C’était un match sans grand enjeu pour l’Union Bordeaux Bègles, déjà qualifiée pour les barrages du Top 14. Mais la rencontre contre Oyonnax a pris une tournure dramatique à la 74e minute. Matthieu Jalibert, le demi d’ouverture et maître à jouer de l’UBB, est resté au sol, visiblement touché à la cuisse gauche. Celle-là même qui l’avait contraint à déclarer forfait pour une bonne partie du Tournoi des Six Nations cette année.
Jalibert a immédiatement quitté la pelouse, boitant et grimaçant. Un bandage a été appliqué sur sa cuisse, alimentant les inquiétudes du staff girondin. Car le timing ne pourrait pas être pire, à une semaine du match de barrage capital contre le Racing 92. Une rencontre pour laquelle la présence de l’ouvreur international semblait indispensable.
Un coup dur pour les ambitions de l’UBB
Initialement, Matthieu Jalibert devait débuter ce match sur le banc. Mais un autre coup du sort est venu perturber les plans bordelais : le forfait de dernière minute de Louis Bielle-Biarrey, lui aussi touché aux ischio-jambiers. Contraint de revoir ses plans, le staff a titularisé Jalibert à l’ouverture, en décalant Mateo Garcia à l’arrière.
Car en cas de qualification, c’est un déplacement périlleux sur la pelouse du Stade Français qui attendrait l’UBB en demi-finale. Un enchaînement de chocs auquel il faudra faire face avec un effectif amoindri à un poste clé. La fin de saison du club au scapulaire s’annonce palpitante, mais non sans embûches.
Avec ou sans Matthieu, on garde le même objectif : aller décrocher le Brennus. On a un groupe capable de faire face à ce type de coup dur.
Christophe Urios, manager de l’UBB
Malgré l’incertitude planant autour de la blessure de leur ouvreur, les Bordelais veulent continuer à croire en leur bonne étoile. Celle qui leur a permis de réaliser une saison régulière de haute volée, ponctuée par une qualification directe en barrages. Avec l’apport de tout un stade Chaban-Delmas qui promet d’être bouillant, l’exploit sera peut-être au bout contre le Racing. Avec ou sans Jalibert.
Car en cas de qualification, c’est un déplacement périlleux sur la pelouse du Stade Français qui attendrait l’UBB en demi-finale. Un enchaînement de chocs auquel il faudra faire face avec un effectif amoindri à un poste clé. La fin de saison du club au scapulaire s’annonce palpitante, mais non sans embûches.
Avec ou sans Matthieu, on garde le même objectif : aller décrocher le Brennus. On a un groupe capable de faire face à ce type de coup dur.
Christophe Urios, manager de l’UBB
Malgré l’incertitude planant autour de la blessure de leur ouvreur, les Bordelais veulent continuer à croire en leur bonne étoile. Celle qui leur a permis de réaliser une saison régulière de haute volée, ponctuée par une qualification directe en barrages. Avec l’apport de tout un stade Chaban-Delmas qui promet d’être bouillant, l’exploit sera peut-être au bout contre le Racing. Avec ou sans Jalibert.
Cette blessure de Matthieu Jalibert intervient au pire moment pour une équipe bordelaise qui rêvait d’un premier titre de champion de France. Dos au mur avant de recevoir le Racing 92, les hommes de Christophe Urios vont devoir trouver les ressources mentales et tactiques pour pallier cette absence de poids.
Car en cas de qualification, c’est un déplacement périlleux sur la pelouse du Stade Français qui attendrait l’UBB en demi-finale. Un enchaînement de chocs auquel il faudra faire face avec un effectif amoindri à un poste clé. La fin de saison du club au scapulaire s’annonce palpitante, mais non sans embûches.
Avec ou sans Matthieu, on garde le même objectif : aller décrocher le Brennus. On a un groupe capable de faire face à ce type de coup dur.
Christophe Urios, manager de l’UBB
Malgré l’incertitude planant autour de la blessure de leur ouvreur, les Bordelais veulent continuer à croire en leur bonne étoile. Celle qui leur a permis de réaliser une saison régulière de haute volée, ponctuée par une qualification directe en barrages. Avec l’apport de tout un stade Chaban-Delmas qui promet d’être bouillant, l’exploit sera peut-être au bout contre le Racing. Avec ou sans Jalibert.
Cette blessure de Matthieu Jalibert intervient au pire moment pour une équipe bordelaise qui rêvait d’un premier titre de champion de France. Dos au mur avant de recevoir le Racing 92, les hommes de Christophe Urios vont devoir trouver les ressources mentales et tactiques pour pallier cette absence de poids.
Car en cas de qualification, c’est un déplacement périlleux sur la pelouse du Stade Français qui attendrait l’UBB en demi-finale. Un enchaînement de chocs auquel il faudra faire face avec un effectif amoindri à un poste clé. La fin de saison du club au scapulaire s’annonce palpitante, mais non sans embûches.
Avec ou sans Matthieu, on garde le même objectif : aller décrocher le Brennus. On a un groupe capable de faire face à ce type de coup dur.
