le scrutin en référendum anti-Macron. Rien n’est joué.
- La majorité sortante parviendra-t-elle à convaincre de sa solidité ?
- Les Républicains profiteront-ils de leur résultat honorable aux européennes ?
- La NUPES réussira-t-elle à capitaliser sur sa dynamique ?
- Le RN confirmera-t-il sa première place et peut-il viser une majorité de sièges ?
Autant de questions qui trouveront leurs réponses dans les urnes début juillet, au terme d’une séquence politique aussi inattendue qu’inédite. Avec un suspense majeur : Emmanuel Macron obtiendra-t-il la majorité dont il a besoin pour gouverner ? Réponse dans 28 jours.
D’après plusieurs témoins, les échanges ont été vifs et passionnés entre les différentes sensibilités de la macronie. Si les « politiques » comme Édouard Philippe ou François Bayrou se montraient plutôt réticents, redoutant un vote sanction, les stratèges comme Alexis Kohler ont eux poussé pour un coup d’éclat.
Il fallait créer un électrochoc, remettre les compteurs à zéro. Le seul moyen était de renvoyer les députés devant les électeurs.
– Un proche du président
Macron tranche en faveur d’un pari risqué
Au final, c’est bien le scénario de la dissolution qui l’a emporté. Emmanuel Macron aurait été convaincu qu’il s’agissait du meilleur moyen de relancer la machine, quitte à prendre le risque d’une cohabitation en cas de victoire des oppositions.
Un choix osé mais cohérent avec le logiciel politique d’un président adepte des coups de poker. En renvoyant les Français aux urnes les 30 juin et 7 juillet prochains, il espère rebattre les cartes et offrir un nouveau souffle à son quinquennat.
Les dessous d’une déclaration soigneusement orchestrée
Une fois la décision prise, tout s’est accéléré pour permettre l’allocution présidentielle dès 21h. Les équipes de l’Élysée se sont attelées à rédiger un discours en un temps record, avec un objectif : marquer les esprits et poser le chef de l’État en homme de décision.
Dans le même temps, toute la communication était soigneusement orchestrée pour créer un effet de surprise et empêcher les fuites. Pari réussi : l’annonce d’Emmanuel Macron a eu l’effet d’une bombe dans le paysage politique.
Et maintenant ? Les inconnues du nouveau scrutin
Place désormais à une campagne éclair de quatre semaines qui s’annonce intense et indécise. Là où la macronie espère surfer sur son bilan et son projet, l’opposition entend transformer le scrutin en référendum anti-Macron. Rien n’est joué.
- La majorité sortante parviendra-t-elle à convaincre de sa solidité ?
- Les Républicains profiteront-ils de leur résultat honorable aux européennes ?
- La NUPES réussira-t-elle à capitaliser sur sa dynamique ?
- Le RN confirmera-t-il sa première place et peut-il viser une majorité de sièges ?
Autant de questions qui trouveront leurs réponses dans les urnes début juillet, au terme d’une séquence politique aussi inattendue qu’inédite. Avec un suspense majeur : Emmanuel Macron obtiendra-t-il la majorité dont il a besoin pour gouverner ? Réponse dans 28 jours.