Christophe Urios, manager de l’UBB
Malgré l’incertitude planant autour de la blessure de leur ouvreur, les Bordelais veulent continuer à croire en leur bonne étoile. Celle qui leur a permis de réaliser une saison régulière de haute volée, ponctuée par une qualification directe en barrages. Avec l’apport de tout un stade Chaban-Delmas qui promet d’être bouillant, l’exploit sera peut-être au bout contre le Racing. Avec ou sans Jalibert.
Si la blessure de Jalibert venait à être confirmée, c’est tout le jeu de l’UBB qui pourrait être impacté. L’international français est un élément clé du dispositif bordelais, par sa vista, sa qualité de passe et son jeu au pied. Son association avec Maxime Lucu à la charnière est l’une des forces de cette équipe.
Quelles solutions pour Christophe Urios ?
En cas de forfait de Matthieu Jalibert, Christophe Urios devra trouver des solutions dans un effectif limité au poste de demi d’ouverture. François Trinh-Duc, arrivé cette saison en Gironde, pourrait être propulsé dans le grand bain des phases finales. L’expérimenté numéro 10 aura alors la lourde tâche de suppléer Jalibert dans un match couperet.
Autre option envisageable : décaler Mateo Garcia à l’ouverture, comme ce fut le cas en début de match contre Oyonnax. Mais le jeune argentin est davantage un centre de formation. Lui demander d’endosser le rôle de chef d’orchestre dans un match de barrage face au Racing pourrait être un pari risqué.
L’UBB dos au mur avant les phases finales
Cette blessure de Matthieu Jalibert intervient au pire moment pour une équipe bordelaise qui rêvait d’un premier titre de champion de France. Dos au mur avant de recevoir le Racing 92, les hommes de Christophe Urios vont devoir trouver les ressources mentales et tactiques pour pallier cette absence de poids.
Car en cas de qualification, c’est un déplacement périlleux sur la pelouse du Stade Français qui attendrait l’UBB en demi-finale. Un enchaînement de chocs auquel il faudra faire face avec un effectif amoindri à un poste clé. La fin de saison du club au scapulaire s’annonce palpitante, mais non sans embûches.
Avec ou sans Matthieu, on garde le même objectif : aller décrocher le Brennus. On a un groupe capable de faire face à ce type de coup dur.
Christophe Urios, manager de l’UBB
Malgré l’incertitude planant autour de la blessure de leur ouvreur, les Bordelais veulent continuer à croire en leur bonne étoile. Celle qui leur a permis de réaliser une saison régulière de haute volée, ponctuée par une qualification directe en barrages. Avec l’apport de tout un stade Chaban-Delmas qui promet d’être bouillant, l’exploit sera peut-être au bout contre le Racing. Avec ou sans Jalibert.
Si la blessure de Jalibert venait à être confirmée, c’est tout le jeu de l’UBB qui pourrait être impacté. L’international français est un élément clé du dispositif bordelais, par sa vista, sa qualité de passe et son jeu au pied. Son association avec Maxime Lucu à la charnière est l’une des forces de cette équipe.
Quelles solutions pour Christophe Urios ?
En cas de forfait de Matthieu Jalibert, Christophe Urios devra trouver des solutions dans un effectif limité au poste de demi d’ouverture. François Trinh-Duc, arrivé cette saison en Gironde, pourrait être propulsé dans le grand bain des phases finales. L’expérimenté numéro 10 aura alors la lourde tâche de suppléer Jalibert dans un match couperet.
Autre option envisageable : décaler Mateo Garcia à l’ouverture, comme ce fut le cas en début de match contre Oyonnax. Mais le jeune argentin est davantage un centre de formation. Lui demander d’endosser le rôle de chef d’orchestre dans un match de barrage face au Racing pourrait être un pari risqué.
L’UBB dos au mur avant les phases finales
Cette blessure de Matthieu Jalibert intervient au pire moment pour une équipe bordelaise qui rêvait d’un premier titre de champion de France. Dos au mur avant de recevoir le Racing 92, les hommes de Christophe Urios vont devoir trouver les ressources mentales et tactiques pour pallier cette absence de poids.
Car en cas de qualification, c’est un déplacement périlleux sur la pelouse du Stade Français qui attendrait l’UBB en demi-finale. Un enchaînement de chocs auquel il faudra faire face avec un effectif amoindri à un poste clé. La fin de saison du club au scapulaire s’annonce palpitante, mais non sans embûches.
Avec ou sans Matthieu, on garde le même objectif : aller décrocher le Brennus. On a un groupe capable de faire face à ce type de coup dur.
Christophe Urios, manager de l’UBB
Malgré l’incertitude planant autour de la blessure de leur ouvreur, les Bordelais veulent continuer à croire en leur bonne étoile. Celle qui leur a permis de réaliser une saison régulière de haute volée, ponctuée par une qualification directe en barrages. Avec l’apport de tout un stade Chaban-Delmas qui promet d’être bouillant, l’exploit sera peut-être au bout contre le Racing. Avec ou sans Jalibert.